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| Test: TALES OF THE ABYSS |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Tales of the Abyss
Avant
de commencer à lire ce test, sachez d'emblée que le jeu est en anglais à
l'écran et qu'il n'existe pas de vf. Voilà pourl'avertissement.
Maintenant attaquons le morceau.
Tales
of the Connard
L'histoire
de Tales of the Abyss
(TotA) se situe dans le monde d'Auldrant où a éclaté une série de conflits entre
l'armée de Malkut et le royaume de Kimlasca. L'enjeu est la maîtrise d'un septième fonon
(le fonon sonique) pour lequel les deux nations s'affrontent.
Vous
incarnez Luke Fon Fabre,
l'héritier du trône de Kimlasca-Lanvaldear qui, lui seul peut exploiter le pouvoir
réel du septième fonon. Kidnappé par l'empire de Malkut, il vit
cloîtré entre les murs deson château et souffre d'amnésie suite à son
enlèvement. A part ça, il n'existe probablement pas de mots assez forts
pour dépeindreune parfaite tête à claques que l'on aimerait baffer sans
mal; arrogant, égoïste, téméraire... Luke est avant tout un
anti-hérosavec lequel on ne peut s'identifier pendant au moins une bonne
partie du jeu.
Très
vite,
des compagnons d'aventures rejoindront Luke et formeront unepetite
équipe : Tear Grants
(le septième foniste) qui appartient à l'ordre de Lorelai, calme
etimpassible; Jade Curtiss
(surnommé ''le nécromancien''), un foniste et colonel de Malkut;Anise
Tatlin qui se bat avec Tokunaga, une marionnette magique; Guy
Cecil, un épéiste, proche
de Luke et effrayé par les filles; Mieu,
la mascotte de l'équipe; Natalia,
la promise de l'héritier de Kimlasca.
Tales of the English
Les graphismes sont identiques à la PS2 :
nous sommes devant un portage paresseux qui n’innove pas, mais ils
tiennent tout de même la route.
Le character
design est de Kosuke
Fujishima, qui a déjà
officié sur Tales of
Symphonia et Tales of Vesperia.
Un
JRPG
sans un bon système de combats n'existe pas. Celui qui nousconcerne, le
Flex Range Linear Motion Battle System
(FR-LMBS) permet de se battre en temps réel grâce aux Artes
(coups spéciaux), des
compétences actives ou passives, définir différentes stratégiespour son
équipe, apprendre des skills en fonction des Capacity
Cores équipés et de
booster ses techniques en créant des cercles liés à une forceélémentaire
précise, les fields of
fonons.
On
appréciera
l'OST de Shinji Tamura
et Motoi Sakuraba
qui rythme agréablement les phases de l'aventure.
La durée de vie dépasse la dizaine d'heures, sans compter lesquêtes
annexes et le déblocage des bonus de fin de partie.
Pour
conclure : TotA est certes un portage amélioré et dégraissé des
défauts qui entachaient la version PS2, même siglobalement cela reste un
portage paresseux. Cependant, la réalisation globale qui honore la 3DS
et l'entrain de l'aventurefont que l'on a toujours envie de continuer
sans se préoccuper des petits défauts: sans doute l'un des meilleurs
JRPG de 2011 et de la 3DS, tout simplement.
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Meilleur que sur PS2
Character design réussi
Système stratégique des
combats
Zéro temps de chargement
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La carte du jeu, ratée
L'histoire lente à démarrer
Allergiques à l'anglais, s'abstenir
|
Par Surdy
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| Test: FINAL FANTASY III |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Final Fantasy III
La
sortie de Final
Fantasy III (FF III) en France en 2006 constitue un événement
majeur pour plusieurs raisons : d'abord un nouveau portage tout
neuf sur consoles portables, un épisode entièrement refait et pensé
pour la DS (et non pas un bête portage) et entièrement inédit en
dehors des frontières du Japon.
Le scénario reste
classique : quatre graines de héros orphelins, guerriers de la
Lumière révélés par des cristaux magiques de pouvoir luttent
contre le réveil des forces des ténèbres. En effet, le fragile
équilibre de la balance entre le bien et le mal oscille
dangereusement : le mal ayant ressurgi des profondeurs de la
terre, les cristaux élémentaires
(air, eau, feu, terre) ont appelé
à eux des champions de la bonne cause afin de rétablir l'ordre
ainsi rompu.
En avant, Guerriers
de la Lumière !
Comme dans les épisodes
précédents, un système de jobs
(métiers ou classes) plus ou moins
poussé, vous propose de choisir entre ceux-ci. Cela s'opère à
chaque rencontre avec un cristal qui vous propose alors de débloquer
de nouveaux jobs à chaque fois. Chaque job propose de nouvelles
variations : par exemple, le freelance, job par défaut peut
manier quatre types d'armes différentes et possède un accès
restreint à la magie blanche et à la magie noire (niveau 1
seulement), ce qui en fait un job peu intéressant.
