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Evolugame: F.P.S

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 Test: NEXUIZ

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Nexuiz

V
ous aimez sentir monter l'adrénaline, la peur qu'un ennemi vous assaille sans crier gare et que vous répliquiez en lui balançant tout ce que vous avez en stock ? Alors dans la plus pure tradition de Quake III, voici venu son homologue dans le monde du jeu libre : Nexuiz.

Nexuiz, c'est une histoire qui débute en 2002 avec des compères regroupés sous le nom d'Alientrap et qui décident de modifier le moteur 3D de Quake premier du nom (puisque les sources sont libres) pour l'adapter à leurs besoins, puis de lui donner le doux nom de Darkplaces Engine. C'est ainsi que le moteur, désormais un peu vieillot a été tellement modifié qu'il est capable de prendre en charge des effets "de base" ou beaucoup plus poussés : vertex shaders, bump mapping, filtre anisotropic, couleurs 32 bits...


Il est ainsi adaptable selon la configuration et permet à une communauté large de jouer, surtout qu'il est disponible sur Windows, Linux ou Mac. Pourquoi parler de communauté ? Tout simplement parce que c'est un jeu quasiment uniquement multijoueurs, qui n'a d'intérêt qu'en se connectant sur un réseau (local ou internet).

Si vous ne vous sentez pas d'attaque pour commencer directement sur le Net, passez d'abord par la campagne où vous serez confronté à deux bots (joueurs dirigés par l'ordinateurs) afin de vous roder. L'intérêt de la campagne est très limité car elle ne permet pas grand chose, mais l'intérêt est ailleurs. Vous allez ensuite entrer dans l'arène pour fraguer à tout va ! Le choix s'offre à vous : une map du type deathmatch ou capture the flag. Kesako ?!


Le deathmatch est le mode de jeu par excellence du F.P.S. (First Person Shooter) qui consiste à tirer sur tout ce qui bouge. Pas d'alliance, pas de compromis, que du bourin. Il s'agit tout simplement d'avoir le nombre de frags (tués) le plus élevé à la fin de la partie, déterminé par le temps ou le premier arrivé à un score donné. Le capture the flag est un mode coopératif où l'objectif est de subtiliser le drapeau de l'équipe adverse dans son camp tout en protégeant le sien. Ces deux modes sont très complémentaires et permettent d'alterner les parties et donc de varier les plaisirs !

Mais pour pouvoir accéder à toutes les map, il est nécessaire d'en télécharger des nouvelles, la communauté étant très active, il est possible d'en récupérer sur le site Internet de Nexuiz ou d'en installer plusieurs d'un coup grâce au "pack" (voir téléchargement).


Les armes proposées sont similaires à celles de Quake III et possède chacune ses avantages et ses faiblesses. Tir puissant et lent ou plus faible et très rapide ? C'est à vous en fonction de la vitesse de jeu et de la distance des ennemis de faire votre choix. Mais ne traînez-pas au risque de vous faire fraguer. C'est ainsi que les joueurs sont toujours en déplacement, sautent et tirent à tout bout de champ !

Il est relativement rare d'avoir autant de fun à dégommer du monde dans tous les sens et le plaisir est là ! Toute la dimension de ce jeu se retrouve dans le réseau. Une campagne plus étoffée avec un petit scénario aurait néanmoins été la bienvenue ainsi que des meilleurs skins pour des personnages mieux modélisés. Mais ne soyons pas plus royalistes que le Roi...

Le gameplay défoulant
La communauté large
Le jeu libre
Le pack 35 maps

Le mode uniquement multijoueur
La qualité des skins


Par Lancelot

Abandonware :

Télécharger le jeu
Version : PC, Mac ou Linux
Langue : Anglais

 



 Test: FRENZY

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :

« Rien ne sert de tirer, mieux vaut voler très vite ». Tel pourrait être la morale de ce shoot délirant. Dans les airs ou dans la mer, votre vieux coucou de la Seconde Guerre Mondiale risque fort de vous mener au bord de la crise de nerfs.

L’infâme Baron Von To-Ten, à la tête d’une armée privée, menace de s’emparer du monde libre ! Vous devez l’en empêcher. Après tout, le combat semble équitable : vous êtes seul, mais il n’a qu’une armée… Dès le début, la musique de cirque qui nous accueille confirme la première impression laissée par la présentation : Frenzy ne se prend pas au sérieux. Doté de graphismes cartoon, il se destine aux plus jeunes d’entre nous – Iwachika adore.

