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| Test: NEXUIZ |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Nexuiz
Vous aimez sentir monter
l'adrénaline, la peur qu'un ennemi vous assaille sans crier
gare et que vous répliquiez en lui balançant tout
ce que vous avez en stock ? Alors dans la plus pure tradition de Quake III, voici
venu son homologue dans le monde du jeu libre : Nexuiz.
Nexuiz, c'est une histoire qui débute en 2002 avec des
compères regroupés sous le nom d' Alientrap et qui
décident de modifier le moteur 3D de Quake premier du nom
(puisque les sources sont libres) pour l'adapter à leurs
besoins, puis de lui donner le doux nom de Darkplaces
Engine. C'est ainsi que le moteur, désormais un
peu
vieillot a été tellement modifié qu'il
est capable de prendre en charge des effets "de base" ou beaucoup plus
poussés : vertex shaders, bump mapping, filtre anisotropic,
couleurs 32
bits...
Il est ainsi adaptable selon la configuration et permet
à une communauté large de jouer, surtout qu'il
est disponible sur Windows, Linux ou Mac. Pourquoi parler de
communauté ? Tout simplement parce que c'est un jeu
quasiment uniquement multijoueurs,
qui n'a
d'intérêt qu'en se connectant sur un
réseau
(local ou internet).
Si vous ne vous sentez pas d'attaque pour commencer directement sur le
Net, passez d'abord par la campagne où vous serez
confronté
à deux bots
(joueurs dirigés par l'ordinateurs)
afin de vous roder. L'intérêt de la campagne est
très limité car elle ne permet pas grand chose,
mais l'intérêt est ailleurs. Vous allez
ensuite entrer dans l'arène pour fraguer
à tout va ! Le choix s'offre à vous : une map du
type deathmatch
ou capture
the flag. Kesako ?!
Le deathmatch
est le mode de jeu par excellence du F.P.S. (First Person
Shooter) qui consiste à tirer sur tout ce qui bouge. Pas
d'alliance, pas de compromis, que du bourin. Il s'agit tout simplement
d'avoir le nombre de frags (tués) le plus
élevé à la fin de la partie,
déterminé par le temps ou le premier
arrivé à un score donné. Le capture the flag
est un mode coopératif où l'objectif est de
subtiliser le drapeau de l'équipe adverse dans son camp tout
en protégeant le sien. Ces deux modes sont très
complémentaires et permettent d'alterner les parties et donc
de varier les plaisirs !
Mais pour pouvoir accéder à toutes les map, il
est nécessaire d'en télécharger des
nouvelles, la communauté étant très
active, il est possible d'en récupérer sur le
site Internet de Nexuiz ou d'en installer plusieurs d'un coup
grâce au "pack" (voir téléchargement).
Les armes
proposées sont similaires à celles de Quake III
et possède chacune ses avantages et ses faiblesses. Tir
puissant et lent ou plus faible et très rapide ? C'est
à vous en fonction de la vitesse de jeu et de la distance
des ennemis de faire votre choix. Mais ne traînez-pas au
risque de vous faire fraguer. C'est ainsi que les joueurs sont toujours
en déplacement, sautent et tirent à tout bout de
champ !
Il est relativement rare d'avoir autant de fun à
dégommer du monde dans tous les sens et le plaisir est
là ! Toute la dimension de ce jeu se retrouve dans le
réseau. Une campagne plus étoffée avec
un petit scénario aurait néanmoins
été la bienvenue ainsi que des meilleurs skins
pour des personnages mieux modélisés. Mais ne
soyons pas plus royalistes que le Roi...
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Le gameplay défoulant
La communauté large
Le jeu libre
Le pack 35 maps
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Le mode uniquement multijoueur
La qualité des skins
|
Par Lancelot
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| Test: FRENZY |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
« Rien ne sert de tirer,
mieux vaut voler très vite ». Tel pourrait être la morale de ce shoot délirant.
Dans les airs ou dans la mer, votre vieux coucou de la Seconde Guerre
Mondiale risque fort de vous mener au bord de la crise de nerfs.
L’infâme Baron Von To-Ten, à la tête d’une armée privée, menace de s’emparer du
monde libre ! Vous devez l’en empêcher. Après tout, le combat semble équitable
: vous êtes seul, mais il n’a qu’une armée… Dès le début, la musique de cirque
qui nous accueille confirme la première impression laissée par la présentation
: Frenzy ne se prend pas au sérieux. Doté de graphismes cartoon, il se destine
aux plus jeunes d’entre nous – Iwachika adore.
Aux commandes d’un biplan qui a connu de meilleurs jours, la destruction totale
de tout ce qui fait mine de bouger peut commencer. Pour cela, vous disposez
d’un canon classique et d’armes spéciales : bombes, torpilles et foudre. Vous
devez de temps à autre recharger votre stock, en détruisant des caisses
dissimulées dans certains recoins des canyons que vous survolez. Les ennemis,
avions, canons, tanks, etc. sont nombreux, très nombreux.