Vous serez avisé
d'en changer rapidement et de choisir une autre classe comme celle de
guerrier (4 types d'armes accessibles, possibilité d'augmenter sa
puissance d'attaque au détriment de sa défense, incapacité totale
à maîtriser les sorts) ou de moine (équipements limités, corps à
corps prépondérant, contre-attaque automatique lorsqu'il est
frappé) ou bien des jeteurs de sorts comme le mage blanc
(utilisateur de magie blanche défensive et régénératrice,
armement limité, lance de la magie jusqu'au niveau 7) ou encore le
mage noir (utilisateur de magie noire, armement limité, lance des
sorts jusqu'au niveau 7) ou plus versatile comme le mage rouge
(habile compromis entre le guerrier mais limité aux sorts de magie
noire et blanche jusqu'au niveau 5) ou pourquoi pas la classe de
voleur (attaques rapides, armement limité, possède la capacité
Voler et Retraite).
Au fur et à mesure du
jeu, d'autres jobs se débloquent jusqu'à atteindre 21 au total vers
la fin du jeu entre personnages martiaux (chasseur, chevalier,
viking, chevalier dragon, karatéka, chevalier noir, ninja) et
lanceurs de sorts (érudit, géomancien, conjureur, barde, magicien,
dévot, invokeur, sage) : de quoi bien expérimenter en
s'amusant et créer des combinaisons dans votre équipe. Chaque
personnage du jeu (que ce soit Luneth,
Arc, Refia, Ingus) peuvent
tous accéder à ces différents jobs. Bien sûr, tous ne sont pas
forcément très utiles, ni faciles d'accès, il faudra donc jongler
entre tous ces différents paramètres pour espérer réussir à
terminer le jeu.
On notera un meilleur équilibrage entre les jobs
par rapport à l'opus original même si cet épisode est loin d'être
novateur et audacieux comparé à Final Fantasy V.
Contrairement à d'autres
RPG, le système de sorts est
classé par niveaux de catégorie donc
même si vous ne pouvez plus jeter de sorts de hauts niveaux, il vous
restera toutefois la possibilité d'utiliser ceux de bas niveaux
moins efficaces. Le changement de jobs entraîne aussi une baisse
temporaire des caractéristiques lors d'une phase d'adaptation (phase
dite d'ajustement).
Voyager
contre vents
et marées
La refonte graphique de
ce volet est parfaite et gère maintenant la 3D avec une cinématique
d'ouverture impressionnante pour la DS comme souvent on sait les
faire chez Square Enix. Notons
que le double écran est peu sollicité
mais que la maniabilité au stylet est disponible pour jongler dans
les menus même si elle est limitée.
On peut désormais zoomer avec
les boutons L et R pour découvrir des objets
cachés qui scintillent
ou encore pour découvrir de nombreux passages secrets qui pullulent
littéralement dans le jeu. On apprécie aussi la relative liberté
laissée par le jeu, prétexte à voyager sur terre comme sur mer ou
dans les airs grâce à d'astucieux engins.
Comme dans tout bon RPG
japonais, la progression est lente et là encore le leveling reste
obligatoire pour qui veut gagner sans trop de problèmes : la
difficulté volontairement old school pourra rebuter les plus jeunes
mais enchantera les vieux briscards. Signalons aussi un système
d'envoi de messages via le wi-fi permettant de débloquer le job
inédit de chevalier oignon via les Mogs
(des petites créatures
ressemblant à des chats présents dans chaque ville).
La musique est variée
et de qualité : tantôt discrètes dans les villages, elles se
feront martiales dans les combats et les châteaux ou bien encore
inquiétantes (grottes, temples).
Un mot sur le système
de combats : ils se font au tour par tour : le
personnage
le plus agile commence le tour par une action (attaque, défense,
utiliser un objet, se déplacer de l'avant vers l'arrière et vice
versa, magie, fuite...) et inflige des dégâts directs capitalisés
par combos en cas d'attaques directes.
Au final, ce troisième
épisode s'avère rafraîchissant à défaut d'être aussi novateur
que les nombreux volets qui viendront après lui, mais demeure un met
de choix et constitue une bonne façon pour débuter la saga et
s'initier au RPG japonais à l'instar de son rival, Dragon Quest
(4
épisodes sortis sur DS).
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Des
graphismes agréables
Des
musiques de qualité
Le système de jobs
Difficulté
Old School
Une
bonne durée de vie
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|
L'interface lourde
Le leveling obligatoire
|
Par Surdy
Merci à pour
les captures d'origine
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| Test: DRAGON QUEST IV : L'Épopée des Élus |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Dragon Quest IV
Dragon
Quest IV (ドラゴンクエストIV 導
かれし者たち, Doragon Kuesuto Fō Michibikareshi Monotachi,
publié initialement sous le titre de Dragon
Warrior IV
aux États-Unis) est un jeu vidéo de
rôle développé par Chunsoft
pour
l'éditeur japonais Enix. Il
sort
sur NES en
février
1990 au Japon puis en décembre 1992 en Amérique
du Nord.