Aux commandes d’un biplan qui a connu de meilleurs jours, la destruction totale de tout ce qui fait mine de bouger peut commencer. Pour cela, vous disposez d’un canon classique et d’armes spéciales : bombes, torpilles et foudre. Vous devez de temps à autre recharger votre stock, en détruisant des caisses dissimulées dans certains recoins des canyons que vous survolez. Les ennemis, avions, canons, tanks, etc. sont nombreux, très nombreux.

Après avoir constaté que certains libèrent des capsules de vie après leur mort (sous forme de ballons), on se sent tout de suite rassuré. Erreur ! Une deuxième jauge indique l’état de dégradation de votre avion (lors de collisions). Pour celle-ci, aucun bonus. Il faudra l’économiser au maximum. En effet, si l’une des deux jauges atteint le zéro on meurt… La difficulté s’accroît encore lorsque l’on sait que les tirs ennemis vous repoussent contre les parois. Et qu’on ne peut sauver qu’une fois par niveau. Les avions ennemis surgissent de nulle part et se glissent dans votre dos sans même que vous en ayez conscience. Puis, ils font un carton. Frenzy ne fait pas de cadeaux.

Heureusement, le moteur 3D assure une bonne maniabilité et une grande liberté de mouvement : on peut revenir en arrière. Il n’en reste pas moins que les 9 niveaux et 20 boss de Frenzy se destinent aux pros du shoot. Les vrais, les purs et durs. Techniquement au point, Frenzy justifie son nom par une action plutôt confuse, les ennemis étant vraiment nombreux. Pour aller au bout, il faudra de l’acharnement ou du génie.

De jolis effets de lumière
L'humour

La musique devient vite répétitive
Faites-vous greffer des nerfs d'acier
Le décor cache parfois l'action



 Test: VIRTUA COP 2

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Virtua Cop 2

Vous avez besoin de vous défouler ? Alors venez découvrir ce titre qui va certainement vous intéresser. Il s'agit d'un jeu simple, sans scénario tordu comme on en retrouve souvent dans cette catégorie que sont les FPS (First Person Shooter). Pourtant Virtua Cop 2 a aussi un goût d'arcade et d'action, un mélange que l'on ne retrouve que dans ces jeux qui ont été développés dans le but de les faire figurer à l'affiche des salles d'arcade...

Virtua Cop 2, même s'il ne fait pas l'apologie de la non-violence et qu'il est basé sur du tir pur, n'est pas sanglant comme un Doom ou un Quake. Vous jouez le rôle d'un flic qui n'est pas là pour dézinguer sans réfléchir sinon vous tuerez tous les otages et perdrez alors aussi de la vie ; malgré la rapidité et le nombre important d'ennemis, il vous faudra rester zen afin de vous maîtriser au mieux car tout est compté : le pourcentage de tirs réussis, le nombre de civils abattus, le nombre de cartouches tirées, le nombre de vies restantes...

Vous êtes confronté à 3 missions différentes (appelées "stage") et correspondant à 3 niveaux de jeu.
- "Big chase !" : entamez une course poursuite après des braqueurs de bijouterie
- "Save the mayor" : sauvez le maire de Virtua City des mains des ravisseurs
- "Railline shootout" : poursuivez les escrocs dans le métro et détruisez leur QG souterrain

Quelle que soit la mission ou le niveau, le jeu reste relativement simple et court. En effet au bout d'un moment, il est assez facile d'anticiper et même si des choix de direction sont à faire en cours de partie, les parcours différents sur l'intégralité du jeu ne sont pas très nombreux.

Ecran de titre

Sélection de missions

Le principe et l'interface du jeu s'assimilent assez à Operation Wolf pour ceux qui connaissent, tous deux sont nés en salles d'arcade et peuvent être utilisés avec un pistolet, (appelé Virtua Gun dans le cas des titres Sega) ce qui pimente pas mal le jeu. En outre, il est possible de jouer à 2 sur une même plate-forme ou en réseau en récupérant la partie à n'importe quel moment !

Les ennemis ne sont pas très coriaces et les boss de fin de niveau assez simples à abattre. Rapidement vous jouerez en mode difficile afin de pimenter le jeu. Des armes plus puissantes seront accessibles tout au long du jeu (magnum, fusil à pompe, pistolet automatique...) et la maniabilité est très bonne. De plus un viseur électronique de couleur vous aide à visionner les cibles et à déterminer le degré de danger que chacune représente.

Bleu :
cible lointaine

Vert :
vous avez le temps

Jaune :
l'ennemi vous aligne

Rouge :
vous êtes mal barré !

