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Evolugame: Rôle

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 Test: TALES OF THE ABYSS

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Tales of the Abyss
Avant de commencer à lire ce test, sachez d'emblée que le jeu est en anglais à l'écran et qu'il n'existe pas de vf. Voilà pourl'avertissement. Maintenant attaquons le morceau.

Tales of the Connard

L'histoire de Tales of the Abyss (TotA) se situe dans le monde d'Auldrant où a éclaté une série de conflits entre l'armée de Malkut et le royaume de Kimlasca. L'enjeu est la maîtrise d'un septième fonon (le fonon sonique) pour lequel les deux nations s'affrontent.

Vous incarnez Luke Fon Fabre, l'héritier du trône de Kimlasca-Lanvaldear qui, lui seul peut exploiter le pouvoir réel du septième fonon. Kidnappé par l'empire de Malkut, il vit cloîtré entre les murs deson château et souffre d'amnésie suite à son enlèvement. A part ça, il n'existe probablement pas de mots assez forts pour dépeindreune parfaite tête à claques que l'on aimerait baffer sans mal; arrogant, égoïste, téméraire... Luke est avant tout un anti-hérosavec lequel on ne peut s'identifier pendant au moins une bonne partie du jeu.

Très vite, des compagnons d'aventures rejoindront Luke et formeront unepetite équipe : Tear Grants (le septième foniste) qui appartient à l'ordre de Lorelai, calme etimpassible; Jade Curtiss (surnommé ''le nécromancien''), un foniste et colonel de Malkut;Anise Tatlin qui se bat avec Tokunaga, une marionnette magique; Guy Cecil, un épéiste, proche de Luke et effrayé par les filles; Mieu, la mascotte de l'équipe; Natalia, la promise de l'héritier de Kimlasca.


Tales of the English

Les graphismes sont identiques à la PS2 : nous sommes devant un portage paresseux qui n’innove pas, mais ils tiennent tout de même la route.

Le character design est de Kosuke Fujishima, qui a déjà officié sur Tales of Symphonia et Tales of Vesperia.

Un JRPG sans un bon système de combats n'existe pas. Celui qui nousconcerne, le Flex Range Linear Motion Battle System (FR-LMBS) permet de se battre en temps réel grâce aux Artes (coups spéciaux), des compétences actives ou passives, définir différentes stratégiespour son équipe, apprendre des skills en fonction des Capacity Cores équipés et de booster ses techniques en créant des cercles liés à une forceélémentaire précise, les fields of fonons.


On appréciera l'OST de Shinji Tamura et Motoi Sakuraba qui rythme agréablement les phases de l'aventure.

La durée de vie dépasse la dizaine d'heures, sans compter lesquêtes annexes et le déblocage des bonus de fin de partie.


Pour conclure : TotA est certes un portage amélioré et dégraissé des défauts qui entachaient la version PS2, même siglobalement cela reste un portage paresseux. Cependant, la réalisation globale qui honore la 3DS et l'entrain de l'aventurefont que l'on a toujours envie de continuer sans se préoccuper des petits défauts: sans doute l'un des meilleurs JRPG de 2011 et de la 3DS, tout simplement.

Meilleur que sur PS2
Character design réussi

Système stratégique des combats
Zéro temps de chargement

La carte du jeu, ratée
L'histoire lente à démarrer
Allergiques à l'anglais, s'abstenir


Par Surdy Surdy





 Test: FINAL FANTASY III

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Final Fantasy III

La sortie de Final Fantasy III (FF III) en France en 2006 constitue un événement majeur pour plusieurs raisons : d'abord un nouveau portage tout neuf sur consoles portables, un épisode entièrement refait et pensé pour la DS (et non pas un bête portage) et entièrement inédit en dehors des frontières du Japon.

Le scénario reste classique : quatre graines de héros orphelins, guerriers de la Lumière révélés par des cristaux magiques de pouvoir luttent contre le réveil des forces des ténèbres. En effet, le fragile équilibre de la balance entre le bien et le mal oscille dangereusement : le mal ayant ressurgi des profondeurs de la terre, les cristaux élémentaires (air, eau, feu, terre) ont appelé à eux des champions de la bonne cause afin de rétablir l'ordre ainsi rompu.

En avant, Guerriers de la Lumière !


Comme dans les épisodes précédents, un système de jobs (métiers ou classes) plus ou moins poussé, vous propose de choisir entre ceux-ci. Cela s'opère à chaque rencontre avec un cristal qui vous propose alors de débloquer de nouveaux jobs à chaque fois. Chaque job propose de nouvelles variations : par exemple, le freelance, job par défaut peut manier quatre types d'armes différentes et possède un accès restreint à la magie blanche et à la magie noire (niveau 1 seulement), ce qui en fait un job peu intéressant.

Vous serez avisé d'en changer rapidement et de choisir une autre classe comme celle de guerrier (4 types d'armes accessibles, possibilité d'augmenter sa puissance d'attaque au détriment de sa défense, incapacité totale à maîtriser les sorts) ou de moine (équipements limités, corps à corps prépondérant, contre-attaque automatique lorsqu'il est frappé) ou bien des jeteurs de sorts comme le mage blanc (utilisateur de magie blanche défensive et régénératrice, armement limité, lance de la magie jusqu'au niveau 7) ou encore le mage noir (utilisateur de magie noire, armement limité, lance des sorts jusqu'au niveau 7) ou plus versatile comme le mage rouge (habile compromis entre le guerrier mais limité aux sorts de magie noire et blanche jusqu'au niveau 5) ou pourquoi pas la classe de voleur (attaques rapides, armement limité, possède la capacité Voler et Retraite).


Au fur et à mesure du jeu, d'autres jobs se débloquent jusqu'à atteindre 21 au total vers la fin du jeu entre personnages martiaux (chasseur, chevalier, viking, chevalier dragon, karatéka, chevalier noir, ninja) et lanceurs de sorts (érudit, géomancien, conjureur, barde, magicien, dévot, invokeur, sage) : de quoi bien expérimenter en s'amusant et créer des combinaisons dans votre équipe. Chaque personnage du jeu (que ce soit Luneth, Arc, Refia, Ingus) peuvent tous accéder à ces différents jobs. Bien sûr, tous ne sont pas forcément très utiles, ni faciles d'accès, il faudra donc jongler entre tous ces différents paramètres pour espérer réussir à terminer le jeu.

On notera un meilleur équilibrage entre les jobs par rapport à l'opus original même si cet épisode est loin d'être novateur et audacieux comparé à Final Fantasy V. Contrairement à d'autres RPG, le système de sorts est classé par niveaux de catégorie donc même si vous ne pouvez plus jeter de sorts de hauts niveaux, il vous restera toutefois la possibilité d'utiliser ceux de bas niveaux moins efficaces. Le changement de jobs entraîne aussi une baisse temporaire des caractéristiques lors d'une phase d'adaptation (phase dite d'ajustement).

Voyager contre vents et marées

La refonte graphique de ce volet est parfaite et gère maintenant la 3D avec une cinématique d'ouverture impressionnante pour la DS comme souvent on sait les faire chez Square Enix. Notons que le double écran est peu sollicité mais que la maniabilité au stylet est disponible pour jongler dans les menus même si elle est limitée.

On peut désormais zoomer avec les boutons L et R pour découvrir des objets cachés qui scintillent ou encore pour découvrir de nombreux passages secrets qui pullulent littéralement dans le jeu. On apprécie aussi la relative liberté laissée par le jeu, prétexte à voyager sur terre comme sur mer ou dans les airs grâce à d'astucieux engins.


Comme dans tout bon RPG japonais, la progression est lente et là encore le leveling reste obligatoire pour qui veut gagner sans trop de problèmes : la difficulté volontairement old school pourra rebuter les plus jeunes mais enchantera les vieux briscards. Signalons aussi un système d'envoi de messages via le wi-fi permettant de débloquer le job inédit de chevalier oignon via les Mogs (des petites créatures ressemblant à des chats présents dans chaque ville).

La musique est variée et de qualité : tantôt discrètes dans les villages, elles se feront martiales dans les combats et les châteaux ou bien encore inquiétantes (grottes, temples).

Un mot sur le système de combats : ils se font au tour par tour : le personnage le plus agile commence le tour par une action (attaque, défense, utiliser un objet, se déplacer de l'avant vers l'arrière et vice versa, magie, fuite...) et inflige des dégâts directs capitalisés par combos en cas d'attaques directes.