Le jeu est
porté sur PlayStation
par Heartbeat
et ArtePiazza
en 2001 puis sur Nintendo DS
par ArtePiazza
et Cattle
Call en 2007.
Cette dernière
version est la première à
être distribuée en Europe et bénéficie d'une traduction dans les
principales
langues européennes. À cette occasion, le jeu est renommé Dragon
Quest : L'Épopée des élus dans sa version française.
Le commencement
de la saga zénithienne
Ce volet de Dragon Quest est le
premier de la trilogie zénithienne avant
La Fiancée Céleste (V) et Le
Royaume
des Songes (VI). Point original : le jeu est divisé en cinq
chapitres
(plus un
chapitre inédit sur DS) chacun adoptant le point de vue d'un
personnnage
différent.
Dans le
premier chapitre, le roi
de Bastione enjoint à Ragnar Mc Ryan, le capitaine de la garde à
enquêter sur
une disparition d'enfants.
Dans le
deuxième chapitre, Alina,
tsarine du royaume de Zamoksva, quitte sa ville natale et part chercher
l'aventure. Elle est accompagnée de son précepteur le magicien Borya et
de son
second, le prêtre Kyril.
Dans le
troisième chapitre,
Torneko Taloon, marchand pansu à la moustache fournie de la ville de
Lakanabe
souhaite ouvrir son propre commerce d'armes et d'armures et devenir
ainsi le
plus riche marchand du royaume.
Dans le quatrième
chapitre, deux
jolies soeurs : Mina, une diseuse de bonne aventure et Maya, une
danseuse,
filles de Mahabala, un alchimiste réputé veulent venger la mort de leur
père,
tué par l'un de ses meilleurs élèves, Dickenz.
Le cinquième et
avant-dernier
chapitre, voit l'émergence de votre héros/héroïne sélectionné(e)
initialement et
son émouvante réunion progressive avec les personnages des autres
chapitres.
Ils devront lutter ensemble contre Psaro l'Exterminateur, le seigneur
des
ténèbres, qui souhaite plonger le monde dans la destruction et le
chaos.
Heureusement que votre petite mais valeureuse équipe veille au grain
pour
repousser les assauts du mal.
Un épisode réussi
Les graphismes ont été réalisés
par Akira Toriyama, plus connu sous nos latitudes comme le dessinateur
de la
série Dragon Ball, très populaire au Japon.
Le style manga des personnages est
donc assumé mais peut ne plaire à tout le monde.
L'animation des
personnages est
assez rudimentaire et témoigne de quelques ralentissements en cas
d'abondance
de personnages cependant ils ont seulement lieu dans les villes, donc
rien de
bien gênant.
La musique d'ouverture majestueuse
et martiale est le célèbre thème de toute la saga Dragon Quest jouée
par
le Tokyo
Metropolitan Symphony Orchestra et
reconnaissable entre tous. Sinon, les thèmes sont agréables et collent
bien à
l'action. Les bruitages qui ponctuent vos actions sont corrects mais
rien de
bien transcendants non plus.
L'interface de jeu est la même
depuis les débuts de la série et s'avère assez lourde et pas très bien
pensée
même si la gestion de l'équipement est l'une des plus simples qui soit
avec le
fameux sac au contenu illimité.
Les combats aléatoires
s'effectuent toujours au tour par tour, le personnage le plus agile
frappant
toujours en premier, suivi par les autres. Les options disponibles
permettent
d'attaquer, de se défendre, de chercher et d'utiliser un objet présent
dans
l'inventaire, de modifier la composition de l'équipe et enfin de
s'enfuir si
toutefois la possibilité vous est offerte.
Bien sûr, il est possible de
paramétrer le déroulement des combats avec la possibilité de déterminer
la
nature des ordres que vous souhaitez donner à vos personnages. Sinon en
cas de
pépin, la magie peut vous offrir bien des portes avec la magie
d'attaque (sorts
de feu, foudre, glace et explosion), défense (protections) ou encore
les
altérations d'états (accélération...).
Les combats sont faciles d'accès
et particulièrement redoutables contre les boss donc le leveling est
obligatoire jeu de rôle old school oblige. Heureusement, le
sort Sifflet
de Torneko permet d'attirer les monstres qui rôdent aux alentours et
vous permettra
ainsi de monter facilement de niveau et d'augmenter votre capital de
points de
vie et de magie.
Un minimum de
stratégie est requis
pour affronter les monstres les plus puissants et limiter la casse.
N'hésitez
donc pas à optimiser au maximum la gestion de votre équipe en les
dotant
d'objets, d'armes et d'armures puissants que vous pourrez acquérir avec
l'or
ramassé après les combats ou dans les coffres/jarres en ville. Plus
drôle, vous
pourrez utiliser la capacité spéciale de Torneko pour voler les coffres
d'objets des monstres en l'intégrant à votre équipe de combat.