L'interface met en avant différents éléments dont les principaux sont :

Le nombre de vies

Le nombre de balles présentes dans le barillet
Le nombre de crédits restants

La position du viseur


En appuyant sur la touche "Alt" dans la version PC, vous avez accès à tout un tas de menus concernant le jeu et les paramètres d'affichage et de périphériques. Il est ainsi possible de redémarrer, de mettre en pause, d'avoir accès aux statistiques ou au classement du jeu mais aussi d'avoir accès au mode multijoueurs. Les autres menus permettent de choisir les périphériques de jeu, dans le cas de la version PC, il est ainsi possible de jouer avec souris, clavier ou joystick pour chacun des 2 joueurs.

Attention aux otages !

Attaque aérienne

Le menu d'affichage offre la possibilité de jouer à partir de la résolution 320*240 16 bits jusqu'au 640*480 32 bits, en activant ou non la correction de perspective, le bi-linear filtering et l'alpha blending mais aussi les sauts d'images ou les ombrages. Bref tout un programme qui offrait la possibilité à l'époque de faire tourner le jeu sur des ordinateurs plus ou moins puissants. Aujourd'hui en activant toutes les options, le rendu reste correct même si l'on est loin des productions actuelles... Mais au moins la jouabilité est au rendez-vous avec un (ou des) personnage(s) qui répond(ent) au quart de tour, ce qui rend Virtua Cop 2 très agréable à jouer !

Côté musique, c'est le vide intersidéral mais ce n'est pas choquant étant donné le type de jeu, ce n'est pas du tout nécessaire et on se contente donc aisément des bruitages des armes et des différents éléments du décor (que l'on peut détruire pour une grosse partie).

Statistiques

Out !

Virtua Cop 2 est donc un très bon jeu à mon sens même si sa réalisation n'est pas extraordinaire, il fait mouche là où c'est primordial dans cette catégorie : la jouabilité et le fun. Il a tout d'un grand de salle d'arcade avec ses petits "plus" du genre combo lorsqu'on touche un ennemi plusieurs fois, l'accès à une nouvelle arme trouvée dans des éléments du décor... De plus le défouloir est garanti, seules la facilité et la durée de vie trop courte ternissent un peu l'image de ce titre néanmoins à conseiller.

Jouabilité
Fun
Répond au quart de tour !
Jouable à 2

Trop facile !
Durée de vie

Par Lancelot

Merci à pour les captures d'origine

Ce jeu est considéré comme abandonware.




 Test: HALO

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Halo


Ce jeu presque mythique se classe dans les jeux que certains aimeraient bien voir sur PS2 et autres consoles. Tout le monde connaît Halo, depuis le tabac qu’il a fait sur la XBox. Ce jeu de shoot vraiment réaliste doit toute sa réputation aux 10 niveaux qu’il comporte.

Vous êtes un adjudant-chef qui s’est fait cryogénisé par des Marines. Vous meniez un escadron à la bataille et malheureusement, ce fut le carnage. Tous les camarades qui vous accompagnaient sont morts. Vous êtes le seul et unique survivant. Sauvé de justesse, des Marines vous ont congelé. Mais le « Pillar of Autumn », votre vaisseau, est attaqué par les Covenants, un peuple d’humanoïdes composé de Cyborgs et de petites bestioles rouges et jaunes. Le commandant des Marines veut que tout le monde (vous y compris) soit sur le pied de guerre. Vous n’avez qu'une arme lorsque vous le voyez. Lorsque vous sortez de chez lui, tout s’accélère. Des munitions arrivent dans votre flingue et vous abattez vos 1ères victimes.

En plus, après avoir passé une porte, vous vous retrouvez avec un fusil d’assaut : 60 balles dans le chargeur. Mais le calme n’est plus de mise : quelques Cyborgs vous attendent juste après et les Marines qui vous accompagnent ne vous sont pas vraiment d’une très grande aide. Ils ont les mêmes armes que vous mais sont moins aptes que vous à butter des Cyborgs de 2 mètres de haut ! Voilà pour le début des niveaux dont l’arsenal ne va pas cesser de s’améliorer malgré le maximum d’armes à emporter qui est de 2. 

Heureusement, vous pouvez aussi vous procurer les armes des Covenants : pour cela, ils suffit d’en tuer un et de ramasser l’arme en jetant une de celles que vous n’aimez pas ou que vous n’utilisez pas. En plus donc du pistolet et du fusil d’assaut, vous utiliserez un pistolet à plasma, bien pratique car on peu régler sa puissance : laissez la touche de tir enfoncée si vous choissez les dégâts ou tirez à foison si beaucoup d’ennemis vous entourent. Si vous choisissez les dégâts, faites attention car le pistolet chauffe et il faut le laisser refroidir. Ce n’est pas une bonne solution si plusieurs Cyborgs attaquent ! 

