| Test: CAESAR III |
| Editeur : Sierra / Impression
Date de sortie : 1998
Genre : Gestion/ Stratégie
Plateforme de test :
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Caesar III
Ce jeu de
stratégie se déroule vers 1000 avant J-C.,
à l'époque des romains. Il permet de
créer une ville romaine au travers de missions pour
l'empereur romain Jules
César.
Je
vous présente : vous êtes un nouveau gouverneur,
l'empereur vous confie une province d'Italie. Vous devez respecter,
dans votre province, le quota d'habitants, le taux de culture
(croyances, écoles…), celui de
prospérité (richesse des maisons et des
établissements publics,…), le taux de paix
(émeutes,criminalité,…) et le taux
d'estime de l'empereur (si Jules César admire votre travail
ou si, à l'inverse il n'est pas du tout content de ce que
vous faites : dans ce cas, s’il n'y a pas
d’amélioration, il vous envoie des soldats qui
mettent la pagaille dans toute la ville).
Les
habitants sont des émigrés cherchant du travail.
Ils arrivent en chariot pour occuper des terrains à
bâtir (une petite pancarte). Ces terrains se transforment en
petite tente puis en hutte, et si l'utilisateur accède
à toutes les demandes des habitants (point d'eau, plus de
nourriture…), la petite maison d'une taille minime se
transformera bientôt en villa luxueuse, ce qui fera monter en
flèche votre prospérité.
Taux de prospérité
: celui qui est le plus
difficile à faire augmenter. Il monte lorsque des maisons
sont de plus en plus belles, comme dit plus haut. Il permet de modifier
l'apparence de quelques bâtiments publics, après
l'évolution des habitations, pour montrer que le quartier
évolue.
Le taux de culture
est simple à faire monter : il suffit de
placer quelques établissements de loisir comme les
amphithéâtres ou les collisées. Mais il
faut que ceux-ci soient bien placés pour que tous les
habitants puissent en profiter.
Maintenant, la paix.
Celle-ci, on la fait varier grâce aux
préfectures, sortes de commissariats romains qui remettent
de l'ordre chez les fauteurs de trouble.
Et pour finir, l'estime
de l'empereur. Ce taux reflète
l'avis que Jules César a sur vous. Mais tout empereur qu'il
soit, on peut l'amadouer en lui envoyant des cadeaux.
Malheureusement, tout coûte de l'argent. Votre budget est
fixé par Jules César lui-même. Vous
devez faire fonctionner la cité en créant des
fermes à blé, légumes ou
même des cochons pour les denrées alimentaires.
D'autres fermes sont pour le raisin ou les olives, qui ont besoin
d'être transformés pour être
mangés (en vin ou en huile). Vos habitants auront besoin de
marchés pour acheter tout ce qui a été
énuméré plus haut.
Comme partout, l'argent s'épuise. Les caisses
de la cité peuvent être renflouées par
les taxes et
l'exportation
de vin, huile, armes (que l'on obtient
grâce aux mines de fer), poteries (grâce aux puits
d'argile) et meubles (grâce aux chantiers de bois).
Il
faut aussi respecter les dieux
romains : les habitations ne
pourront pas évoluer si elles n’ont pas de temples
à proximité. Ces dieux sont tout à
votre avantage : si vous les comblez, il vous seront
favorables (remplissage d’un grenier à
blé en entier ou d’un entrepôt de
produits dont vous avez besoin).
En ces temps reculés, la guerre sévit toujours
(la Gaule n'est pas encore toute occupée par les romains).
Il faut donc protéger la cité par des remparts,
des tours ou la bonne vieille armée composée
d'une cavalerie, d'un contingent de javelines ou de
légionnaires.
Niveau graphisme,
ce jeu n’est pas à la pointe de
la technologie : comme une vue d’ensemble suffit,
pas besoin de faire du réalisme parfait. Les sons laissent
un peu à désirer : les personnages
répètent souvent la même chose.
Jouabilité :
pas de problème parce que
c’est la souris qui fait tout. Il y a seulement quelques
touches pour des raccourcis.
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Jouabilité
Gestion intéressante |
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Sons
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Par Benji56
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