Après avoir constaté que certains libèrent des capsules de vie après leur mort
(sous forme de ballons), on se sent tout de suite rassuré. Erreur ! Une
deuxième jauge indique l’état de dégradation de votre avion (lors de
collisions). Pour celle-ci, aucun bonus. Il faudra l’économiser au maximum. En
effet, si l’une des deux jauges atteint le zéro on meurt… La difficulté
s’accroît encore lorsque l’on sait que les tirs ennemis vous repoussent contre
les parois. Et qu’on ne peut sauver qu’une fois par niveau. Les avions ennemis surgissent de nulle part
et se glissent dans votre dos sans même que vous en ayez conscience. Puis, ils
font un carton. Frenzy ne fait pas de cadeaux.
Heureusement, le moteur 3D assure une bonne maniabilité et une grande liberté
de mouvement : on peut revenir en arrière. Il n’en reste pas moins que les 9
niveaux et 20 boss de Frenzy se destinent aux pros du shoot. Les vrais, les
purs et durs. Techniquement au point, Frenzy justifie son nom par une action plutôt confuse,
les ennemis étant vraiment nombreux. Pour aller au bout, il faudra de
l’acharnement ou du génie.
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De jolis effets de lumière L'humour |
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La musique devient vite répétitive Faites-vous
greffer des nerfs d'acier Le décor cache parfois l'action |
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| Test: VIRTUA COP 2 |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Virtua Cop 2
Vous avez besoin de vous défouler ? Alors
venez découvrir ce titre qui va certainement vous intéresser. Il s'agit
d'un jeu simple, sans scénario tordu comme on en
retrouve souvent dans cette catégorie que sont les FPS
(First Person Shooter). Pourtant Virtua Cop 2 a aussi
un goût d'arcade et d'action, un
mélange que l'on ne retrouve que dans ces jeux qui ont été développés
dans le but de les faire figurer à l'affiche des salles d'arcade...
Virtua Cop 2, même s'il ne fait pas l'apologie de la non-violence et
qu'il est basé sur du tir pur, n'est pas sanglant comme un Doom ou un Quake. Vous
jouez le rôle d'un flic qui n'est pas là pour dézinguer sans réfléchir
sinon vous tuerez tous les otages et perdrez alors
aussi de la vie ; malgré la rapidité et le nombre important d'ennemis,
il vous faudra rester zen afin de vous maîtriser au mieux car tout est
compté : le pourcentage de tirs réussis, le nombre de civils abattus,
le nombre de cartouches tirées, le nombre de vies restantes...
Vous êtes confronté à 3 missions différentes
(appelées "stage") et correspondant à 3 niveaux de jeu.
- "Big chase !" : entamez une course poursuite après
des braqueurs de bijouterie
- "Save the mayor" : sauvez le maire de Virtua City
des mains des ravisseurs
- "Railline shootout" : poursuivez les escrocs dans le
métro et détruisez leur QG souterrain
Quelle que soit la mission ou le niveau, le jeu reste relativement simple
et court. En effet au bout d'un moment, il est assez
facile d'anticiper et même si des choix de direction sont à faire en
cours de partie, les parcours différents sur l'intégralité du jeu ne
sont pas très nombreux.
Ecran de titre
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Sélection de missions
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Le principe et l'interface du jeu s'assimilent
assez à Operation Wolf pour ceux qui connaissent,
tous deux sont nés en salles d'arcade et peuvent être utilisés avec un
pistolet, (appelé Virtua Gun dans le cas des titres Sega)
ce qui pimente pas mal le jeu. En outre, il est possible de jouer à 2
sur une même plate-forme ou en réseau en récupérant
la partie à n'importe quel moment !
Les ennemis ne sont pas très coriaces et les boss
de fin de niveau assez simples à abattre. Rapidement vous jouerez en
mode difficile afin de pimenter le jeu. Des armes
plus puissantes seront accessibles tout au long du jeu (magnum, fusil à
pompe, pistolet automatique...) et la maniabilité est
très bonne. De plus un viseur électronique
de couleur vous aide à visionner les cibles et à déterminer le degré de
danger que chacune représente.
Bleu :
cible lointaine
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Vert :
vous avez le temps
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Jaune :
l'ennemi vous aligne
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Rouge :
vous êtes mal barré !
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L'interface met en avant différents éléments dont les principaux
sont :
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Le nombre de vies |
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Le nombre de balles présentes dans le barillet |
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Le nombre de crédits restants |
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La position du viseur |
En appuyant sur la touche "Alt" dans la version PC,
vous avez accès à tout un tas de menus concernant le jeu et les
paramètres d'affichage et de périphériques. Il est ainsi possible de
redémarrer, de mettre en pause, d'avoir accès aux statistiques ou au
classement du jeu mais aussi d'avoir accès au mode multijoueurs.