Il y a aussi le fusil à plasma, la même chose mais en plus gros et plus rapide. Dans les niveaux suivants, le Needler, un hérisson qui se fixe sur le poing, projette de petites munitions qui, quand elles pénètrent dans le corps d’un ennemi, explosent et le tuent d’un seul coup. Bien sûr, les Marines ne sont pas équipés que de fusils d’assaut : fusils à pompe, sniper avec visée par 8, lance-roquette et plein d’autres petits bijoux. Par contre, les munitions ne sont pas illimitées et si par hasard il arrive que vous soyez incapable de tirer, il suffit de tuer un Marines et de lui prendre ses munitions. Il faut faire attention car si vous assassinez beaucoup de vos coéquipiers, ils vont se retourner contre vous. Cela peut devenir une situation très gênante car ils ont les mêmes armes que vous et sont bien capables de vous assassiner sans aucune pitié.

Halo se distingue aussi par son mode multi joueur exceptionnel. Vous avez la possibilité de jouer en coopération avec un pote ou un frère. Ce second joueur est à vos côtés pour combattre les Covenants. Il a la possibilité de prendre les mêmes armes que vous ou d’en prendre des complètement différentes. Le mode coopération est très utile lors de sanglantes batailles où vous risquez de perdre la vie.

Heureusement, le mode coopération n’est pas le seul multi joueur de ce jeu. En effet, vous avez le choix entre plus d’une dizaine de sous-menus tel que le mode Roquette. Comme son nom l’indique, vous êtes armé de lance-roquette et vous devez tuer le plus de fois possible le ou les joueurs de l’équipe adverse. Le mode Fantôme est lui aussi très amusant : tous les joueurs sont invisibles et sont armés de pistolets à plasma mais ensuite, dans les constructions qui les entourent, les joueurs peuvent trouver des fusils sniper, des fusils d’assaut, des fusils à pompe et plein d’autres armes suivant les nombreux terrains disponibles. Le seul but restant quand même de tuer ceux qui jouent contre soit. 

N’oublions pas de préciser que l’on peut faire des groupes : s’il y a 4 joueurs, soit on fait 2 groupes de 2, soit c’est chacun pour soi, ce qui est plus marrant. Mais lorsqu’on est en groupe de 2, il y a la possibilité d’utiliser le Warthog, un char amélioré qui permet de parcourir de longues distances sans se fatiguer ou alors toutes sortes de machines bizarres. Lorsque l’on devient passager de ce char, on tire avec nos propres armes mais si on devient le tireur, une mitrailleuse placée à l’arrière du Warthog permet de shooter tous les Covenants qui approchent (pour le mode coopération).

Dans le mode campagne (1 joueur), on peut conduire et par contre, si on veut quelqu’un pour tirer, il suffit de s’arrêter près d’un Marine pour que celui-ci prenne la place du tireur. Comme autres machines, il y a le Ghost, un engin qui lévite et qui peu être d'une très grande aide. Il existe aussi le Scorpion, un méga char capable de terrasser des adversaires récalcitrants. Encore dans le mode multi joueurs, il y a la possibilité de jouer avec le XBox Live sur Internet pour combattre beaucoup plus de gens. En plus des multijoueurs par défaut, vous pouvez créer vos propres parties avec vos propres options (grenades illimitées, tous les véhicules, un plus grand choix d'armes...).

Niveau graphismes, Halo est plutôt bien fait et très réaliste (sang qui gicle même quand les ennemis sont morts). On entend bien vos supérieurs lorsqu’ils vous donnent des informations ou vos ennemis prévenir leurs compatriotes. Il y a peu de musique mais le bruit des détonations suffit. Pour la maniabilité, ce jeu est bien mais il faut bien configurer les manettes avant de jouer et il est peu difficile de s’habituer aux touches de mouvement. Ce jeu est d’une grande innovation : un des plus réaliste lors de sa sortie et des décors hyper bien faits qui cachent certaines fois beaucoup de bonus ou de raccourcis. Pour le reste, je vous laisse y jouer sur la Xbox ou sur un PC.

Mode multijoueur
Graphismes
Qualité globale

Maniabilité pas toujours évidente

Par Mikonos, alias Benji56




 Test: HALF-LIFE

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Half-Life


Vous incarnez Gordon Freeman, un jeune chercheur dans le centre de recherche de Black Mesa.
Un jour lors d'une experience banale avec des cristaux d'une mystérieuse provenance, tout dérape.

Un passage interdimensionnel est créé et des créatures extraterrestres pour le moins belliqueuses en profitent pour débarquer sur terre. En plus, et pour ne pas arranger les choses, des militaires débarquent officellement pour une mission de sauvetage mais en fait ils ont pour mission d'éliminer toute preuve de l'expérience ce qui inclus les bestioles extraterrestres et vous et vos petits copains du labo à peine sortis des bancs de normale sup ou autre M.I.T.

