| Editeur : Ocean
Date de sortie : 1997
Genre : Simulation
Plateforme de test : |
Choix des missions,
vaisseaux de taille imposante, mais néanmoins maniables,
graphismes et effets de lumière splendides, mais
fluidité de l’ensemble... Cette simulation
spatiale épique n’a pas fini de vous surprendre !
Depuis quelques minutes, la tension avait augmenté chez tous
les hommes. La mission n’avait pourtant rien de
compliqué, juste tenir un point de Lagrange
le temps que des défenses automatiques soient mises en
place. Mais à deux reprises, les « Indies
» avaient surgi, semant la terreur… Quand soudain,
six nouveaux ennemis jaillirent de nouveau de l’hyperespace !
Après un bref échange de missiles et quelques
collisions, il fallait se rendre à
l’évidence : mission échouée.
Nous sommes au 24ème siècle,
et un groupe de colons indépendants, les « Indies
», mène la vie dure au Commonwealth,
le gouvernement des nations terriennes. A tel point qu’il
faudra une bonne dose d’opiniâtreté pour
réussir certaines missions.
Heureusement, I-War comporte plusieurs
exercices qui vous permettront de maîtriser votre corvette de
type Dreadnaught. Trois d’entre
eux vous inculqueront des notions de navigation, et trois autres les
techniques de combat. Et ce n’est pas de trop, car un
bâtiment de cette taille (150 mètres) ne se pilote
pas comme un X-Wing ! Vous devrez jongler avec quatre postes : le
commandement, la navigation (cockpit), l’armement et la salle
des machines. Le poste de commandement sert à
définir le parcours, assister aux briefings…
ainsi qu’à prendre le contrôle de
vaisseaux (non ennemis) à distance. Plutôt
original !
Autre attrait d’I-War, les choix de missions qui
s’offrent au joueur au fur et à mesure
qu’il progresse dans le jeu. Selon leur degré de
réussite, le scénario évolue de
différentes manières. De quoi jouer et rejouer
encore et encore, d’autant que les graphismes, pourtant non
optimisés 3DFX, valent vraiment le
détour… Et ne nuisent pas à la
fluidité, à condition de disposer de 32 Mo de
Ram. Tout cela s’accompagne d’un aspect simulation
très gratifiant : autant dire qu’I-War
paraît d’ores et déjà en
mesure de s’imposer dans sa catégorie en 1998.
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Excellent graphisme
Bon son
Excellente jouabilité
Excellente animation
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Difficulté
élevée dès le début
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Par
Emmanuel Guillot