Les autres menus permettent de choisir les périphériques de jeu, dans
le cas de la version PC, il est ainsi possible de jouer avec souris,
clavier ou joystick pour chacun des
2 joueurs.
Attention aux otages !
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Attaque aérienne
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Le menu d'affichage offre la possibilité de jouer à partir de la
résolution 320*240 16 bits jusqu'au 640*480
32 bits, en activant ou non la correction de perspective, le
bi-linear filtering et l'alpha blending mais aussi les sauts d'images
ou les ombrages. Bref tout un programme qui offrait la possibilité à
l'époque de faire tourner le jeu sur des ordinateurs plus ou moins
puissants. Aujourd'hui en activant toutes les options, le rendu
reste correct même si l'on est loin des productions
actuelles... Mais au moins la jouabilité est au
rendez-vous avec un (ou des) personnage(s) qui répond(ent) au quart de
tour, ce qui rend Virtua Cop 2 très agréable à jouer !
Côté musique, c'est le vide intersidéral mais ce
n'est pas choquant étant donné le type de jeu, ce n'est pas du tout
nécessaire et on se contente donc aisément des bruitages
des armes et des différents éléments du décor (que l'on peut détruire
pour une grosse partie).
Statistiques
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Out !
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Virtua Cop 2 est donc un très bon jeu à mon sens même si sa
réalisation n'est pas extraordinaire, il fait mouche là où c'est
primordial dans cette catégorie : la jouabilité et le
fun. Il a tout d'un grand de salle d'arcade avec ses
petits "plus" du genre combo lorsqu'on touche un ennemi plusieurs fois,
l'accès à une nouvelle arme trouvée dans des éléments du décor... De
plus le défouloir est garanti, seules la facilité et
la durée de vie trop courte ternissent un peu l'image
de ce titre néanmoins à conseiller.
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Jouabilité
Fun
Répond au quart de tour !
Jouable à 2
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Trop facile !
Durée de vie
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Par Lancelot
Merci à pour les captures d'origine
Ce jeu est considéré comme abandonware.
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| Test: HALO |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Halo
Ce jeu presque mythique
se
classe dans les jeux que certains aimeraient bien voir sur PS2 et
autres consoles. Tout le monde connaît Halo, depuis le
tabac qu’il a
fait sur la XBox.
Ce jeu de shoot vraiment réaliste doit toute sa
réputation aux 10
niveaux qu’il comporte.
Vous
êtes un adjudant-chef qui
s’est fait cryogénisé par des Marines. Vous meniez
un escadron à la
bataille et malheureusement, ce fut le carnage. Tous les camarades qui
vous accompagnaient sont morts. Vous êtes le seul et unique
survivant.
Sauvé de justesse, des Marines vous ont congelé.
Mais le « Pillar of
Autumn », votre vaisseau, est attaqué par
les Covenants,
un peuple
d’humanoïdes composé de Cyborgs et de
petites bestioles rouges et
jaunes. Le commandant des Marines veut que tout le monde (vous y
compris) soit sur le pied de guerre. Vous n’avez qu'une arme
lorsque
vous le voyez. Lorsque vous sortez de chez lui, tout
s’accélère. Des
munitions arrivent dans votre flingue et vous abattez vos
1ères
victimes.
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En
plus, après avoir passé une
porte, vous vous retrouvez avec un fusil d’assaut :
60 balles dans le
chargeur. Mais le calme n’est plus de mise :
quelques Cyborgs vous
attendent juste après et les Marines qui vous accompagnent
ne vous sont
pas vraiment d’une très grande aide. Ils ont les
mêmes armes que vous
mais sont moins aptes que vous à butter des Cyborgs de 2
mètres de
haut ! Voilà pour le début des niveaux
dont l’arsenal ne va pas cesser
de s’améliorer malgré le maximum
d’armes à emporter qui est de 2.
Heureusement,
vous pouvez aussi vous procurer les armes des Covenants :
pour cela, ils suffit d’en tuer un et de ramasser
l’arme en jetant une
de celles que vous n’aimez pas ou que vous
n’utilisez pas. En plus donc
du pistolet et du fusil d’assaut, vous utiliserez un pistolet
à plasma,
bien pratique car on peu régler sa puissance :
laissez la touche de tir
enfoncée si vous choissez les dégâts ou
tirez à foison si beaucoup
d’ennemis vous entourent. Si vous choisissez les
dégâts, faites
attention car le pistolet chauffe et il faut le laisser refroidir. Ce
n’est pas une bonne solution si plusieurs Cyborgs
attaquent !