Bref, votre mission sera simple et sans réelle surprise : survivre.

Evidemment, cela ne sera pas facile car des centaines de monstres aussi moches que dangereux ainsi que des unités entières de millitaires et surtout, les milliards de tonnes de béton et d'acier du centre vous retiennent dans l'enceinte de Black Mesa.

Pour vous débarasser des divers obstacles vivants, vous aurez à votre disposition un arsenal digne de... rien de connu jusqu'alors. Car si cet armement brille, c'est d'abord par sa puissance mais aussi par sa diversité. Il y a bien sur des armes déja existantes comme une mitraillette de type M16 ou un fusil à pompe à double canon. Mais aussi des armes imaginaires tel qu'un fusil à gluon ou un genre de lance-insecte extraterrestre. A cela s'ajoute des grenades, des mines laser, du C4 et autre lance-missile et même des bestioles qui tuent tout être vivant à sa portée en le coursant, vous y compris.

Cet arsenal portable est aussi agrémenté par des diverses tourelles de mitrailleuses lourdes, lance-missiles et autre gros canon lourd pour les dégommages massifs de gros monstres baveux et militaires peu coopératifs.

Cette profusion d'armes, réalistes ou non, fait déjà de Half-Life un titre peu banal pour l'époque. Mais le scénario permet de convaincre les plus exigeants, fanas de conspiration gouvernementale ou plus simplement les amateurs de thriller haletant au scénario plein de rebondissements. A chaque pas durant le jeu, un pan de mur peu s'écrouler pour laisser place à un monstre. Parfois, seul le bruit des monstres permet de savoir que vous n'êtes pas seul dans le noir et que, lorsque votre lampe s'éteindra vous ne saurez plus d'où vient le danger.

Là où Half-life brille, c'est pour son incroyable durée de vie. Cette durée de vie vous permet de vous déplacer dans des endroits aussi variés qu'inattendus. Celà va des labos de Black Mesa en passant par la station de traitement des déchets sans oublier un barrage (rappelant Golden-Eye). Nous avons même le luxe de nous promener dans la dimension d'où viennent les monstres. Ce jeu est vraiment saisissant par sa complexité. Les moindres textures sont vraiment détaillées et variées.

Dans le même soucis d'être complet et réaliste, la moindre blessure laisse entrevoir une giclée de sang vert... ou rouge si c'est le vôtre. D'ailleurs, selon l'endroit que vous touchez avec votre arme, le monstre sera plus ou moins blessé. Ainsi si vous visez la tête du monstre (si vous la trouvez !), il vous suffira de trois balles, alors que si vous toucher le bras ou le ventre, il risque de mettre plus de temps à rendre l'âme.

A chaque coup, le monstre laissera percevoir un râle, et le bruit de sa chaire déchiquetée se fera entendre. C'est là un autre point fort de Half-Life et non l'un des moindres : le son.
Comme je l'ai déja dit, parfois seul le meuglement des bestioles ou militaires (devinez lequel meugle) vous permettra de déceler une présence. De même vous pourrez entendre des ennemis tentant de vous encercler aux bruits de leur pas. De même certains monstres vous entendront courir de loin. Autant dire qu'il faudra ralentir voire marcher tout doucement. Le son à une telle place que le mode "Hard" du jeu est un mode... Sans son.

En revanche, si le mode solo brille par tant de réalisme dans certains points et tant de science-fiction dans d'autres, le mode multi brille par sa quasi abscence de succès. Mais bon, ne jetons la pierre sur Half-Life pour autant car il est le papa du mod Counter-Strike qui est le 3ème multi le plus joué actuellement sur le net.

Bref, ce jeu est un classique et actuellement il ne faudra pas beaucoup de sous pour l'acheter alors Mesdames et Messieurs, ruez vous sur ce jeu de référence, au scénario, son, ambiance, et graphismes parfaits pour l'époque.

D'ailleurs ce jeu rencontre encore du succès des années après sa sortie.


Scénario
Durée de vie
Sons
Graphismes

Mode multijoueur

Par Zelgolhal

Note : Un jeu dont les successeurs portent le nom de Half-like. Un scénario haletant, des graphismes novateurs, un jeu intemporel.



 Test: GOLDEN-EYE 007

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Golden-Eye


Goldeneye 007 est tout simplement une légende du jeu vidéo. C'est le jeu que tous les développeurs envient à Nintendo et qui pousse à acheter une Nintendo 64. D'abord ce jeu reprend la licence du plus légendaire des James Bond : Golden eye. Ensuite pour les fans des anciennes versions de James Bond le jeu possède deux niveaux bonus avec le baron samedi et le golden gun, et avec Moonraker.