On retrouve
avec plaisir les
mini-jeux du casino comme les machines à sous, l'arène des monstres et
le roi
qui vous offre des objets moyennant une certaine quantité de médailles.
Au final, ce premier épisode de
Dragon Quest porté sur la petite portable de Nintendo constitue un
choix
agréable avec une aventure divertissante, pas très compliquée et
amusante. Un must
pour tous les fans de Dragon Quest et les possesseurs de DS.
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De
bons graphismes en 2D
Des
jolis thèmes musicaux
Facile
d'accès
Une
bonne durée de vie
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Une interface un peu
lourde
Pas de monstres à recruter dans l'équipe
|
Par Surdy
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| Test: DRAGON QUEST V : La Fiancée Céleste |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Dragon Quest V
Une
saga terriblement populaire
A l'origine
cet épisode de Dragon
Quest quatrième du nom avait été réalisé en 1992 sur Super Famicom
puis sur Playstation 2 :
aujourd'hui, il revient de loin sur nos
Nintendo DS. Cette saga de jeux
de rôle
terriblement populaire notamment au Japon connaît de nombreux
aficionados dans le monde. J'ai choisi de tester cet épisode
parce que c'est aussi l'épisode par lequel j'ai commencé à
découvrir cette série.
L'étoffe
d'un roi
Cet épisode fait partie de la
trilogie zénithienne bien
connue des fans. Votre héros -que vous
pourrez nommer à votre guise- naît dans des circonstances
malheureuses. Accompagné par son père Pétros,
le bambin connaîtra
moults aventures sur le continent notamment avec une petite fille
nommée Bianca avec laquelle
vous connaîtrez la joie de la chasse
aux fantômes.
L'intérêt de ce titre est
d'abord l'évolution de l'histoire personnel du héros. De petit
gamin un peu malingre, il grandira jusqu'à devenir un adulte
responsable.
Vous aurez également l'occasion
inédite de pouvoir vous marier avec un choix de trois jeunes femmes
différentes : de l'amie d'enfance (Bianca),
à la plus sensible
(Néra) ou la plus hardie (Pandora), le choix de votre épouse
ne
sera pas anodin. Cette dernière vous accompagnera ensuite dans votre
périple. Puis – ô surprise- elle tombera enceinte et accouchera
de jumeaux : un garçon et une fille. Entretemps, le jeune homme sera
roi de Gotha, le souverain
bien-aimé de votre grande ville.
Cette aventure a donc lieu sur
trois générations ce qui nous change agréablement. Le héros
partira à la poursuite de sa mère, originaire de Haute-Cime, avant
de découvrir qu'elle constitue le lien entre le royaume des vivants
et celui des enfers.
Une bonne
réalisation
Les graphismes sont sympathiques
et colorés notamment les décors des habitations particulièrement
réussis. Les sprites des monstres sont le plus souvent amusants et
même les boss paraissent sympathiques. Cela est du à la patte
graphique spéciale des Dragon Quest (Akira
Toriyama, dessinateur
phare de la série Dragonball)
avec ses monstres emblématiques comme
le gluant/slime par exemple qui reviennent dans tous les épisodes.
Le thème musical d'introduction
est de bonne qualité et donne une coloration épique à l'aventure :
c'est le même que celui de L'Épopée
des Élus que les fans
reconnaîtront sans peine.
Les musiques du jeu restent
travaillées mais cependant lassantes ce qui fait qu'on les coupe
au bout d'un moment afin d'être plus tranquille et de réfléchir.
Comme dans tous bons RPG, vous
ramasserez des objets en grande quantité : récupération des points
de vie ou de magie, pièces d'équipements et trucs divers qui
encombreront votre sac à dos.
Les nombreux combats qui
ponctueront le jeu restent fidèles à la tradition de la saga et
restent en tour par tour ce qui leur confèrent un soupçon de
stratégie supplémentaire et nécessitent de jouer finement.
L'aspect notoire du jeu consiste à
pouvoir enrôler des monstres dans votre petite équipe à la manière
des Pokémon. Moyennant de
trouver un chariot, certains monstres
pourront choisir d'intégrer ou non votre fine équipe de héros. Du
petit gluant inoffensif au terrible dragon, tous mériteront que
l'on s'occupe d'eux et pourront être équipés en conséquence et
bien sûr, participer aux combats. De leurs niveaux dépendront leurs
caractéristiques et aptitudes à jeter des sorts meurtriers de la
même façon que les personnages humains.
Le jeu reste varié avec pas mal
de petits jeux secondaires agréables à découvrir dans certaines
villes et dans certains lieux : tambola, machines à sous, batailles
de monstres, TnT (jeu de l'oie), courses de gluants, tape-gluants...