Au final, ce troisième épisode s'avère rafraîchissant à défaut d'être aussi novateur que les nombreux volets qui viendront après lui, mais demeure un met de choix et constitue une bonne façon pour débuter la saga et s'initier au RPG japonais à l'instar de son rival, Dragon Quest (4 épisodes sortis sur DS).


Des graphismes agréables
Des musiques de qualité
Le système de jobs
Difficulté Old School
Une bonne durée de vie

L'interface lourde
Le leveling obligatoire


Par Surdy Surdy

Merci à pour les captures d'origine



 Test: DRAGON QUEST IV : L'Épopée des Élus

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Dragon Quest IV

Dragon Quest IV (ドラゴンクエストIV 導 かれし者たち, Doragon Kuesuto Fō Michibikareshi Monotachi, publié initialement sous le titre de Dragon Warrior IV aux États-Unis) est un jeu vidéo de rôle développé par Chunsoft pour l'éditeur japonais Enix. Il sort sur NES en février 1990 au Japon puis en décembre 1992 en Amérique du Nord. Le jeu est porté sur PlayStation par Heartbeat et ArtePiazza en 2001 puis sur Nintendo DS par ArtePiazza et Cattle Call en 2007. Cette dernière version est la première à être distribuée en Europe et bénéficie d'une traduction dans les principales langues européennes. À cette occasion, le jeu est renommé Dragon Quest : L'Épopée des élus dans sa version française.


Le commencement de la saga zénithienne

Ce volet de Dragon Quest est le premier de la trilogie zénithienne avant La Fiancée Céleste (V) et Le Royaume des Songes (VI). Point original : le jeu est divisé en cinq chapitres (plus un chapitre inédit sur DS) chacun adoptant le point de vue d'un personnnage différent.

Dans le premier chapitre, le roi de Bastione enjoint à Ragnar Mc Ryan, le capitaine de la garde à enquêter sur une disparition d'enfants.
Dans le deuxième chapitre, Alina, tsarine du royaume de Zamoksva, quitte sa ville natale et part chercher l'aventure. Elle est accompagnée de son précepteur le magicien Borya et de son second, le prêtre Kyril.
Dans le troisième chapitre, Torneko Taloon, marchand pansu à la moustache fournie de la ville de Lakanabe souhaite ouvrir son propre commerce d'armes et d'armures et devenir ainsi le plus riche marchand du royaume.



Dans le quatrième chapitre, deux jolies soeurs : Mina, une diseuse de bonne aventure et Maya, une danseuse, filles de Mahabala, un alchimiste réputé veulent venger la mort de leur père, tué par l'un de ses meilleurs élèves, Dickenz.

Le cinquième et avant-dernier chapitre, voit l'émergence de votre héros/héroïne sélectionné(e) initialement et son émouvante réunion progressive avec les personnages des autres chapitres. Ils devront lutter ensemble contre Psaro l'Exterminateur, le seigneur des ténèbres, qui souhaite plonger le monde dans la destruction et le chaos. Heureusement que votre petite mais valeureuse équipe veille au grain pour repousser les assauts du mal.

Un épisode réussi

Les graphismes ont été réalisés par Akira Toriyama, plus connu sous nos latitudes comme le dessinateur de la série Dragon Ball, très populaire au Japon.
Le style manga des personnages est donc assumé mais peut ne plaire à tout le monde.

L'animation des personnages est assez rudimentaire et témoigne de quelques ralentissements en cas d'abondance de personnages cependant ils ont seulement lieu dans les villes, donc rien de bien gênant.
La musique d'ouverture majestueuse et martiale est le célèbre thème de toute la saga Dragon Quest jouée par le Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra et reconnaissable entre tous. Sinon, les thèmes sont agréables et collent bien à l'action. Les bruitages qui ponctuent vos actions sont corrects mais rien de bien transcendants non plus.


L'interface de jeu est la même depuis les débuts de la série et s'avère assez lourde et pas très bien pensée même si la gestion de l'équipement est l'une des plus simples qui soit avec le fameux sac au contenu illimité.

Les combats aléatoires s'effectuent toujours au tour par tour, le personnage le plus agile frappant toujours en premier, suivi par les autres. Les options disponibles permettent d'attaquer, de se défendre, de chercher et d'utiliser un objet présent dans l'inventaire, de modifier la composition de l'équipe et enfin de s'enfuir si toutefois la possibilité vous est offerte.


Bien sûr, il est possible de paramétrer le déroulement des combats avec la possibilité de déterminer la nature des ordres que vous souhaitez donner à vos personnages. Sinon en cas de pépin, la magie peut vous offrir bien des portes avec la magie d'attaque (sorts de feu, foudre, glace et explosion), défense (protections) ou encore les altérations d'états (accélération...).


Les combats sont faciles d'accès et particulièrement redoutables contre les boss donc le leveling est obligatoire jeu de rôle old school oblige. Heureusement, le sort Sifflet de Torneko permet d'attirer les monstres qui rôdent aux alentours et vous permettra ainsi de monter facilement de niveau et d'augmenter votre capital de points de vie et de magie.


Un minimum de stratégie est requis pour affronter les monstres les plus puissants et limiter la casse. N'hésitez donc pas à optimiser au maximum la gestion de votre équipe en les dotant d'objets, d'armes et d'armures puissants que vous pourrez acquérir avec l'or ramassé après les combats ou dans les coffres/jarres en ville. Plus drôle, vous pourrez utiliser la capacité spéciale de Torneko pour voler les coffres d'objets des monstres en l'intégrant à votre équipe de combat.

On retrouve avec plaisir les mini-jeux du casino comme les machines à sous, l'arène des monstres et le roi qui vous offre des objets moyennant une certaine quantité de médailles.
Au final, ce premier épisode de Dragon Quest porté sur la petite portable de Nintendo constitue un choix agréable avec une aventure divertissante, pas très compliquée et amusante. Un must pour tous les fans de Dragon Quest et les possesseurs de DS.


De bons graphismes en 2D
Des jolis thèmes musicaux
Facile d'accès
Une bonne durée de vie

Une interface un peu lourde
Pas de monstres à recruter dans l'équipe


Par Surdy Surdy



 Test: DRAGON QUEST V : La Fiancée Céleste

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Dragon Quest V

Une saga terriblement populaire

A l'origine cet épisode de Dragon Quest quatrième du nom avait été réalisé en 1992 sur Super Famicom puis sur Playstation 2 : aujourd'hui, il revient de loin sur nos Nintendo DS. Cette saga de jeux de rôle terriblement populaire notamment au Japon connaît de nombreux aficionados dans le monde. J'ai choisi de tester cet épisode parce que c'est aussi l'épisode par lequel j'ai commencé à découvrir cette série.


L'étoffe d'un roi

Cet épisode fait partie de la trilogie zénithienne bien connue des fans. Votre héros -que vous pourrez nommer à votre guise- naît dans des circonstances malheureuses. Accompagné par son père Pétros, le bambin connaîtra moults aventures sur le continent notamment avec une petite fille nommée Bianca avec laquelle vous connaîtrez la joie de la chasse aux fantômes.
L'intérêt de ce titre est d'abord l'évolution de l'histoire personnel du héros. De petit gamin un peu malingre, il grandira jusqu'à devenir un adulte responsable.

Vous aurez également l'occasion inédite de pouvoir vous marier avec un choix de trois jeunes femmes différentes : de l'amie d'enfance (Bianca), à la plus sensible (Néra) ou la plus hardie (Pandora), le choix de votre épouse ne sera pas anodin. Cette dernière vous accompagnera ensuite dans votre périple. Puis – ô surprise- elle tombera enceinte et accouchera de jumeaux : un garçon et une fille. Entretemps, le jeune homme sera roi de Gotha, le souverain bien-aimé de votre grande ville.

Cette aventure a donc lieu sur trois générations ce qui nous change agréablement. Le héros partira à la poursuite de sa mère, originaire de Haute-Cime, avant de découvrir qu'elle constitue le lien entre le royaume des vivants et celui des enfers.