Le jeu est divisé en 18 missions reprenant l'intégralité du film ainsi que des ajouts afin d'améliorer le gameplay.

Chaque niveau est divisé en 3 niveaux de difficulté progressifs :
- agent
- secret agent
- agent 00

A chaque niveau de difficulté les ennemis deviennent plus rapides plus meurtriers et on a même droit à de nouveaux objectifs de mission.

Si vous finissez le jeu en agent 00 vous débloquerez le mode 007 (et oui encore lui) ou ô délice vous pouvez régler tous les paramètres ennemis (rapidité, puissance de feu, santé...). Soit vous êtes flemmard et vous mettez leur rapidité, leur temps de réaction, leur précision, leur résistance et leur puissance de feu au minimum et là un coup de crosse sur le petit doigt et ils meurent. Soit vous les boostez à fond et là il vaut mieux éviter de prendre le thé avec eux.

Vous ne devez pas vous contenter de foncer dans le tas à grands coups de Rcp-90 et tant pis pour les balles perdues. Beaucoup de niveaux comportent de nombreux civils alors attention où vous tirez !
En plus dans certains niveaux il y a des alarmes et des caméras qui ont tendance à sonner histoire de contacter le régiment d'élite d'à côté et là il faut savoir se faire tout petit. Dans ces types de niveaux, il faut faire très attention aux armes que vous utilisez. Un pistolet avec silencieux ou un coup de poing bien placé font bien souvent moins de bruit qu'un lance-missile ou une simple kalachnikov.

Golden Eye est aussi une révolution par ses armes et gadgets. C'est l'un des premiers jeux à utiliser plus de 10 armes à la fois. Cela va du simple PP7 au Rcp 90 avec 80 balles dans le chargeur la première seconde et 15 secondes plus tard plus que 10 balles mais 90 cadavres. Car la grande nouveauté c'est que certaines balles traversent les corps et les murs pour tuer les ennemis qui se trouvent derrière .

Mais il y a aussi 3 types de mines différentes :
- les mines à retardement
- les mines de proximité
- les mines téléguidées

Et là ça devient un vrai plaisir. On pose une mine de proximité sur une porte, une téléguidée par là et un pauvre soldat qui rentre dans une pièce fait tout péter et au cas où il reste des survivants on déclenche le détonateur et on profite du spectacle de loin. Mais il y a aussi des armes plus fun comme un sniper, un pistolet électrique, les lasers de Moonraker, le golden gun et même un tank (comme quoi GTA n'a rien inventé). Quel délice de se promener dans les rues de Saint-Petersbourg à la poursuite d'Ouroumov du haut d'un tank et boom un coup sur les jeeps qui veulent m'empêcher de rejoindre Natalya... (J'arrive !!!)

La qualité graphique du jeu est aussi très bonne pour l'époque on a même le droit à quelques cinématiques d'exception pour un jeu sur cartouche. C'est aussi l' un des premiers jeux à utiliser à la fois la 3D et le 360° sur ses trois dimensions. On a même droit à quelques traces de sang sur l'ennemi qui est touché. Le coté "carré" de la 3D peut gêner certain fans de Splinter Cell mais pour l'époque et même encore maintenant cela reste très acceptable.

On note cependant de nombreuses incohérences. Par exemple un ennemi qui saute n'a aucune trace de sang et est entier. On rigole bien aussi des bouts de têtes d'ennemis qui dépassent de l'autre coté d'une porte fermée parce qu' il court dedans. Mais-rappelons le : on est en 1997.

Ce jeu innove aussi par une bande son de qualité et très proche du jeu. Lorsqu'une alarme sonne la musique accélère pour dire "Il faudrait songer à COURIR!!". On adore aussi le générique de goldeneye revisité à la sauce rock (black rock'n'roll) histoire de vous encourager à libérer tous vos instincts les plus basiques sur la console. Ca ne coûte rien et seul les ennemis et le stick de la manette souffre.

En plus le mode multi joueur est excellent. C'est vraiment un régal de s'entretuer entre copains et copines et ce à 4. C'est le premier shoot sur console à proposer un multi joueur à 4. Vous pouvez même choisir des anciennes stars des vieux James bond (Odd-job, Mayday, Le baron Samedi, Jaws).

Bref précipitez-vous sur ce jeu qui de toute façon est la référence de l'époque pour le F.P.S.

Multijoueur
Nombre d'armes
Graphismes et cinématiques

Quelques bugs et incohérences

Par Zelgolhal



Note :

On peut le dire le premier F.P.S de référence dans le monde de la 3D.




 Test: HALF-LIFE : Counter-Strike

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Counter-Strike


Counter-Strike est un excellent mod (une sorte d'add-on) de Half-Life.
En ce qui concerne le réalisme, il est très bien fait, mais il ne faut pas être sensible aux images de sang (tâches de sang sur les murs lorsque l'on se prend une balle).