Cerise sur le gâteau : une fois le
jeu terminé, vous pourrez choisir d'y revenir pour récupérer les
objets inédits et parcourir un labyrinthe pour affronter un boss
optionnel ou pourquoi pas poursuivre votre montée de niveaux comme
dans un hack'n'slash.
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Une
quête sur trois générations
Le
système de recrutement des personnages et des monstres
Une
bonne réalisation
Une
bonne durée de vie
|
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Une interface un peu
lourde
|
Par Surdy
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| Test: CHILDREN OF MANA |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Children of Mana
Secret
of Mana XXXV : la revanche du Chat Botté
Si
vous êtes comme
moi un ancien
joueur ayant survécu aux années d'abondance de la Super Nintendo,
vous ne pouvez pas être passé à côté de Secret of Mana.
Véritable phénomène du jeu de rôle sur console, sa localisation
en français n'étant parvenue jusqu'à nous qu'en 1993-94. Depuis
lors, un second épisode, Seiken Densetsu 3,
jamais traduit en
français, du moins pas officiellement (sauf en format rom grâce au
boulot de titan effectué par des fous furieux) et la sortie de
Legend of Mana sur PS One ont
pu faire patienter les fans de jeux de
rôle entre deux parties de Dragon
Quest et de Final Fantasy.
Aujourd'hui,
-roulement de
tambours et clairons- je vous offre en test cet épisode intitulé
sobrement Children of Mana sur
Nintendo DS.
Tremble
petit héros !
Après un petit dessin animé très
amusant en guise d'introduction, vous serez amener à choisir le
personnage qui sera votre héros pendant tout le jeu. Parmi les
archétypes proposés, on retrouve : le jeune garçon (orienté
combat), la jeune fille (orientée magie), le petit elfe ( très
orienté magie) et enfin le voyageur (un chat botté très orienté
combat).
Contrairement à Secret of Mana
sur console 16 bits, vous voyagerez seul et il n'est pas possible de
changer de compagnon en cours de route ce qui est assez dommage car
cela permettrait de briser un peu la monotonie de la quête
principale.
Néanmoins, vous
pourrez parcourir
l'unique village à votre gré et rester discuter avec les habitants
et les compagnons restants qui ne seront pas avares en précieux
conseils.
Afin de varier un
peu les
festivités, le joueur se voit confier des missions ou quêtes
annexes en vue de récupérer de nouvelles gemmes ou d'autres objets
très utiles. Grâce aux gemmes, le joueur verra sa puissance
décupler au combat ou en magie, sans oublier la fusion de ces petits
joyaux qui vous permettra d'accéder à des combinaisons d'attaques,
de défense, de protection ou de sorts très puissantes.
Si la réalisation
est bonne, la
musique entraînante et la maniabilité suit, le jeu est-il pour
autant exempt de défauts ?
Assurément
non. Malgré sa glorieuse descendance rôlistique, le titre cache en
réalité un hack'n'
slash kawai
et trahit ainsi ses aïeux. La progression est assez basique et se
limite à massacrer des ennemis par paquets de cinquante avant
d'atteindre le niveau requis pour s'équiper correctement.
La
quête principale suit un
scénario très classique avec un seigneur des ténèbres menaçant
le fragile équilibre du monde de Mana. Heureusement que la quête
des esprits élémentaires et les missions annexes apportent un
surplus d'argent, d'objets et de gemmes mais rien qui puissent briser
la monotonie du mécanisme de base du jeu.
La machine est bien rodée
néanmoins les joueurs aguerris pourront éprouver une certaine
lassitude à taper éternellement sur les mêmes types d'ennemis qui
ont une fâcheuse tendance à se régénérer quasiment à l'infini.
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Des cinématiques sous forme d'anime japonaise
Le
choix du héros
Des
PNJ amusants
De
beaux graphismes
Des musiques bien dans le ton
Une
bonne durée de vie
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Le scénario très (trop)
classique
Une action assez confuse
Très répétitif
donc assez lassant à long terme
La magie difficilement
utilisable en plein combat
|
Par Surdy
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| Test: NOX |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Nox
Diablo
II se fait attendre ?
Qu’à cela ne tienne,
Westwood nous a concocté un jeu
de rôle
passionnant en mode solo et très drôle
en multijoueurs. Magicien, druide ou guerrier, à vous
d’écrire votre propre
légende…
Le scénario du jeu est assez complexe. Sachez simplement
que
Jack Mower, un
jeune homme bien de notre époque, vient par un caprice du
destin d’être
téléporté dans le monde
appelé Nox. Tout cela, par la
faute d’une
nécromancienne nommée Hécuba :
au
moment où elle s’emparait par la magie du globe
des âmes de ses ancêtres, Jack s’est
retrouvé aspiré à son tour dans
l’espace-temps. Grâce au globe, Hécuba
est devenue plus puissante, et menace
d’envahir Nox à la tête d’une
légion de morts vivants. Jack – et donc, le
joueur – ne pourra la vaincre qu’en
récupérant les trois
éléments du Fauchard,
arme légendaire ayant permis la déconfiture de
l’ancienne caste des
Nécromanciens.