Une bonne réalisation

Les graphismes sont sympathiques et colorés notamment les décors des habitations particulièrement réussis. Les sprites des monstres sont le plus souvent amusants et même les boss paraissent sympathiques. Cela est du à la patte graphique spéciale des Dragon Quest (Akira Toriyama, dessinateur phare de la série Dragonball) avec ses monstres emblématiques comme le gluant/slime par exemple qui reviennent dans tous les épisodes.
Le thème musical d'introduction est de bonne qualité et donne une coloration épique à l'aventure : c'est le même que celui de L'
Épopée des Élus que les fans reconnaîtront sans peine.
Les musiques du jeu restent travaillées mais cependant lassantes ce qui fait qu'on les coupe au bout d'un moment afin d'être plus tranquille et de réfléchir.


Comme dans tous bons RPG, vous ramasserez des objets en grande quantité : récupération des points de vie ou de magie, pièces d'équipements et trucs divers qui encombreront votre sac à dos.
Les nombreux combats qui ponctueront le jeu restent fidèles à la tradition de la saga et restent en tour par tour ce qui leur confèrent un soupçon de stratégie supplémentaire et nécessitent de jouer finement.

L'aspect notoire du jeu consiste à pouvoir enrôler des monstres dans votre petite équipe à la manière des Pokémon. Moyennant de trouver un chariot, certains monstres pourront choisir d'intégrer ou non votre fine équipe de héros. Du petit gluant inoffensif au terrible dragon, tous mériteront que l'on s'occupe d'eux et pourront être équipés en conséquence et bien sûr, participer aux combats. De leurs niveaux dépendront leurs caractéristiques et aptitudes à jeter des sorts meurtriers de la même façon que les personnages humains.


Le jeu reste varié avec pas mal de petits jeux secondaires agréables à découvrir dans certaines villes et dans certains lieux : tambola, machines à sous, batailles de monstres, TnT (jeu de l'oie), courses de gluants, tape-gluants...
Cerise sur le gâteau : une fois le jeu terminé, vous pourrez choisir d'y revenir pour récupérer les objets inédits et parcourir un labyrinthe pour affronter un boss optionnel ou pourquoi pas poursuivre votre montée de niveaux comme dans un hack'n'slash.


Une quête sur trois générations
Le système de recrutement des personnages et des monstres
Une bonne réalisation
Une bonne durée de vie

Une interface un peu lourde


Par Surdy Surdy



 Test: CHILDREN OF MANA

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Children of Mana

Secret of Mana XXXV : la revanche du Chat Botté

Si vous êtes comme moi un ancien joueur ayant survécu aux années d'abondance de la Super Nintendo, vous ne pouvez pas être passé à côté de Secret of Mana. Véritable phénomène du jeu de rôle sur console, sa localisation en français n'étant parvenue jusqu'à nous qu'en 1993-94. Depuis lors, un second épisode, Seiken Densetsu 3, jamais traduit en français, du moins pas officiellement (sauf en format rom grâce au boulot de titan effectué par des fous furieux) et la sortie de Legend of Mana sur PS One ont pu faire patienter les fans de jeux de rôle entre deux parties de Dragon Quest et de Final Fantasy.

Aujourd'hui, -roulement de tambours et clairons- je vous offre en test cet épisode intitulé sobrement Children of Mana sur Nintendo DS.



Tremble petit héros !

Après un petit dessin animé très amusant en guise d'introduction, vous serez amener à choisir le personnage qui sera votre héros pendant tout le jeu. Parmi les archétypes proposés, on retrouve : le jeune garçon (orienté combat), la jeune fille (orientée magie), le petit elfe ( très orienté magie) et enfin le voyageur (un chat botté très orienté combat).

Contrairement à Secret of Mana sur console 16 bits, vous voyagerez seul et il n'est pas possible de changer de compagnon en cours de route ce qui est assez dommage car cela permettrait de briser un peu la monotonie de la quête principale.

Néanmoins, vous pourrez parcourir l'unique village à votre gré et rester discuter avec les habitants et les compagnons restants qui ne seront pas avares en précieux conseils.

Afin de varier un peu les festivités, le joueur se voit confier des missions ou quêtes annexes en vue de récupérer de nouvelles gemmes ou d'autres objets très utiles. Grâce aux gemmes, le joueur verra sa puissance décupler au combat ou en magie, sans oublier la fusion de ces petits joyaux qui vous permettra d'accéder à des combinaisons d'attaques, de défense, de protection ou de sorts très puissantes.

Si la réalisation est bonne, la musique entraînante et la maniabilité suit, le jeu est-il pour autant exempt de défauts ?

Assurément non. Malgré sa glorieuse descendance rôlistique, le titre cache en réalité un hack'n' slash kawai et trahit ainsi ses aïeux. La progression est assez basique et se limite à massacrer des ennemis par paquets de cinquante avant d'atteindre le niveau requis pour s'équiper correctement.

La quête principale suit un scénario très classique avec un seigneur des ténèbres menaçant le fragile équilibre du monde de Mana. Heureusement que la quête des esprits élémentaires et les missions annexes apportent un surplus d'argent, d'objets et de gemmes mais rien qui puissent briser la monotonie du mécanisme de base du jeu.



La machine est bien rodée néanmoins les joueurs aguerris pourront éprouver une certaine lassitude à taper éternellement sur les mêmes types d'ennemis qui ont une fâcheuse tendance à se régénérer quasiment à l'infini.


Des cinématiques sous forme d'anime japonaise
Le choix du héros
Des PNJ amusants
De beaux graphismes
Des musiques bien dans le ton
Une bonne durée de vie

Le scénario très (trop) classique
Une action assez confuse
Très répétitif donc assez lassant à long terme
La magie difficilement utilisable en plein combat


Par Surdy Surdy



 Test: NOX

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Nox

Diablo II se fait attendre ? Qu’à cela ne tienne, Westwood nous a concocté un jeu de rôle passionnant en mode solo et très drôle en multijoueurs. Magicien, druide ou guerrier, à vous d’écrire votre propre légende…

Le scénario du jeu est assez complexe. Sachez simplement que Jack Mower, un jeune homme bien de notre époque, vient par un caprice du destin d’être téléporté dans le monde appelé Nox. Tout cela, par la faute d’une nécromancienne nommée Hécuba : au moment où elle s’emparait par la magie du globe des âmes de ses ancêtres, Jack s’est retrouvé aspiré à son tour dans l’espace-temps. Grâce au globe, Hécuba est devenue plus puissante, et menace d’envahir Nox à la tête d’une légion de morts vivants. Jack – et donc, le joueur – ne pourra la vaincre qu’en récupérant les trois éléments du Fauchard, arme légendaire ayant permis la déconfiture de l’ancienne caste des Nécromanciens.

Avant même de commencer, on définit l’accoutrement, la couleur de peau et la pilosité du personnage. On peut en outre le renommer. Il faut également choisir sa profession : druide, guerrier ou magicien. Les caractéristiques en force, vitesse, vitalité et mana dépendront de ce choix, et s’amélioreront avec le gain en expérience et en niveau. Les compétences se résument aux cinq pouvoirs prédéterminés qu’acquiert le guerrier au fur et à mesure de sa progression, ainsi qu’aux sorts et invocations du mage et du druide. Tout est donc prédéfini, et la prise en main s’avère quasi immédiate.

Action et jeu de rôle

Nous voilà donc aux côtés de Jack, projeté dans un monde inconnu en jean et baskets. Selon la profession choisie, l’aventure ne s’entame pas au même endroit, et les quêtes diffèrent. En dirigeant le héros, on s’aperçoit que Nox se range définitivement dans la catégorie des clones de Diablo : le thème du jeu de rôle se voit ici mêlé à une bonne dose d’action. La vue utilisée est d’ailleurs la même, les personnages en 3D évoluant dans des décors en 2D isométrique. On se déplace en maintenant le bouton droit de la souris enfoncé. Selon que l’on dirige le curseur à proximité ou à distance du héros, celui-ci marche ou court. Jack demeure en permanence au centre de l’écran, ce dernier scrollant au fur et à mesure de ses déplacements. Dans la pratique, on s’aperçoit que le scrolling connaît quelques ralentissements en fonction des textures à l’écran, plus ou moins détaillées. Faire permuter la résolution – de 1024 x 768 à 640 x 480 au minimum – n’y change pas grand chose. Rassurez-vous, ce défaut ne nuit pas outre mesure à la jouabilité générale.