ArmeQuand on arrive sur une map (carte), on choisit son équipe (terroristes ou anti-terroristes) puis au fur et à mesure qu'on fait des frags (tuer un ennemi), on gagne de l'argent, ce qui nous permet d'acheter des armes.

Le choix des armes est très grand : il y a plus de 20 armes différentes. Pour le combat, on peut prendre un pistolet, un fusil (fusil à pompe, pistolet mitrailleur, fusil d'assaut ou fusil sniper), 3 grenades et 1 gilet pare-balles. On a aussi un couteau et on peut prendre un kit de désarmorçage (pour les anti-terroristes).

Il y a 3 types de missions :

1 - les terroristes doivent poser la bombe et la faire péter ;
2 - les anti-terroristes doivent sauver les otages ;
3 - les anti-terroristes doivent aider le V.I.P à sortir du bâtiment.

Il y a aussi des maps où l'on doit tirer dans tout ce qui bouge si on veut faire partie de l'équipe gagnante.


Missions
Armes
Jouabilité

Pas grand chose...

Par Shadowman





 Test: DOOM

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Doom

D
igne successeur de Wolfenstein 3D sorti un an plus tôt (1992), Doom est est la récidive d'Id Software à travers ses deux créateurs principaux de l'époque John Carmack et John Romero.

Space MarineLe scénario allie science fiction et horreur tel que nous le présente le manuel du jeu : Vous prenez le rôle d'un Space Marine sans nom, « l'un des plus durs qui soit sur terre, endurci au combat et entrainé à l'action », qui a été déporté sur Mars après avoir assailli un officier supérieur qui avait ordonné à ses soldats de massacrer des civils sans défense. Il est alors forcé de travailler pour l'Union Aerospace Corporation (UAC), un complexe militaro-industriel interplanétaire traitant des déchets radioactifs. Depuis quatre ans, l'armée utilise le site pour mener des expériences secrètes, traitant des voyages interdimensionnels et de la téléportation, entre Mars et ses deux lunes, Phobos et Deimos.

DOOM Logo

UAC Logo


Cependant, les portes spatiales sont un jour devenues instables, ouvrant un large passage aux créatures de l'Enfer. Les militaires qui y sont envoyés sont frappés de folie, et le corps des quelques hommes qui reviennent finissent par exploser. Depuis quelques heures, Mars reçoit des hurlements de détresse provenant de Phobos, et peu de temps après s'ensuit la disparition de Deimos des radars. Une nouvelle troupe est immédiatement envoyée sur Phobos pour secourir leurs camarades. L'équipe infiltre l'intérieur de la base pendant que le Space Marine surveille les alentours. Tous mourront dans les heures suivantes comme le révèlent les cris, les tirs et le silence soudain à travers la radio. Seul avec son courage, le Space Marine part alors à l'assaut du bâtiment...

L'objectif du jeu est simple : vous devez dézinguer tout ce qui se présente à vous sur cette fichue planète Phobos. Et là au niveau créature de l'Apocalypse (d'où le nom doom = damnation), vous allez être servi ! Heureusement, vous avez à votre disposition tout un arsenal : pistolet, fusil à pompe, sulfateuse, tronçonneuse, canon à énergie et enfin le BFG 9000 capable de vous éradiquer toute créature dans la pièce. Le problème est que les munitions ne sont pas illimitées, loin s'en faut ! Si vous les gérez mal, il ne vous restera plus que vos poings pour vous battre...

Ecran de titre

Ca commence !


Le moteur 3D, car il s'agit bien là d'un jeu en trois dimensoins, relativement rares à l'époque, est complètement nouveau et n'a rien à voir avec celui de son prédecesseur. Les environnements sont plus variés et les salles plus vastes avec la gestion d'"étages" au sein d'une même pièce. L'apparition de cette possibilité donne beaucoup de profondeur et une jouabilité différente au jeu. Imaginez que dès lors, vous pouvez être simultanément assailli par une créature qui est au même niveau que le votre et par une autre qui est à la terrasse de l'étage supérieur ! Cela permet des combinaisons et des situations de combat nouvelles et vous obligeant à en tenir compte dans votre stratégie de jeu.