Il y
a
aussi le fusil à plasma, la même chose mais en
plus gros et plus
rapide. Dans les niveaux suivants, le Needler, un
hérisson
qui se fixe
sur le poing, projette de petites munitions qui, quand elles
pénètrent
dans le corps d’un ennemi, explosent et le tuent
d’un seul coup. Bien
sûr, les Marines ne sont pas équipés
que de fusils d’assaut : fusils à
pompe, sniper avec visée par 8, lance-roquette et plein
d’autres petits
bijoux. Par contre, les munitions ne sont pas illimitées et
si par
hasard il arrive que vous soyez incapable de tirer, il suffit de tuer
un Marines et de lui prendre ses munitions. Il faut faire attention car
si vous assassinez beaucoup de vos coéquipiers, ils vont se
retourner
contre vous. Cela peut devenir une situation très
gênante car ils ont
les mêmes armes que vous et sont bien capables de vous
assassiner sans
aucune pitié.
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Halo
se distingue aussi par
son mode multi joueur
exceptionnel. Vous avez la possibilité de jouer
en coopération avec un pote ou un frère. Ce
second joueur est à vos
côtés pour combattre les Covenants. Il a la
possibilité de prendre les
mêmes armes que vous ou d’en prendre des
complètement différentes. Le
mode coopération est très utile lors de
sanglantes batailles où vous
risquez de perdre la vie.
Heureusement,
le mode
coopération n’est pas le seul multi joueur de ce
jeu. En effet, vous
avez le choix entre plus d’une dizaine de sous-menus tel que
le mode
Roquette.
Comme son nom l’indique, vous êtes armé
de lance-roquette et
vous devez tuer le plus de fois possible le ou les joueurs de
l’équipe
adverse. Le mode Fantôme
est lui aussi très amusant : tous les joueurs
sont invisibles et sont armés de pistolets à
plasma mais ensuite, dans
les constructions qui les entourent, les joueurs peuvent trouver des
fusils sniper, des fusils d’assaut, des fusils à
pompe et plein
d’autres armes suivant les nombreux terrains disponibles. Le
seul but
restant quand même de tuer ceux qui jouent contre
soit.
N’oublions
pas
de préciser que l’on peut faire des
groupes : s’il y a 4 joueurs, soit
on fait 2 groupes de 2, soit c’est chacun pour soi, ce qui
est plus
marrant. Mais lorsqu’on est en groupe de 2, il y a la
possibilité
d’utiliser le Warthog,
un char amélioré qui permet de parcourir de
longues distances sans se fatiguer ou alors toutes sortes de machines
bizarres. Lorsque l’on devient passager de ce char, on tire
avec nos
propres armes mais si on devient le tireur, une mitrailleuse
placée à
l’arrière du Warthog permet de shooter tous les
Covenants qui approchent
(pour le mode coopération).
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|
Dans
le mode campagne (1 joueur), on peut
conduire et par contre, si on veut quelqu’un pour tirer, il
suffit de
s’arrêter près d’un Marine
pour que celui-ci prenne la place du tireur.
Comme autres machines, il y a le Ghost,
un engin qui lévite et qui peu
être d'une très grande aide. Il existe
aussi le Scorpion,
un méga char
capable de terrasser des adversaires récalcitrants. Encore
dans le mode
multi joueurs, il y a la possibilité de jouer avec le XBox
Live sur
Internet pour combattre beaucoup plus de gens. En plus des multijoueurs
par défaut, vous pouvez créer vos propres parties
avec vos propres
options (grenades illimitées, tous les véhicules,
un plus grand choix
d'armes...).
Niveau
graphismes,
Halo est
plutôt bien fait et très réaliste (sang
qui gicle même quand les
ennemis sont morts). On entend bien vos supérieurs
lorsqu’ils vous
donnent des informations ou vos ennemis prévenir leurs
compatriotes. Il
y a peu de musique mais le bruit des détonations suffit.
Pour la
maniabilité,
ce jeu est bien mais il faut bien configurer
les manettes
avant de jouer et il est peu difficile de s’habituer aux
touches de
mouvement. Ce jeu est d’une grande innovation : un
des plus réaliste
lors de sa sortie et des décors hyper bien faits qui cachent
certaines
fois beaucoup de bonus ou de raccourcis. Pour le reste, je vous laisse
y jouer sur la Xbox ou sur un PC.
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Mode multijoueur
Graphismes
Qualité globale
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Maniabilité
pas toujours évidente |
Par Mikonos,
alias Benji56
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| Test: HALF-LIFE |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Half-Life
Vous incarnez Gordon Freeman, un
jeune chercheur dans le centre de recherche de Black Mesa.
Un jour lors d'une experience banale avec des cristaux d'une
mystérieuse provenance, tout dérape.
Un passage interdimensionnel est
créé et des créatures extraterrestres
pour le
moins belliqueuses en profitent pour débarquer sur terre. En
plus, et
pour ne pas arranger les choses, des militaires débarquent
officellement pour une mission de sauvetage mais en fait ils ont pour
mission d'éliminer toute preuve de l'expérience
ce qui inclus les bestioles extraterrestres et vous et vos petits
copains du labo à peine sortis des bancs de normale sup ou
autre M.I.T.
Bref, votre mission sera simple et sans réelle
surprise : survivre.