Le moteur de jeu utilise un outil très gourmand en ressources, la fonction TrueSight : le brouillard de guerre apparaît ou disparaît en fonction de la ligne de vue de Jack. Vous pourrez constater en jetant un coup d’œil aux images que les espaces cachés par des parois sont noirs. Cet affichage à beau déstabiliser au départ, on s’y habitue rapidement. Il a le mérite de renforcer le réalisme des phases d’exploration.

Des pouvoirs étonnants

Capable de sauter au-dessus de rivières de lave, Jack se révèle aussi un assez bon sprinter. Les combats se déroulent uniquement en temps réel, et tout partisan de Baldur’s Gate que l’on soit, il faut avouer que cela les rend particulièrement haletant. Ainsi, poursuivi par une horde d’ogres déchaînés, il nous est arrivé d’avoir à nous enfuir en courant et en sautant par-dessus des rochers, tout en essayant de trouver le coin le plus propice au combat en un contre un. L’IA des créatures se révèle assez aboutie : les monstres ouvrent des portes, s’enfuient, se regroupent, saisissent une pomme et se mettent à la croquer pour regagner de l’énergie. Lors de certains combats, on bénéficiera d’alliés.

Le druide devrait susciter l’engouement du plus grand nombre de joueurs. La possibilité de combattre à distance grâce à un arc et des flèches – meurtrières – vient s’ajouter à l’invocation ou l’envoûtement de créatures. Attaqué par un ours dans une caverne, on peut le charmer pour le mettre à notre service. C’était déjà possible dans Baldur’s Gate, mais ici, on est en mesure de le bannir, d’en faire notre escorte personnelle, ou même de lui enjoindre de s’aventurer à la recherche d’ennemis. Dans ce dernier cas, il suffira de cliquer sur la fonction “ observer ” pour suivre ses évolutions ! Avantage considérable, on pourra ainsi reconnaître le terrain en toute impunité. Quelle que soit la profession choisie, on utilisera des raccourcis clavier – 5 au maximum - pour se servir de ses capacités spéciales ou sorts.

Un haut degré d’interactivité

Graphiquement, l’univers de Nox fourmille de détails. Dommage que la vue soit si éloignée, cela gâche un peu le plaisir. Les bruitages, nombreux et évocateurs, emportent pour leur part l’adhésion.
Les énigmes profitent du réalisme du moteur du titre. On déclenche des mécanismes à l’aide de leviers ou d’interrupteurs, on faire rouler des rochers, on détruit des murs révélant des endroits secrets, ou encore on se sert de tonneaux remplis d’eau pour éteindre des incendies. On s’étonne sans cesse du nombre d’objets à déplacer, et du niveau général d’interactivité.

Soyons franc, le titre de Westwood ne représente pourtant pas le jeu de rôle ultime. Les quêtes se révèlent très linéaires, on n’a pas la possibilité de revenir en arrière et la liberté du joueur est bridée. Politiquement correct, le jeu ne nous autorise pas à occire des villageois. Par ailleurs, les voix françaises sont parfois un peu niaises. Malgré ces lacunes ou défauts, on joue encore et toujours, des heures durant. Nox hypnotise, et vous n’aurez de cesse de le terminer, puis de le recommencer pour expérimenter d’autres professions. Quant au mode multijoueurs, il s’agit d’un véritable jeu dans le jeu. Pour toutes ces raisons, il serait dommage de passer à côté du titre de Westwood…

Pièges, chausse-trappes et autres traquenards

Le monde de Nox, au début accueillant, révèle dès l’épreuve du Donjon – si vous choisissez la voie du guerrier – de nombreux pièges. La majorité d’entre eux sont immédiatement mortels, mais on peut parfois s’en tirer avec de simples blessures ou… de belles frayeurs. On peut ainsi tomber sans crier gare dans un trou, et se retrouver à l’étage inférieur. Autre piège bénin emprunté à Diablo, les tonneaux explosifs vous enlèveront quelques points de vie.

D’autres vous demanderont une certaine logique et de la coordination pour échapper à la mort : par exemple, les flammes apparaissant sur plusieurs mètres pour s’éteindre progressivement puis se rallumer, et les blocs de pierre hérissés de pointe réalisant diverses figures géométriques. Plus classiques, les murs dissimulant des flèches qui jaillissent à votre passage. La possibilité de sauter offerte par Nox se révèle alors très utile. De quoi se prendre pour Indiana Jones… Enfin, on remarque une réelle innovation : pour la première fois, certains monstres peuvent vous tirer dessus à l’abri derrière des meurtrières. Heureusement, vos alliés pourront agir de même.

Multijoueurs : Quake dans un jeu de rôle !

S’il est un domaine dans lequel Nox se démarque de Diablo, c’est bien le mode multijoueurs. En effet, inutile d’espérer pouvoir participer à la guerre contre Hécuba en coopérant au sein d’une équipe d’aventuriers, cela n’est pas prévu. L’équipe de Westwood a préféré miser sur ce qui a fait le succès de Quake, en donnant aux joueurs l’opportunité de disputer des petites parties de 5 minutes ou plus sur le Net ou en réseau local. De 2 à 32 participants s’étriperont ainsi joyeusement lors de parties de matchs à mort, captures de drapeau, élimination, contrôle de la couronne, ou flagball.

Les règles des matches à mort et capture du drapeau ne vous sont sans doute pas inconnues. La formule élimination consiste quant à elle à survivre jusqu’à l’anéantissement de tous les adversaires. Le contrôle de la couronne s’avère tout aussi sanglant : vous ne pourrez marquer des points en assassinant d’autres joueurs qu’à la condition d’avoir trouvé le précieux trophée. Tuer sans porter la couronne sur le front ne rapporte donc rien. Enfin, le flagball s’avère le plus original de ces modes de jeu : rien moins qu’une partie de football, chaque joueur devant s’emparer d’une boule magique et viser le drapeau adverse situé dans une cage en bois.

A l’instar des meilleurs Quake-like, on définit le nombre de frags maximum, ou un temps limite. Le titre comporte pas moins de 22 arènes. En cochant l’option adéquate, chaque nouvelle partie débutera dans un niveau différent. Le serveur sera également à même d’interdire certains sorts, armes ou armures.

Magie et alliés

A l’usage, on s’aperçoit que les niveaux de jeu sont souvent assez vastes, comprenant parfois deux étages. Il importe donc de choisir le terrain en fonction du nombre de joueurs. Il ne faut pas oublier que certaines arènes sont prévues pour accueillir 32 participants, alors que d’autres se destinent à un groupe de 4 ou 5 joueurs. A deux, on passe beaucoup de temps à se courir après sans se rencontrer. Heureusement, si vous incarnez un druide, il vous suffira d’invoquer des créatures et de leur ordonner de rechercher l’ennemi, puis de les observer sans vous fatiguer. Quelle que soit la classe de personnage sélectionnée, notre avatar est dès le début un surhomme de niveau 10. On a donc accès à toutes les compétences et sorts existants.

Voici un exemple des possibilités offertes : avec un sorcier, on peut marquer une salle remplie de tonneaux de dynamites, y placer un piège magique, et dès lors que l’on rencontre un ennemi, le téléporter sur le marqueur près du piège, où il sera sûr d’exploser. Tout cela promet donc des parties aussi tactiques qu’endiablées. Terminons par l’excellente initiative de Westwood, qui permet au serveur de bannir un joueur. Son nom apparaît alors sur une liste et il ne peut plus revenir. Voilà les tricheurs prévenus.

L'intrigue passionnante
Le mode multijoueurs
L'interactivité globale
Les musiques et bruitages
Le nombre de sorts et de créatures

La fluidité insuffisante du scrolling
La vue trop éloignée
Un certain manque de liberté

Par  Emmanuel Guillot




 Test: SECRET OF EVERMORE

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Secret of Evermore

Alors qu’elle est déjà connue pour son incontournable série Final Fantasy et celle de Secret of Mana, la société Squaresoft n’a plus à faire ses preuves en matière de RPG. Pourtant, en 1995, elle en édite un nouveau : Secret of Evermore. Le nom fait beaucoup penser à la série Secret of Mana, d’autant plus que le gameplay est fort similaire. Tout le monde s’attend à un nouveau RPG classique, mais Secret of Evermore a ce truc qui le différencie des autres.

Ce jeu est un des seuls qui se déroulent en partie en France. En effet, l’histoire débute à Pontoise, vous êtes le héros, un jeune homme avec une belle mèche. On apprend qu’en 1965, un savant fou a créé une machine puis a disparu, laissant son manoir à l’abandon.