Avant même de commencer, on définit
l’accoutrement, la couleur de peau et la
pilosité du personnage. On peut en outre le renommer. Il
faut également choisir
sa profession : druide, guerrier ou magicien. Les
caractéristiques en force,
vitesse, vitalité et mana dépendront de ce choix,
et s’amélioreront avec le
gain en expérience et en niveau. Les compétences
se résument aux cinq pouvoirs
prédéterminés qu’acquiert le
guerrier au fur et à mesure de sa progression,
ainsi qu’aux sorts et invocations du mage et du druide. Tout
est donc
prédéfini, et la prise en main
s’avère quasi immédiate.
Action
et jeu de rôle
Nous voilà donc aux côtés de Jack,
projeté dans un monde inconnu en jean et
baskets. Selon la profession choisie, l’aventure ne
s’entame pas au même
endroit, et les quêtes diffèrent. En dirigeant le
héros, on s’aperçoit que Nox
se range définitivement dans la catégorie des
clones de Diablo :
le thème du
jeu de rôle se voit ici mêlé
à une bonne dose d’action. La vue
utilisée est
d’ailleurs la même, les personnages en 3D
évoluant dans des décors en 2D
isométrique. On se déplace en maintenant le
bouton droit de la souris enfoncé.
Selon que l’on dirige le curseur à
proximité ou à distance du héros,
celui-ci
marche ou court. Jack demeure en permanence au centre de
l’écran, ce dernier
scrollant au fur et à mesure de ses déplacements.
Dans la pratique, on
s’aperçoit que le scrolling
connaît
quelques ralentissements en fonction des
textures à l’écran, plus ou moins
détaillées. Faire permuter la
résolution – de
1024 x 768 à 640 x 480 au minimum – n’y
change pas grand chose. Rassurez-vous,
ce défaut ne nuit pas outre mesure à la
jouabilité générale.
Le moteur de jeu utilise un outil très gourmand en
ressources, la fonction
TrueSight : le brouillard de
guerre apparaît ou
disparaît en fonction de la
ligne de vue de Jack. Vous pourrez constater en jetant un coup
d’œil aux images
que les espaces cachés par des parois sont noirs. Cet
affichage à beau
déstabiliser au départ, on s’y habitue
rapidement. Il a le mérite de renforcer
le réalisme des phases d’exploration.
Des
pouvoirs étonnants
Capable de sauter au-dessus de rivières de lave, Jack se
révèle aussi un assez
bon sprinter. Les combats se déroulent uniquement en temps
réel, et tout
partisan de Baldur’s Gate que
l’on soit, il faut
avouer que cela les rend
particulièrement haletant. Ainsi, poursuivi par une horde
d’ogres déchaînés, il
nous est arrivé d’avoir à nous enfuir
en courant et en sautant par-dessus des
rochers, tout en essayant de trouver le coin le plus propice au combat
en un
contre un. L’IA des créatures se
révèle assez aboutie : les monstres ouvrent
des portes, s’enfuient, se regroupent, saisissent une pomme
et se mettent à la
croquer pour regagner de l’énergie. Lors de
certains combats, on bénéficiera
d’alliés.
Le druide devrait susciter l’engouement du plus grand nombre
de joueurs. La
possibilité de combattre à distance
grâce à un arc et des flèches
– meurtrières
– vient s’ajouter à
l’invocation ou l’envoûtement de
créatures. Attaqué par un
ours dans une caverne, on peut le charmer pour le mettre à
notre service.
C’était déjà possible dans
Baldur’s Gate, mais ici, on est en mesure de le
bannir, d’en faire notre escorte personnelle, ou
même de lui enjoindre de
s’aventurer à la recherche d’ennemis.
Dans ce dernier cas, il suffira de
cliquer sur la fonction “ observer ” pour suivre
ses évolutions ! Avantage
considérable, on pourra ainsi reconnaître le
terrain en toute impunité. Quelle
que soit la profession choisie, on utilisera des raccourcis clavier
– 5 au
maximum - pour se servir de ses capacités
spéciales ou sorts.
Un
haut degré d’interactivité
Graphiquement, l’univers de Nox fourmille de
détails. Dommage que la vue soit
si éloignée, cela gâche un peu le
plaisir. Les bruitages, nombreux et
évocateurs, emportent pour leur part
l’adhésion.
Les énigmes profitent du réalisme du moteur du
titre. On déclenche des
mécanismes à l’aide de leviers ou
d’interrupteurs, on faire rouler des rochers,
on détruit des murs révélant des
endroits secrets, ou encore on se sert de
tonneaux remplis d’eau pour éteindre des
incendies. On s’étonne sans cesse du
nombre d’objets à déplacer, et du
niveau général
d’interactivité.