Evidemment, cela ne sera pas facile car
des centaines de monstres aussi moches que dangereux ainsi que des
unités entières de millitaires et surtout, les
milliards de tonnes de béton et d'acier du centre vous
retiennent dans l'enceinte de Black Mesa.
Pour vous débarasser des
divers obstacles vivants, vous aurez à votre disposition un
arsenal
digne de... rien de connu jusqu'alors. Car si cet armement
brille, c'est d'abord par sa puissance mais aussi par sa
diversité. Il y a bien sur des armes déja
existantes comme une mitraillette de type M16 ou un fusil à
pompe à double canon. Mais aussi des armes imaginaires tel
qu'un fusil à gluon ou un genre de lance-insecte
extraterrestre. A cela s'ajoute des grenades, des mines laser, du C4 et
autre lance-missile et même des bestioles qui tuent tout
être vivant à sa portée en le coursant,
vous y compris.
Cet arsenal portable est aussi
agrémenté par des diverses tourelles de
mitrailleuses lourdes, lance-missiles et autre gros canon lourd pour
les dégommages massifs de gros monstres baveux et
militaires peu coopératifs.
Cette profusion d'armes,
réalistes ou non, fait déjà de
Half-Life un titre peu banal pour l'époque. Mais le
scénario
permet de convaincre les plus exigeants, fanas de
conspiration gouvernementale ou plus simplement les amateurs de
thriller haletant au scénario plein de rebondissements. A
chaque pas durant le jeu, un pan de mur peu s'écrouler pour
laisser place à un monstre. Parfois, seul le bruit des
monstres permet de savoir que vous n'êtes pas seul dans le
noir et que, lorsque votre lampe s'éteindra vous ne saurez
plus d'où vient le danger.
Là où Half-life
brille, c'est pour son incroyable durée
de vie. Cette
durée de vie vous permet de vous déplacer dans
des endroits aussi variés qu'inattendus. Celà va
des labos
de Black Mesa en passant par la station de traitement des
déchets sans oublier un barrage (rappelant Golden-Eye). Nous
avons même le luxe de nous promener dans la dimension
d'où viennent les monstres. Ce jeu est vraiment saisissant
par sa complexité.
Les moindres textures sont vraiment
détaillées et variées.
Dans le même soucis
d'être complet et réaliste, la moindre blessure
laisse entrevoir une giclée de sang vert... ou rouge si
c'est le vôtre. D'ailleurs, selon l'endroit que vous touchez
avec votre arme, le monstre sera plus ou moins blessé. Ainsi
si vous visez la tête du monstre (si vous la trouvez !), il
vous suffira de trois balles, alors que si vous toucher le bras ou le
ventre, il risque de mettre plus de temps à rendre
l'âme.
A chaque coup, le monstre laissera
percevoir un râle, et le bruit de sa chaire
déchiquetée se fera entendre. C'est là
un autre point fort de Half-Life et non l'un des moindres : le son.
Comme je l'ai déja dit, parfois seul le meuglement des
bestioles ou militaires (devinez lequel meugle) vous permettra de
déceler une présence. De même vous
pourrez
entendre des ennemis tentant de vous encercler aux bruits de leur pas.
De même certains monstres vous entendront courir de loin.
Autant dire qu'il faudra ralentir voire marcher tout doucement. Le son
à une telle place que le mode "Hard" du jeu est un mode...
Sans son.
En revanche, si le mode solo brille par
tant de réalisme dans certains points et tant de
science-fiction dans d'autres, le mode multi brille par sa quasi
abscence de succès. Mais bon, ne jetons la pierre
sur Half-Life
pour autant car il est le papa du mod Counter-Strike qui
est le
3ème multi le plus joué actuellement sur le net.
Bref, ce jeu est un classique et
actuellement il ne faudra pas beaucoup de sous pour l'acheter alors
Mesdames et Messieurs, ruez vous sur ce
jeu de référence, au scénario, son,
ambiance, et graphismes parfaits pour l'époque.
D'ailleurs ce jeu rencontre encore du succès des
années après sa sortie.
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Scénario
Durée de vie
Sons
Graphismes
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|
Mode
multijoueur
|
Par Zelgolhal
Note : Un jeu dont les successeurs portent le nom de Half-like. Un scénario haletant, des graphismes novateurs, un jeu intemporel.
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| Test: GOLDEN-EYE 007 |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Golden-Eye
Goldeneye 007 est tout
simplement une légende du jeu vidéo.
C'est le jeu que tous les développeurs envient à
Nintendo et qui pousse à acheter une Nintendo 64. D'abord ce
jeu reprend la licence du plus légendaire des James
Bond : Golden eye. Ensuite pour les fans des
anciennes versions de James Bond le
jeu
possède deux niveaux bonus avec le baron
samedi et le golden gun, et avec Moonraker.
Le jeu est divisé en 18
missions reprenant l'intégralité
du film ainsi que des ajouts afin d'améliorer le gameplay.