30 ans plus tard, le héros, qui sort d’une séance de cinéma avec son chien, pénètre dans la maison du savant. Il découvre une invention et l’active. Il est alors téléporté dans le passé. Bizarrement, son chien est devenu un chien-loup. Dans votre quête, vous passerez par la préhistoire, la civilisation grèque, le moyen-âge puis enfin le futur. Votre fidèle animal de compagnie changera d’apparence à chaque nouvelle époque que vous visiterez. Votre but est de revenir à Pontoise. L’histoire semble banale, mais le jeu possède un certain humour et ne manque pas de rebondissements.

Au niveau jouabilité, il y a deux commande à maîtriser :
- Les armes, pour le corps à corps, etc.…
- L’alchimie, en effet le héros utilise des formules chimiques pour faire de la magie, il rassemble des matières premières telles que de l’eau, de la cendre, etc. Si vous arrivez à allier ces deux commandes, le jeu ne devrait pas vous résister.

Il y a deux phases de jeu, les combats et la recherche. Lorsque le climat est hostile, vous devrez vous battre avec votre chien contre les ennemis. Ces moments sont pour moi les plus intéressants. Les phases de recherche se situent généralement dans les villes, vous devrez parler à tout le monde, entrer dans les maisons, trouver le maximum d’objets et de formules pour pouvoir progresser dans l’aventure.

Notamment en Grèce antique où vous devrez faire beaucoup de troc. C’est à ce moment qu’il faut vous équiper en armes et en armures pour ne pas être déstabilisé pendant les combats. De plus, vous êtes en équipe avec votre chien, vous pouvez régler ses actions pour élaborer une bonne stratégie. Globalement le gameplay est très proche de celui de Secret of Mana, et on ne ressent que très peu de différence.

Les graphismes sont très bons (normal on est en 1995, vers la fin de la super nintendo). Les décors sont très bien modélisés, tout comme le héros. Lorsque vous prenez l’avion, vous avez une vue en 3D fort bien réalisée. Rien de mauvais à dire sur les graphismes.

Côté musique, on ne peut pas vraiment en parler dans de ce jeu. En effet, lorsqu’on est dans une ville, on entend plus les effets sonores que le thème de la ville (qui est en fait inexistant). Cependant, même les effets sonores laissent à désirer. On entend beaucoup les grognements du chien est c’est assez lassant. Un très mauvais point du jeu !

Ce jeu possède quelques bons points comme le scénario qui est relativement correct. Les graphismes sont aussi très bons. Mais la bande son laisse vraiment à désirer, et le gameplay fait trop penser à Secret of Mana. Cependant, ce jeu reste bien et ne décevra pas les amateurs de RPG.

Scénario
Graphismes

Bande son

Par Oversides

Merci à pour les captures d'origine




 Test: SEIKEN DENSETSU 3 : Secret of Mana 2

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Seiken Densetsu 3

Ce jeu est la suite d'un mythe sorti en 1994 sur la Super Nintendo en Europe ce titre action/rpg vous l'avez sûrement reconnu il s'agit de Secret Of Mana bien sûr... Malheureusement pour nous, pauvres européens, nous n'avons pas eu la chance immense de voir ce jeu arriver chez nous... snif. Grâce à l'émulation le jeu a été traduit et il est disponible !! Voici le test de ce qui est certainement à l'heure où je vous parle, l'un des meilleurs RPG de toute l'histoire du jeu vidéo !! Voici le test de Seiken Densetsu 3 autrement dit Secret Of Mana 2 !!

L'histoire de ce jeu est très complexe car il y a plusieurs déroulements de celle-ci étant donné que le choix des personnages de départ influe sur le scénario. Vous ne combattrez pas les mêmes monstres qu'avec d'autres, le fond de l'histoire se base sur les guerres qui vont arriver pour récupérer l'épée mana source du pouvoir ultime. Vos ennemis veulent l'offrir au Maître des Enfers pour qu'il gouverne le monde mis à feu et à sang par les dieux destructeurs.... Vous devez prendre en main votre destin et sauver le monde de Mana et le vôtre !!

Les graphismes sont... SOMPTUEUX !! C'est du grand art, certainement l'un des plus beaux jeux de la Super Nintendo voire même le plus beau ! Très détaillés, les graphismes sont fins et très beaux, les paysages sont magnifiques et le temps s'écoule... Les textures sont très bien adaptées pour le changement du ciel, les couleurs sont bien utilisées. Que dire de plus si ce n'est qu'il est magnifique sans oublier le fait que la vue isométrique 3D (ou mode 7) est présente pour les vols à dos de dragon ou pour une croisière "tortueuse" (houhou quel jeu de mot) à dos de tortue géante avec un masque de plongée sur la tête on dirait un toxico tellement c'est bien fait... Plus sérieusement c'est vraiment magnifique vous verrez pendant un combat, la tête de votre dragon est magnifiquement réalisée !!

Les musiques sont pas mal et certaines sont très entraînantes, pas trop lassantes de bons petits airs !! Ce n'est tout de même pas ce que l'on retiendra de meilleur sur ce soft...

La difficulté du jeu varie vraiment énormément car cela dépendra des niveaux de vos personnages, la difficulté du jeu s'accroit elle aussi au fur et à mesure que vous avancez mais rassurez-vous il n'est pas impossible à finir (heureusement d'ailleurs). La durée de vie (mon dieu) pour le finir complètement c'est à dire : avoir joué avec toutes les classes de tous les personnages il vous faudra finir le jeu 4 fois avec 2 équipes de 3 personnages différents en tout 8 fois déjà qu'il faut au moins 20 bonnes heures pour finir le jeu si on prend son temps (et on le prend forcément même si c'est pas voulu...). Alors multipliez ça par 8 et retirez 5 heures (quand on l'a fini une fois c'est plus facile les 7 autres fois !!) ça fait 155 heures de jeu !! C'est énorme pour un jeu de cette époque !!

Ce jeu est certainement l'un des meilleurs RPG qui puissent exister de toute l'histoire du jeu vidéo, il est long et prenant il mérite un bon 18.5/20 et je le sous-note je crois bien...

Scénario
Graphismes
Durée de vie

Que dire ?

Par Shinji




 Test: FRONT MISSION

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Front Mission


Front Mission
est un des meilleurs Tactical-RPG de la Super Famicom : réalisation soignée et durée de vie à toute épreuve, on prend un plaisir fou à combattre les ennemis avec ses robots customisés au maximum, le jeu est tactique, stratégique, bref un petit bijou. Squaresoft signe ici le 1er épisode d'une grande série qui sera, plus tard, grâce à son succès, à dimension mondiale puisque Front Mission 3 fut distribué au Japon, aux Etats Unis et en Europe.

 

Les graphismes de Front Mission sont très détaillés, il s'agit là d'un des plus beaux Tactical-RPG de la Super Famicom ! Les robots sont très bien dessinés, on voit les douilles de balles tomber sur le sol... Bref un grand soin a été apporté dans ce domaine.

Peu d'animations sont nécessaires pour ce genre de jeu puisque les robots se déplacent sur une carte en vue éloignée. Par contre en combat rapproché, les robots bougent bien et sont crédibles. Tantôt dramatique, tantôt vengeresse, la musique correspond parfaitement au jeu. Elle est, en plus, de bonne qualité. Les bruitages sont très variés selon le type d'arme utilisé et sont réussis.

 

On ne dirige pas vraiment en temps réel son robot puisqu'il s'agit d'un jeu d'échec grandeur nature (on place sur des cases ses alliés). Néanmoins les menus sont très clairs et sont en anglais !

Trente missions de plus en plus longues et difficiles vous attendent. Vous n'avez pas la possibilité de sauvegarder votre parcours pendant une mission ce qui rallonge en plus la durée de vie déjà très importante. Un des points forts du jeu.

 

L'avis de Destructor

Front Mission, que de souvenirs ! Avril 1995, je me souviens qu'avec mon frère, on avait dépensé 750 francs pour l'acheter en import dès sa sortie ! Je me souviens aussi du choc quand j'y ai joué pour la première fois ! J'ai été déstabilisé au départ par le fait qu'on décidait d'une action mais que cette dernière s'effectuait automatiquement, mais ensuite, quand j'ai découvert la dimension stratégique de la chose, j'ai vite été accro, tellement d'ailleurs que je me souviens en avoir rêvé le soir même !!!