Soyons franc, le titre de Westwood
ne représente pourtant
pas le jeu de rôle
ultime. Les quêtes se révèlent
très linéaires, on n’a pas la
possibilité de
revenir en arrière et la liberté du joueur est
bridée. Politiquement correct,
le jeu ne nous autorise pas à occire des villageois. Par
ailleurs, les voix
françaises sont parfois un peu niaises. Malgré
ces lacunes ou défauts, on joue
encore et toujours, des heures durant. Nox hypnotise, et vous
n’aurez de cesse
de le terminer, puis de le recommencer pour expérimenter
d’autres professions.
Quant au mode multijoueurs, il
s’agit d’un
véritable jeu dans le jeu. Pour toutes ces raisons, il serait dommage
de
passer à côté du titre
de Westwood…
Pièges,
chausse-trappes et autres traquenards
Le monde de Nox, au début accueillant,
révèle dès
l’épreuve du Donjon – si vous
choisissez la voie du guerrier – de nombreux
pièges. La majorité d’entre eux
sont immédiatement mortels, mais on peut parfois
s’en tirer avec de simples
blessures ou… de belles frayeurs. On peut ainsi tomber sans
crier gare dans un
trou, et se retrouver à l’étage
inférieur. Autre piège bénin
emprunté à Diablo,
les tonneaux explosifs vous enlèveront quelques points de
vie.
D’autres vous
demanderont une certaine logique et de la coordination pour
échapper à la mort
: par exemple, les flammes apparaissant sur plusieurs mètres
pour s’éteindre
progressivement puis se rallumer, et les blocs de pierre
hérissés de pointe
réalisant diverses figures
géométriques. Plus classiques, les murs
dissimulant
des flèches qui jaillissent à votre passage. La
possibilité de sauter offerte
par Nox se révèle alors très utile. De
quoi se prendre pour Indiana Jones…
Enfin, on remarque une réelle innovation : pour la
première fois, certains
monstres peuvent vous tirer dessus à l’abri
derrière des meurtrières.
Heureusement, vos alliés pourront agir de même.
Multijoueurs
: Quake dans un
jeu de rôle !
S’il est un domaine dans lequel Nox se démarque de Diablo,
c’est bien le mode
multijoueurs. En effet, inutile d’espérer pouvoir
participer à la guerre contre
Hécuba en coopérant au sein d’une
équipe d’aventuriers, cela n’est pas
prévu.
L’équipe de Westwood a
préféré miser sur ce qui a fait le
succès de Quake, en
donnant aux joueurs l’opportunité de disputer des
petites parties de 5 minutes
ou plus sur le Net ou en réseau local. De 2 à 32
participants s’étriperont
ainsi joyeusement lors de parties de matchs à mort, captures
de drapeau,
élimination, contrôle de la couronne, ou flagball.
Les règles des matches à mort et capture du
drapeau ne vous sont sans doute pas
inconnues. La formule élimination consiste quant
à elle à survivre jusqu’à
l’anéantissement de tous les adversaires. Le
contrôle de la couronne s’avère
tout aussi sanglant : vous ne pourrez marquer des points en assassinant
d’autres joueurs qu’à la condition
d’avoir trouvé le précieux
trophée. Tuer
sans porter la couronne sur le front ne rapporte donc rien. Enfin, le
flagball
s’avère le plus original de ces modes de jeu :
rien moins qu’une partie de
football, chaque joueur devant s’emparer d’une
boule magique et viser le
drapeau adverse situé dans une cage en bois.
A l’instar des meilleurs Quake-like, on définit le
nombre de frags maximum, ou
un temps limite. Le titre comporte pas moins de 22 arènes.
En cochant l’option
adéquate, chaque nouvelle partie débutera dans un
niveau différent. Le serveur
sera également à même
d’interdire certains sorts, armes ou armures.
Magie et
alliés
A l’usage, on s’aperçoit que les niveaux
de jeu sont souvent assez vastes,
comprenant parfois deux étages. Il importe donc de choisir
le terrain en
fonction du nombre de joueurs. Il ne faut pas oublier que certaines
arènes sont
prévues pour accueillir 32
participants, alors que
d’autres se destinent à un
groupe de 4 ou 5 joueurs. A deux, on passe beaucoup de temps
à se courir après
sans se rencontrer. Heureusement, si vous incarnez un druide, il vous
suffira
d’invoquer des créatures et de leur ordonner de
rechercher l’ennemi, puis de
les observer sans vous fatiguer. Quelle que soit la classe de
personnage
sélectionnée, notre avatar est dès le
début un surhomme de niveau 10. On a donc
accès à toutes les compétences et
sorts existants.
Voici un exemple des
possibilités offertes : avec un sorcier, on peut marquer une
salle remplie de
tonneaux de dynamites, y placer un piège magique, et
dès lors que l’on
rencontre un ennemi, le téléporter sur le
marqueur près du piège, où il sera
sûr d’exploser. Tout cela promet donc des parties
aussi tactiques
qu’endiablées. Terminons par
l’excellente initiative de Westwood, qui permet au
serveur de bannir un joueur. Son nom apparaît alors sur une
liste et il ne peut
plus revenir. Voilà les tricheurs prévenus.