Chaque niveau est divisé en 3 niveaux
de difficulté progressifs :
- agent
- secret agent
- agent 00
A chaque niveau de difficulté les
ennemis deviennent plus rapides plus meurtriers et on a même
droit à de nouveaux objectifs de mission.
Si vous finissez le jeu en agent 00 vous
débloquerez le mode 007
(et oui encore lui) ou ô délice vous pouvez
régler tous les paramètres ennemis
(rapidité, puissance de feu, santé...). Soit vous
êtes flemmard et vous mettez leur
rapidité, leur temps de réaction, leur
précision, leur résistance et leur puissance de
feu au minimum et là un coup de crosse sur le petit doigt et
ils meurent. Soit vous les boostez à fond et là
il vaut mieux
éviter de prendre le thé avec eux.
Vous ne devez pas vous contenter de foncer dans le
tas à grands coups de Rcp-90
et tant pis pour les balles perdues. Beaucoup de niveaux
comportent de
nombreux civils alors attention où vous tirez !
En plus dans certains niveaux il y a des alarmes et des
caméras qui ont tendance à sonner histoire de
contacter le régiment d'élite d'à
côté et là il faut savoir se faire tout
petit. Dans ces types de niveaux, il faut faire très
attention aux armes que vous utilisez. Un pistolet avec
silencieux ou un coup de poing
bien placé font bien souvent moins de bruit qu'un lance-missile
ou une simple kalachnikov.
Golden Eye est aussi une révolution par
ses armes et gadgets. C'est l'un des premiers jeux à
utiliser plus de 10 armes à la
fois. Cela va du simple PP7 au Rcp
90 avec 80 balles dans le chargeur la
première seconde et 15 secondes plus tard plus que 10 balles
mais 90 cadavres. Car la grande nouveauté c'est que
certaines balles traversent les corps et les murs pour tuer
les ennemis qui se trouvent derrière .
Mais il y a aussi 3 types de mines
différentes :
- les mines à retardement
- les mines de proximité
- les mines téléguidées
Et là ça devient un vrai
plaisir. On pose une mine de proximité sur une porte, une
téléguidée par là et un
pauvre soldat qui rentre dans une pièce fait tout
péter et au cas où il reste des
survivants on déclenche le détonateur et on
profite du spectacle de loin. Mais il y a aussi des armes plus fun
comme un sniper,
un pistolet électrique, les lasers
de Moonraker, le golden gun
et même un tank (comme quoi GTA
n'a rien inventé). Quel délice de se promener
dans les rues de
Saint-Petersbourg à la poursuite d'Ouroumov du haut d'un
tank et boom un coup sur les jeeps qui veulent m'empêcher de
rejoindre Natalya... (J'arrive !!!)
La qualité graphique
du jeu est aussi très bonne pour
l'époque on a même le
droit à quelques cinématiques
d'exception pour un jeu sur cartouche. C'est aussi l' un des premiers
jeux à utiliser
à la fois la 3D et le 360°
sur ses trois dimensions. On a même droit
à quelques traces de sang sur l'ennemi qui est
touché. Le coté "carré" de la 3D peut
gêner
certain fans de Splinter Cell
mais pour l'époque et même encore maintenant cela
reste très acceptable.
On note cependant de nombreuses
incohérences. Par exemple un ennemi qui saute n'a aucune
trace de sang et est entier. On rigole bien aussi des bouts de
têtes d'ennemis qui dépassent de l'autre
coté d'une porte fermée parce qu' il court
dedans. Mais-rappelons le : on est en 1997.
Ce jeu innove aussi par une bande
son de qualité et très proche du
jeu. Lorsqu'une alarme sonne la musique accélère
pour dire "Il faudrait songer à COURIR!!". On adore aussi le
générique de goldeneye
revisité à la sauce rock (black
rock'n'roll) histoire de vous encourager à
libérer tous vos instincts les plus basiques sur la console.
Ca ne coûte rien et seul les ennemis et le stick de la
manette souffre.
En plus le mode
multi joueur est excellent. C'est vraiment un
régal de s'entretuer entre copains et copines et ce
à 4. C'est le premier shoot
sur
console à proposer un multi joueur à 4. Vous
pouvez même choisir des anciennes stars des vieux James bond
(Odd-job, Mayday, Le baron Samedi, Jaws).
Bref
précipitez-vous sur ce jeu qui de toute façon est
la référence de l'époque pour le F.P.S.
|
Multijoueur
Nombre d'armes
Graphismes et cinématiques
|
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Quelques
bugs et incohérences |
Par Zelgolhal
Note : On peut le dire le premier F.P.S de référence dans le monde de la 3D.
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| Test: HALF-LIFE : Counter-Strike |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Counter-Strike
Counter-Strike est un
excellent mod (une sorte d'add-on) de Half-Life.