J'ai aussi adoré la customisation de ses Wanzers dans les magasins, c'est vraiment un réel plaisir de choisir quel type de bras, de jambes, d'arme de poings et d'épaule on va attribuer à chacun de ses robots. Rares sont les jeux à m'avoir apporté autant d'émotions et de passion, j'ai rarement été accro à un jeu avec autant d'impatience d'y rejouer que celui-ci ! Un des grands moments de mon expérience vidéoludique !

 

L'avis de Dangerous Man

Squaresoft nous prouve une fois de plus avec ce titre qu'il est un dévelopeur de génie. En effet, très néophyte dans le domaine des wargames avant de m'essayer à Front Mission, je dois avouer que ce jeu m'a littéralement bluffé. Très proche d'un RPG finalement dans son concept à l'exception qu'il n'y a là que deux principales phases de jeux différentes: villages et batailles, ce Front Mission se révèle à mes yeux tout aussi passionnant qu'un Final Fantasy.

L'atout majeur de ce titre réside dans le fait que toutes les fenêtres sont en Anglais malgré le fait que le jeu soit uniquement dispo en JAP, du coup aucun problème de langue pour la jouabilité du soft. Ajouté à celà, des graphismes magnifiques, des cartes grandes et variées, des missions aussi passionnantes que longues (les dernières vous demanderont 2h au bas mot), des possibilités de réglages de robots immenses, une durée de vie excellente (au minimum 40h de jeu garanties) ainsi que des choix tactiques très larges. Bref, Front Mission est une bombe indispensable pour tout amateur de wargames tour par tour.

Durée de vie
Réalisation générale

Jouabilité parfois déstabilisante au début

Par Loïc Cena




 Test: FINAL FANTASY V

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :


Vous, Butz, avez un oiseau qui vous transporte partout. Votre compagnon se nomme Boco. Pendant que vous vous reposez à votre campement devant un bon feu, une météorite s'écrase à toute vitesse tout près de vous. Vous allez voir sur les lieux de l'accident et vous trouvez une jeune fille aux cheveux rose nommé Lenna. Vous rencontrez aussi un vieil homme nommé Galuf qui a perdu la mémoire en tombant car la météorite est tombé très près de lui. Vos nouveaux compagnons ont tous deux besoin d'aller à Wind Shrine, Lenna y va pour retrouver son père qui est le Roi Tycoon. Galuf, lui, a le présentiment qu'il doit y aller aussi donc vous n'avez pas le choix. Vous devez les accompagner à Wind Shrine.

Dans ce RPG, vous pouvez faire des combats contre des ennemis qui se mettent en travers de votre chemin. Il y a des magasins pour pouvoir y acheter toutes les choses dont vous avez besoin : armes, potions, antidotes, etc... Il y a aussi 2 sortes de magies. La magie noire qui vous permet de tuer des ennemis, et la blanche qui peut vous redonner de la vie.

Il y a pour commencer différentes options dans le menu : Item, Magic, Equip, Stats Config et Save.
Tout d'abord, l'option Item. Cette option est l'endroit où tous les objets que vous ramassez se retrouvent. ex: Si vous ramassez une potion elle ira dans l'option Item.
L'option Magic est l'endroit où vous pouvez voir vos magies, Noir et Blanche. Tous les sorts que vous pouvez utiliser y sont.
L'option Equip est l'option où se trouve votre équipement (armes, boucliers, casques, bottes, etc...) .Vous pouvez donc vous équiper dans cette option.
L'option Stats est l'endroit où vous trouvez vos HP, vos MP, l'expérience qu'il vous manque pour monter de niveau et vos habilités : force, agilité, vitalité, force magique, magie défensive, attaque et défense. L'option Config vous permet de configurer votre jeu, le son, la vitesse du texte, les couleurs du jeu etc...
L'option Save vous permet bien sûr de sauvegarder lors de la partie. 


Les graphismes de Final Fantasy 5 sont des graphismes typiquement Final Fantasy. Ce sont à peu près les même graphismes que dans les autres Final Fantasy. L'animation est très bonne lors des combats. Les sons du jeu sont très bien, les bruits sont bien retranscrits et les sons des attaques lors des combats sont très réalistes. Les musiques du jeu sont assez bonnes et ne se ressemblent pas toutes comme dans certains RPG. C'est bien le changement de musique parfois...


Ce jeu est un très bon RPG de la série des Final Fantasy. Je n'ai qu'une chose à dire, le jeu est parfois trop difficile, mais on peu facilement passer le début. Il ne faut pas se décourager, sachez que tout jeu est finissable.

Musiques et sons
Bon gameplay

Difficulté

Par Tonio4

Merci à pour les captures d'origine




 Test: SUPER MARIO RPG

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :

Pour le scénario il n’y a pas de problème, il est tout à fait correct et il change des autres Mario où il faut sauver Peach en battant Bowser. Cette fois Peach est retenue dans le châteaux de Bowser par une épée géante qui veut conquérir le monde. Mario va devoir récupérée 7 étoile dispersées dans le monde mais il sera aider par de nouveaux personnages inédits.

Pour la maniabilité aucun problème à part pour les combats car vous ne pouvez utiliser les flèches si vous vouler prendre un objet mais ce n’est un gros handicap. Sinon pour se déplacer dans le monde, pas de problème, de plus Mario peu courir car ce n’est pas le cas de tout les jeux c’est bien dommage.


Dans se jeu il y a l’occasion de découvrir des chose exceptionnelles, vous pouvez voir comment Bowser s’alliera avec Mario pour la première fois, vous verrez de nouveaux personnages. Le jeu est préparé en plus avec une pointe d’humour très drôle, c’est pour ça qu’il vaut mieux l’avoir en français. Vous trouverez aussi un système de combat au tour par tour très réussi, vous jugerez par vous même.

Les graphismes sont très réussis pour la Snes.

Des musiques qui sont variées, elles changent des autres Mario mais y ressemble un peu mais sinon on ne s’en lasse pas trop. Malheureusement suivant les lieux certaines bandes se ressemble

Jeu très simple à part des boss corsés mais cela ne doit pas décourager les débutants sinon pas de problème. Mis à part que pour montée de niveaux plus loin dans le jeu c’est long surtout quand il faut s’entraîner pour un boss mais ce n’est pas terrible au point d’abandonner.

Jeu d’une beauté extrême je préviens pour ceux qui l’essaieraient de ne pas se décourager au boss qui ressemble à un gâteau. Sinon je n’ai que du positif à dire (je pourrais faire un roman). Un petit reproche tout de même, les courses sur l’île de yoshi sont très difficiles.

Un jeu magnifique qui mérite un 17/20 sans problèmes.

Par Micka




 Test: BAHAMUT LAGOON

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :

I
l y a longtemps, le général Sauzer, chef des armés de Granbelos eut envie de conquérir les lagons. Vous êtes un chevalier croix, chef de l’escadrille de Kana, chargé de protéger votre pays de Granbelos. L’histoire commence quand vous vous préparez à une bataille décisive pour l’avenir de Kana. Vous partez donc avec vos amis Taurus, Rush et Bikkebakke bien décidés à remporter cette bataille. Enfin, s’il y en a une…

 

L’histoire est très bien conçue, il y a pas mal de rebondissements et l’on rencontre beaucoup de nouveaux personnages au cours du jeu (normal, c’est du Square Soft). Le seul défaut est une traduction médiocre à certains moments du jeu.
Les graphismes sont supers avec des décors très soignés et des personnages et des dragons bien étudiés. Il y a des effets d’ombres et de lumières très recherchés. Les graphismes sont donc entre la snes et la playstation.

 

Pour les combats, ça se passe au tour par tour, donc vous avez tout votre temps pour décider ce que vous allez faire. Vous pouvez faire soit une attaque frontale, soit une attaque à distance. Comme chaque personnage a un dragon et plusieurs attaques, vous avez un très large choix de possibilités. Pour le reste, c’est facile, vous avez un bouton pour parler, prendre les objets et c’est tout.

 

La prise en main rapide et les combats relativement simples rendent le jeu facile pour les débutants. Les capacités des dragons peuvent êtres améliorées par des objets et, comme plus votre dragon est puissant, plus vous êtes puissants, vous pouvez augmenter rapidement vos propres capacités, ce qui rend le jeu très facile. Même si les combats deviennent difficiles vers la fin, vous pouvez rendre invincibles vos dragons si vous avez assez d’argent pour acheter des champignons.