Mais le moteur du jeu, c'est aussi un mouvement de l'arme qui suit vos pas et une impression très réaliste lorsque vous tirez. En fonction de l'arme que vous utilisez, le comportement du marine n'est pas le même : recul et levée lors de l'utilisation du fusil à pompe, tremblements avec la tronçonneuse... Les expressions du visage visible dans la partie basse de l'écran changent en fonction de la situation et de l'état physique du personnage. Que dire aussi de ses effusions de sang, de ces éclatements de cervelles, si ce n'est que ça vous plonge dans cet univers gore et fantastique ? Certains n'ont dailleurs pas apprécié, mais il faut garder à l'esprit que c'est un jeu, et uniquement un jeu. Si les personnes ne sont pas en âge d'y jouer ou pas dans un état mental sain, il ne faut effectivement pas leur mettre à disposition. Comme n'importe quel film ou jeu de rôle du même genre...

Effet de recul garanti

Têtes de mort !


Les graphismes, pour l'époque étaient relativement révolutionnaires, non seulement on était en présence de 3D mais en plus de 3D texturée. Je m'explique : le début de la 3D limitait souvent l'application à une surface d'une simple couleur pour alléger le moteur et la programmation. Ici, que nenni ! Chaque élément du décor a une texture qui lui est appliquée. C'est nettement plus réaliste. Sinon, évidemment aujourd'hui les graphismes paraissent un peu pixellisés mais en 1993, c'était le haut du pavé. Du 320*200 en 256 couleurs, pour un FPS (First Person Shooter - Tir à la première personne) en temps réel, c'était pas mal du tout ! La musique, de style Heavy Metal est très réussie et colle très bien à l'ambiance. Les effets sonores sont aussi de qualité avec la gestion de la stéréo qui permet un rendu réaliste et très utile dans ce genre de jeu.

L'intérêt du jeu réside aussi dans ses labyrinthes composés de portes secrètes voire de murs entiers pivotant ou coulissant afin de conférer une nouvelle physionomie au lieu. Face à cet espace immense, un plan vous est accessible au fur et à mesure de vos pérégrinations, pour ne pas tourner en bourrique au bout de quelques temps et avancer. Il sera nécessaire de trouver les clés et les bonnes en respectant les couleurs, vous évoluerez alors facilement au sein des niveaux. Un bilan de fin de niveau (matérialisé par un bouton-poussoir à enfoncer), vous permet de prendre connaissance de vos résultats (pourcentages d'ennemis tués, objets trouvés et caches découvertes), intéressant si vous souhaitez refaire le niveau !

Le plan providentiel

Bilan de niveau


La cerise sur le gâteau, c'est le mode multijoueur de Doom. Il est possible d'y jouer non seulement en réseau local jusquà 4 joueurs mais aussi sur Internet par modem à 2 ! Une révolution pour l'époque. Et ça ne suffit pas, nous voyons l'apparition du mode réseau Deathmatch (chacun pour soi) mais aussi le mode Cooperative (ensemble contre les sales bêtes). Un summum.
De plus tout le monde pourra découvrir toutes ces possibilités car Doom sera distribué en licence shareware. Le principe est simple : Vous avez accès au premier niveau, si vous voulez jouer aux suivants, vous achetez le jeu (paiement par envoi postal). Et voilà le coup de génie : Id Software vendra ainsi plus de 2 millions d'exemplaires et 10 millions de versions shareware seront téléchargées ! Le principe de ce mode de vente annule tous les coûts liés à la distribution, celà fera la fortune des créateurs.

Mais ils ne comptaient pas s'arrêter là. Id Software eut l'immense idée de laisser des personnes concevoir leurs propres fichiers WAD, qui sont en fait le regroupement au sein d'un seul fichier de niveaux, de graphismes et d'autres données du jeu. Celà permettait de concevoir son propre jeu sans être programmeur aguerri pour autant. Ce phénomène s'est depuis popularisé à beaucoup de FPS à travers ce qui est devenu des MODS. Le code source a été libéré en 1997, ce qui a permis ensuite à bien des programmeurs de développer des variantes de Doom parfois très réussies, avec des versions OpenGL ou DirectX. Un coup de maître pour faire entrer le jeu dans le Panthéon des jeux vidéo.

Massacre en règle

Venez goûter le BFG !


Ce jeu est le mélange d'éléments nouveaux dans le monde vidéoludique de tir subjectif. 3D texturée, stéréo, mode réseau, création de WAD... C'est quasiment toutes ces évolutions concentrées en UN jeu. Une révolution pour l'époque, et quand on sait la place qu'ont pris les FPS depuis, ils lui doivent beaucoup. Et les titres ensuite réussis en partant de ces bases sont légion : Doom II et III, Duke Nukem 3D, Quake, Unreal, Half-Life... Doom correspond à l'avènement réel du FPS. Le FPS d'aujourd'hui était né !

Jouabilité
Intérêt
Musiques et effets sonores
Graphismes
Mode multijoueur

Répétitif
Niveaux parfois trop complexes


Par Lancelot

Merci à pour les captures d'origine




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