En ce qui
concerne le réalisme, il est très bien fait, mais
il ne faut pas être sensible aux images de sang
(tâches de sang sur les murs lorsque l'on se prend une balle).
Quand
on arrive sur une map (carte), on choisit son équipe (terroristes ou anti-terroristes)
puis au fur et à mesure qu'on fait des frags (tuer un
ennemi), on gagne de l'argent, ce qui nous permet d'acheter des armes.
Le
choix des armes est très grand : il y a plus de 20 armes différentes.
Pour le combat, on peut prendre un pistolet, un fusil (fusil
à pompe, pistolet mitrailleur, fusil d'assaut ou fusil
sniper), 3 grenades et 1 gilet pare-balles. On a aussi un couteau et on
peut prendre un kit de désarmorçage (pour les
anti-terroristes).
Il
y a 3 types de missions
:
1 - les terroristes doivent poser la bombe et la faire péter
;
2 - les anti-terroristes doivent sauver les otages ;
3 - les anti-terroristes doivent aider le V.I.P
à sortir du bâtiment.
Il
y a aussi des maps où l'on doit tirer dans tout ce qui bouge
si on veut faire partie de l'équipe gagnante.
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Missions
Armes
Jouabilité
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Pas
grand chose...
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Par Shadowman
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| Test: DOOM |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Doom
Digne
successeur de Wolfenstein
3D sorti un an plus tôt ( 1992),
Doom est est
la récidive d' Id
Software à travers
ses deux créateurs principaux de l'époque John
Carmack et John
Romero.
Le
scénario allie science fiction et horreur tel que nous le
présente le manuel du jeu : Vous prenez le
rôle d'un Space
Marine sans nom, « l'un des plus durs
qui soit sur terre, endurci au combat et entrainé
à l'action », qui a
été déporté sur Mars
après avoir assailli un officier supérieur qui
avait ordonné à ses
soldats de massacrer des civils sans défense. Il est alors
forcé de
travailler pour l' Union
Aerospace Corporation (UAC), un complexe
militaro-industriel interplanétaire traitant des
déchets radioactifs.
Depuis quatre ans, l'armée utilise le site pour mener des
expériences
secrètes, traitant des voyages interdimensionnels et de la
téléportation, entre Mars et ses deux lunes, Phobos et Deimos.
Cependant, les portes spatiales sont un jour devenues instables,
ouvrant un large passage aux créatures de l' Enfer. Les
militaires qui y sont envoyés sont frappés de
folie,
et le corps des quelques hommes qui reviennent finissent par exploser.
Depuis quelques heures, Mars reçoit des hurlements de
détresse
provenant de Phobos, et peu de temps après s'ensuit la
disparition de
Deimos des radars. Une nouvelle troupe est immédiatement
envoyée sur
Phobos pour secourir leurs camarades. L'équipe infiltre
l'intérieur de
la base pendant que le Space Marine surveille les alentours. Tous
mourront dans les heures suivantes comme le
révèlent les cris, les tirs
et le silence soudain à travers la radio. Seul avec son
courage, le
Space Marine part alors à l'assaut du bâtiment...
L'objectif
du jeu est simple : vous devez
dézinguer tout ce qui se présente à
vous sur cette fichue planète Phobos. Et là au
niveau créature de l'Apocalypse (d'où le nom doom
= damnation), vous allez être servi ! Heureusement, vous avez
à votre disposition tout un arsenal : pistolet,
fusil
à pompe, sulfateuse, tronçonneuse, canon
à énergie et enfin le BFG 9000 capable de vous
éradiquer toute créature dans la
pièce. Le problème est que les munitions ne sont
pas illimitées, loin s'en faut ! Si vous les
gérez mal, il ne vous restera plus que vos poings pour vous
battre...
Ecran
de titre
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Ca
commence !
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Le moteur 3D,
car il s'agit bien là d'un jeu en trois dimensoins,
relativement rares à l'époque, est
complètement nouveau et n'a rien à voir avec
celui de son prédecesseur. Les environnements sont
plus
variés et les salles plus vastes avec la gestion
d'"étages" au sein d'une même pièce.
L'apparition de cette possibilité donne beaucoup de
profondeur et une jouabilité différente au jeu.
Imaginez que dès lors, vous pouvez être
simultanément assailli par une créature qui est
au même niveau que le votre et par une autre qui est
à la terrasse de l'étage supérieur !
Cela permet des combinaisons et des situations de combat nouvelles et
vous obligeant à en tenir compte dans votre
stratégie de jeu.
Mais le moteur du jeu, c'est aussi un mouvement de l'arme qui suit vos
pas et une impression très réaliste lorsque vous
tirez.
En fonction de l'arme que vous utilisez, le comportement du marine
n'est pas le même : recul et levée lors de
l'utilisation
du fusil à pompe, tremblements avec la
tronçonneuse...