 

La musique est géniale et ne rassasit toujours pas au bout de dizaines d’heures de jeux. Les bruitages sont sublimes pour la snes. Le fait que le dragon pousse un cri au moment de l’attaque ou même quand vous allez le consulter rend le jeu doublement accrochant.

 

Ce jeu fait partie des meilleurs que l’on peut trouver. Tout collectionneur ou grand joueur se doit d’avoir ce merveilleux jeu et de le finir. Attention ! Le jeu perd tout son intérêt s’il n’est pas en français (pour ceux qui ne comprennent que la langue de Molière bien évidemment).

Scénario
Graphismes
Jouabilité
Musique et bruitages
Traduction

Par Max




 Test: ILLUSION OF TIME

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :


C’est en 1994 que le studio Enix créa l’un des meilleurs RPG (jeu de rôle) de l'époque : Illusion of Time !! En effet l’histoire du jeune Paul et de la princesse Flora est une des meilleures sur super nintendo. Ce genre de jeu a connu son apogée avec la snes et Illuson of Time est un de ses meilleurs titres. Bien que le genre possède déjà des références telles que la célèbre série de Square soft : Final Fantasy et Secret of Mana ; Illusion of Time est à part grâce à son scénario et son gameplay.

 

Vous incarnez le jeune Paul, fils du célèbre explorateur Octave disparu depuis longtemps, et vous menez une vie paisible dans la petite ville de Cap sud. Un jour, en rentrant de l’école, Paul découvre la princesse Flora avec son petit cochon Hamlet dans son salon. La petite fille est malheureuse chez elle car elle ne supporte pas que son père veuille s’accaparer toutes les richesses du monde. Flora restera à peine une journée auprès de Paul que les soldats viennent la chercher et la ramène au palais. Le lendemain, Paul reçoit une lettre du Roi l’invitant au palais et lui demandant d'apporter une bague précieuse. Mais le héros, qui ne possède pas cet objet, se rend quand même au palais, impatient de revoir Flora. Les retrouvailles sont de courte durée car le Roi veut la bague. Lorsqu’il se rend compte que Paul n’a pas la bague, il s’emporte et le jette en prison. Une fois sorti, Paul rencontre son ego Chrysaor, un grand chevalier. Pour la suite à vous de jouer !!

 

Dans les villes, vous vous déplacez et discutez avec les gens. Vous devez trouvez des gens qui vont vous aider dans votre quête ainsi que des rubis de feu (50 rubis donnent l’accès à un niveau bonus). Dans les lieux d’action, vous incarnez Paul ou Chrysaor. Paul se bat avec son bâton et Chrysaor avec son épée. Si vous éliminez tous les ennemis de la salle, les compétences de Paul augmenteront. Certains lieux d’action se terminent par un boss. Le perso est facilement pris en main pour les débutants, il existe aussi des petites subtilités pour les joueurs confirmés. Un jeu donc qui s’adresse à tout le monde.

 

Les graphismes sont super bien réussis. Ce jeu utilise entre autre le mode G7 qui permet de faire tourner l’image de 360°. Les personnages sont en harmonie avec les décors et les actions sont superbes. Les séquences intermédiaires sont magnifiques. Ce jeu pousse presque la super nintendo au top de ses capacités. Un très bon point !
Tout comme les graphismes, les musiques sont superbes. Le rythme est calme dans les villes et s’accélère dans les lieux d’action. Chaque ville a son propre thème avec des instruments différents. Le plus impressionnant reste l’ambiance qui règne dans ce jeu. L’alliance son et graphisme est très bien réussie.

 

Dans ce jeu, la difficulté est croissante. Les premiers niveaux sont très faciles mais vers la fin ça se corse énormément. Pour ce qui est de la durée de vie de ce jeu, elle est malheureusement faible. Il n’y a que 6 statues hexade à collecter, ce qui est assez peu.

 

Un très bon RPG qui se démarque des autres RPG de l’époque grâce à son ambiance superbe, son histoire, etc… Toutefois on regrette que ce jeu soit si court et que la quête ne soit pas plus longue. Mais celà ne gâche pas le charme du jeu. Illusion of Time est un des meilleurs RPG sortis en France !!!

Scénario
Jouabilité
Graphismes
Musiques

Durée de vie

Par Oversides



Note :

Ce jeu s'appelle "Illusion of Gaia" sur le territoire américain.




 Test: FINAL FANTASY VI

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Final Fantasy VI


Final Fantasy 6 est le dernier sorti sur Super nes et le dernier en 2D. Un adieu grandiose à notre bonne vieille console. Encore aujourd’hui, Final Fantasy 6 est considéré par beaucoup comme le meilleur de toute le série.

Il y a bien longtemps la guerre des Reines Magi avait dévasté le Monde. Mais aujourd’hui, le monde s’est reconstruit et la haute technologie règne. Mais des forces maléfiques n’ont pas oublié que la Magie, la puissance la plus destructrice, n’a pas totalement disparue. Un Esper a été découvert dans les mines de Narshe et marque ainsi le début de la nouvelle guerre…
Terra est le premier personnage que vous incarnez. On comprend très rapidement qu’elle est un peu « spéciale ». Puis elle rencontre Locke, qui la sauve, et le jeu commence réellement.

Le scénario de ce FF6 est, comme ses prédécesseurs, très travaillé et palpitant. Mais ce qui le différencie des autres FF c’est qu’il n’y a pas de héros. C’est vous qui choisissez librement les membres de votre équipe.
On pourrait croire que l’histoire se résume en cela : tuer le méchant pour sauver le Monde. Mais c’est autre chose. C’est en effet le premier FF où les personnages ont une psychologie extrêmement poussée et surtout c’est l’apparition des mini-quêtes qui pimentent le jeu et le rendent très long.
Le scénario vous réserve de très nombreuses surprises…

Les personnages, malgré leur petite taille sont fort jolis, les décors intéractifs et surtout très beaux eux aussi. Les ennemis, même s’ils ne sont pas animés font preuve d’un grand talent et de créativité de la part de Square. Chaque arme est représentée différemment pendant les combats, ce qui accentue la personnalisation des personnages. Et puis, les effets magiques sont vraiment…magiques !

Dès la première musique au générique de début, on ressent que tout le jeu va intégrer de superbes musiques. Tantôt douces, tantôt plus rapides, on ne se lasse jamais. Vous aurez même l’occasion de jouer dans un opéra.
Square savait l’importance des musiques dans un jeu de ce type et n’a pas raté son coup.

Square a réussi à allier dans les combats stratégie et aisance d’action ce qui rend les combats palpitants et pleins d’actions. On a pas le temps de s’ennuyer. Les menus sont très clairs, et les systèmes des magies et des Espers faciles à assimiler. Du coup, dès le début du jeu, on sait déjà tout faire, reste plus qu’à trouver une bonne stratégie. Et malgré toutes les différentes phases de jeu (Airship, Bateau, Chocobo, train de la mine…) la jouabilité ne perd rien.

Final Fantasy 6 marque la fin d’une ère de RPG mais est aussi le précurseur des RPG modernes auxquels nous jouons tous actuellement. Seuls ses graphismes anciens en 2D permettent de différencier ce jeu des autres RPG.

Final Fantasy VI était, est, et restera un des meilleurs RPG.

Scénario
Musiques
Mini quêtes

Graphismes vieillissants

Par Soldat Carbonaro

Merci à pour les captures d'origine




 Test: DIABLO

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Diablo

L
orsque le mal décide de renaître, c'est toute une ville qui tombe sous l'influence maléfique. Le traitre Lazarus, prêtre dans une église a décidé de ramener Diablo sur terre et des hordes de créatures malfaisantes accompagnent son retour.

Lorsque vous lancez le jeu, le ton est donné dès la cinématique. Il s'agira de lutter contre la racine du mal même. Ensuite, on remarque immédiatement que l'on peut jouer en multijoueur ou solo. Je lance la partie solo et là, j'ai le choix entre trois personnages.

Un magicien, un guerrier, et une archère. Les principales caractéristiques des personnages dépendent directement de la classe du personnage. Ainsi si vous êtes magicien, la quantité de points de magie sera plus grande que si vous êtes un guerrier. En revanche si vous êtes un guerrier, votre force sera plus élévée. Et si vous êtes archère, alors votre agilité sera grande.