Les expressions du visage visible dans la partie basse de
l'écran changent en fonction de la situation et de
l'état
physique du personnage. Que dire aussi de ses effusions de sang, de
ces éclatements de cervelles, si ce n'est que ça
vous
plonge dans cet univers
gore et fantastique ? Certains n'ont dailleurs
pas apprécié, mais il faut garder à
l'esprit que
c'est un jeu, et uniquement un jeu. Si les personnes ne sont pas en
âge d'y jouer ou pas dans un état mental sain, il
ne faut
effectivement pas leur mettre à disposition. Comme n'importe
quel film ou jeu de rôle du même genre...
Effet
de recul garanti
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Têtes
de mort !
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Les graphismes,
pour l'époque étaient
relativement
révolutionnaires, non seulement on était en
présence de 3D mais en plus de 3D texturée.
Je m'explique : le début de la 3D limitait souvent
l'application
à une surface d'une simple couleur pour alléger
le moteur
et la programmation. Ici, que nenni ! Chaque
élément du
décor a une texture qui lui est appliquée. C'est
nettement plus réaliste. Sinon, évidemment
aujourd'hui
les graphismes paraissent un peu pixellisés mais en 1993,
c'était le haut du pavé. Du 320*200 en 256 couleurs,
pour un FPS (First Person Shooter - Tir à la
première
personne) en temps réel, c'était pas mal du tout
! La musique,
de style Heavy Metal
est très réussie et colle très bien
à l'ambiance. Les effets
sonores sont aussi de qualité avec la gestion
de la stéréo
qui permet un rendu réaliste et très utile dans
ce genre de jeu.
L' intérêt
du jeu réside aussi dans ses labyrinthes
composés de portes secrètes voire de murs entiers
pivotant ou coulissant afin de conférer une nouvelle
physionomie au lieu. Face à cet espace immense, un plan
vous est
accessible au fur et à mesure de vos
pérégrinations, pour ne pas tourner en bourrique
au bout de quelques temps et avancer. Il sera nécessaire de
trouver les clés et les bonnes en respectant les couleurs,
vous
évoluerez alors facilement au sein des niveaux. Un bilan de fin de niveau
(matérialisé par un bouton-poussoir à
enfoncer), vous permet de prendre connaissance de vos
résultats (pourcentages d'ennemis tués, objets
trouvés et caches découvertes),
intéressant si vous souhaitez refaire le niveau !
Le
plan providentiel
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Bilan
de niveau
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La cerise sur le gâteau, c'est le mode multijoueur de
Doom. Il est possible d'y jouer non seulement en réseau local
jusquà 4
joueurs mais aussi sur Internet
par modem
à 2
! Une révolution pour l'époque. Et ça
ne suffit pas, nous voyons l'apparition du mode réseau Deathmatch (chacun
pour soi) mais aussi le mode Cooperative
(ensemble contre les sales bêtes). Un summum.
De plus tout le monde pourra découvrir toutes ces
possibilités car Doom sera distribué en licence shareware.
Le principe est simple : Vous avez accès au premier niveau,
si
vous voulez jouer aux suivants, vous achetez le jeu (paiement par envoi
postal). Et voilà le coup de génie : Id Software
vendra
ainsi plus de 2 millions
d'exemplaires et 10
millions de versions shareware
seront téléchargées ! Le principe de
ce mode de
vente annule tous les coûts liés à la
distribution,
celà fera la fortune des créateurs.
Mais ils ne comptaient pas s'arrêter là. Id
Software eut l'immense idée de laisser des personnes
concevoir leurs propres fichiers WAD,
qui sont en fait le regroupement au sein d'un seul fichier de niveaux,
de graphismes et d'autres données du jeu. Celà
permettait de concevoir son propre jeu sans être programmeur
aguerri pour autant. Ce phénomène s'est depuis
popularisé à beaucoup de FPS à travers
ce qui est devenu des MODS.
Le code source
a été libéré en 1997, ce qui a
permis ensuite à bien des programmeurs de
développer des variantes de Doom parfois très
réussies, avec des versions OpenGL ou DirectX. Un coup de
maître pour faire entrer le jeu dans le Panthéon
des jeux vidéo.
Massacre
en règle
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Venez
goûter le BFG !
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Ce jeu est le mélange d'éléments
nouveaux dans le monde vidéoludique de tir subjectif. 3D
texturée, stéréo, mode
réseau, création de WAD... C'est quasiment toutes
ces évolutions concentrées en UN jeu. Une
révolution pour l'époque, et quand on sait la
place qu'ont pris les FPS depuis, ils lui doivent beaucoup. Et les
titres ensuite réussis en partant de ces bases sont
légion : Doom
II et III, Duke Nukem 3D, Quake, Unreal, Half-Life...
Doom correspond à l'avènement réel du
FPS. Le FPS d'aujourd'hui était né !
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Jouabilité
Intérêt
Musiques et effets sonores
Graphismes
Mode multijoueur
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Répétitif
Niveaux parfois trop complexes
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Par Lancelot
Merci
à pour
les captures d'origine
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