Mais rassurez vous, vous aurez la possibilité de faire évoluer ces caractéristiques. Plus vous tuerez de monstres visqueux, plus vous acquérirez de l'expérience. Et quand vous aurez suffisament de points d'expérience, alors vous gagnerez un niveau et pourrez distribuer 5 points entre les quatre caractéristiques de votre personnage (Force, Agilité, Magie et Vitalité). Plus un de vos caractères sera développé, plus vous aurez de possiblités suivant ce caractère.

Donc, si votre force est grande, vous pourrez utiliser des armes qui demande un fort taux de force et vous améliorerez les dégats infligés aux ennemis. Si votre agilité est forte alors votre précision sera plus grande et vous déplacerez plus vite. Si votre magie est grande, alors vous pourrez contrôler de nombreux sorts et avoir beaucoup de mana en réserve, mana qui est indispensable pour lancer un sort. Et si votre vitalité est très élevée alors vous serez très résistant et supporterez un plus grand nombre de dégats.

Un serviteur du bien ne peut (en théorie) porter une arme, mais comme les créatures maléfiques ne sont guère versées dans la pitié et que les dévellopeurs de Blizzard ne sont pas fous, vous aurez à votre disposition tout un arsenal moyen-âgeux.

Cela va de la masse étoilée, au marteau de guerre, sans oublier les si nombreux différents arc : long, court, composite, de tueur, etc... Mais il y a aussi les classiques épées courtes et autre dagues, couteaux, et petites cuillères. Sans oublier les beaucoup moins classiques bâtons de magie qui, outre leur capacité assommante pour monstre bélliqueux, permet de lancer de lourds sorts dévastateurs sans dépenser de mana.

La plupart de ces armes seront en vente chez le forgeron du coin mais vous récupérez une grande partie de ces armes sur le cadavre d'une créature (le fait que la créature soit dans l'état d'un cadavre ne signifie pas forcément qu'elle soit incapable de se défendre).

Outre la floppée d'armes, il y a aussi quantité d'armures, capes, robes, casques, heaumes, casquètes et chinions pour se protéger des griffes ennemis. Evidemment, plus une armure a une capacité de protection, plus elle est chère.

Un pourfendeur de monstres a toujours vécu un jour ou l'autre la désagréable expérience de voir son épée brisée sur les dents d'un troll, ou contre une pierre. Et là, il n'y qu'une solution : la faire réparer par le forgeron. Il en est ainsi pour chaque objet d'attaque ou de défense. Chacun possède un certain nombre de points de dureté et, si à force de taper sur des monstres ou de recevoir des coups cet objet perd tous ses points, alors il sera inutilisable. Outre ces objets, Diablo regorge de potions de tous genres afin de remonter votre niveau de mana ou de vie sans oublier les innombrables rouleaux de sort et livres de magie.

Même si le but ultime de Diablo est de tuer Diablo, le jeu possède de nombreuses quètes optionnelles qui vous permettront de gagner des objets aux caractéristiques impressionantes, objets qui, s'ils sont revendus, apportent une somme subtantielle. Les graphismes sont impressionants de précision et de simplicité. En effet, même si ce n'est pas de la 3D, au moins Diablo est en très bonne 2D. Les effets de lumières et d'ombres sont bien faits et les sorts lumineux ou torches sont très honorables.

Les sons et autres bruitages sont très reussis. D'ailleurs, le moindre cri de villageoise torturée est criant de vérité. Les musiques sont juste assez oppréssantes pour ce type d'ambiance noire et glauque. Ce mélange de graphismes sombres et bien faits, accompagné par les sons suffoquants, rend l'ambiance générale de diablo très... mortelle.

En plus de cette ambiance à toute épreuve, s'ajoute la diversité de Diablo. Elle est due, non seulement à son univers riche et varié et au nombre impressionants d'items disponibles, mais aussi par la durée de vie du jeu, qui est éternelle. En effet, à chaque nouvelle partie, les niveaux sont créés aléatoirement, ce qui fait que jamais vous n'aurez les mêmes niveaux d'une partie sur l'autre.

Par ce système et la possibilité de recommencer le jeu du début avec les caractéristiques actuels de votre personnage, Diablo devient un jeu ou le but ultime n'est plus de tuer Diablo mais de rendre votre personnage le plus puissant possible.

Bref diablo reste toujours une référence du RPG même si il commence à veillir mais bon comme dirait Griswold : « Le Mal rôde ».

Graphismes
Bruitages et sons
Ambiance
Jouabilité
Richesse des possibilités
Jeu réseau
En anglais

Par Zelgolhal




 Test: MORROWIND : The elder scrolls III

Editeur : 2008

Date de sortie :

Genre :
Morrowind

Bienvenue dans l'empire Tamriel. Vous débarquez sur l' île de Morrowind comme prisonnier libéré par l'empereur pour accomplir une mission : remettre un paquet à un certain Casius Cosades dans la ville de Balmora.

Voilà pour le début de l'histoire car pour le reste à vous de voir. Le mot est jeté. Morrowind est un jeu où vous êtes totalement libre de faire ce que vous voulez. Vous n'êtes même pas obligé de remplir votre première mission. Vous choississez d'abord votre caractère, votre race, votre nom, votre signe du zodiaque, et voire même la couleur et la forme de vos cheveux. Vous créez véritablement un avatar de vous-même dans un monde recréé pour vous. Si vous êtes du genre fourbe et cruel pas de problème, vous voilà chasseur de sorcières. Si pour vous l'honneur compte avant tout, vous devenez guerrier.

 

Mais attention tout ce que vous faites dans Morrowind a des répercussions. Ce monde a des lois qu'il ne faut pas violer sous peine d'emprisonnement voire de mort, encore faut-il que les témoins soient encore en vie. Si vous tuez ou volez trop de monde alors les villageois fuiront votre arrivée et les marchands vous feront payer une taxe pour un prix digne d'une armure de garde impériale. Mais par contre si vous sauvez des enfants de la mort (certaines races ont des pillards), alors vous verrez les marchands baisser considérablement leur marge. Il ne faut pas oublier que tout se sait alors si vous ne voulez pas finir SGF (sans guilde fixe), prenez garde à vos actions.
La façon d'évoluer dans le monde est très simple. On vous confie une mission, à vous de voir si vous voulez l'accomplir, comment l'accomplir et pourquoi pas au dernier moment vous retournez contre votre employeur. La liberté est vraiment la priorité dans ce jeu à l'univers très médiéval.

Pour vous offrir la liberté absolue il n'y a pas de mystères et pour peu que votre machine soit pas trop faiblarde, vous serez émerveillé en voyant le levé du soleil à Balmora. La qualité des graphismes est telle que vous resterez planté pendant des heures à regarder la perfection des palais, la beauté des femmes (et oui, il y en a contrairemnt à plein d'autres jeux). Bref, vous êtes dans la matrice à vous de vous débrouillez pour survivre. Attention petite config s'abstenir. Par contre, on peut noter une certaine déception face au manque de reflets de l'eau.

 

La prise en main est extrêmement simple et digne du plus simple des FPS, on se déplace avec les flèches on dirige la caméra avec la souris et on tue les vilaines bestioles avec des grandes dents (ou des petites) avec le clic gauche de la souris. Les différents menus d'inventaire et de caractéristiques sont très accessibles avec un simple clic droit et un rangement des catégories d' informations trés intuitive. Bref, Morrowind se veut simple mais puissant et complet. Les petits gars d'Ubisoft ont même pensé à donner au joueur un journal où sont les mises à jour et ranger toutes les informations concernant à peu près tout ce qui vous concerne et plus. Et si vous voulez plus d'infos sur ce sujet, vous cliquez sur un lien hypertexte et voilà le détail sur ce que vous avez demandé. Jamais une bibliothèque de jeu n'a été aussi complète ni simple d'accès.

Que dire d'autre sinon que la bande son est aussi bonne que le reste et que ce jeu innove surtout dans sa liberté extrême. Attention, drogue dure à posséder à tout prix.

Graphismes
Liberté de mouvement et de choix
Bibliothèque de jeu
Interface simple

Manque quelques effets graphiques

Par Zelgolhal



Note :

Un trés bon jeu à la liberté extrême. The Elder Scroll troisième du nom est tout simplement le meilleur jeu de rôle de ce millénnaire.





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