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L'intrigue passionnante
Le mode multijoueurs
L'interactivité globale
Les musiques et bruitages
Le nombre de sorts et de créatures
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La fluidité insuffisante du scrolling
La vue trop éloignée
Un certain manque de liberté
|
Par Emmanuel
Guillot
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| Test: SECRET OF EVERMORE |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Secret of Evermore
Alors qu’elle est déjà connue pour son
incontournable série Final Fantasy et celle de Secret
of Mana, la société Squaresoft n’a plus à
faire ses preuves en matière de RPG. Pourtant, en 1995,
elle en édite un nouveau : Secret of Evermore. Le nom
fait beaucoup penser à la série Secret of Mana, d’autant plus que le gameplay
est fort similaire. Tout le monde s’attend à un nouveau RPG classique,
mais Secret of Evermore a ce truc qui le différencie des autres.
|
|
Ce jeu est un des seuls qui se déroulent en partie en France.
En effet, l’histoire débute à Pontoise, vous êtes le
héros, un jeune homme avec une belle mèche. On apprend qu’en 1965,
un savant fou a créé une machine puis a disparu, laissant son manoir à
l’abandon.
30 ans plus tard, le héros, qui sort d’une séance de cinéma avec son
chien, pénètre dans la maison du savant. Il découvre une invention et
l’active. Il est alors téléporté dans le passé. Bizarrement, son chien
est devenu un chien-loup. Dans votre quête, vous
passerez par la préhistoire, la civilisation grèque, le moyen-âge puis
enfin le futur. Votre fidèle animal de compagnie changera d’apparence à
chaque nouvelle époque que vous visiterez. Votre but est de revenir à
Pontoise. L’histoire semble banale, mais le jeu possède un certain humour
et ne manque pas de rebondissements.
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|
Au niveau jouabilité, il y a deux commande à
maîtriser :
- Les armes, pour le corps à corps, etc.…
- L’alchimie, en effet le héros utilise des formules
chimiques pour faire de la magie, il rassemble des matières premières
telles que de l’eau, de la cendre, etc. Si vous arrivez à allier ces
deux commandes, le jeu ne devrait pas vous résister.
Il y a deux phases de jeu, les combats
et la recherche. Lorsque le climat est hostile, vous
devrez vous battre avec votre chien contre les ennemis. Ces moments
sont pour moi les plus intéressants. Les phases de recherche se situent
généralement dans les villes, vous devrez parler à tout le monde,
entrer dans les maisons, trouver le maximum d’objets
et de formules pour pouvoir progresser dans
l’aventure.
Notamment en Grèce antique où vous devrez faire beaucoup de troc.
C’est à ce moment qu’il faut vous équiper en armes et en armures pour
ne pas être déstabilisé pendant les combats. De plus, vous êtes en
équipe avec votre chien, vous pouvez régler ses actions pour élaborer
une bonne stratégie. Globalement le gameplay est très proche de celui
de Secret of Mana, et on ne ressent que très peu de différence.
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|
Les graphismes sont très bons
(normal on est en 1995, vers la fin de la super nintendo). Les décors
sont très bien modélisés, tout comme le héros. Lorsque vous prenez
l’avion, vous avez une vue en 3D fort bien réalisée.
Rien de mauvais à dire sur les graphismes.
Côté musique, on ne peut pas vraiment en parler dans
de ce jeu. En effet, lorsqu’on est dans une ville, on entend plus les effets
sonores que le thème de la ville (qui est en fait inexistant).
Cependant, même les effets sonores laissent à désirer. On entend
beaucoup les grognements du chien est c’est assez lassant. Un très mauvais
point du jeu !
Ce jeu possède quelques bons points comme le scénario
qui est relativement correct. Les graphismes sont aussi très bons. Mais
la bande son laisse vraiment à désirer, et le gameplay
fait trop penser à Secret of Mana. Cependant, ce jeu reste bien et ne
décevra pas les amateurs de RPG.
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Scénario
Graphismes
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Bande son
|
Par Oversides
Merci à pour les
captures d'origine
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| Test: SEIKEN DENSETSU 3 : Secret of Mana 2 |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Seiken Densetsu 3
Ce jeu est la suite d'un mythe sorti en 1994
sur la Super Nintendo en Europe ce titre action/rpg vous l'avez
sûrement reconnu il s'agit de Secret Of Mana bien
sûr... Malheureusement pour nous, pauvres européens, nous n'avons pas
eu la chance immense de voir ce jeu arriver chez nous... snif. Grâce à
l'émulation le jeu a été traduit et il est disponible !! Voici le test
de ce qui est certainement à l'heure où je vous parle, l'un des
meilleurs RPG de toute l'histoire du jeu vidéo !! Voici le test de Seiken
Densetsu 3 autrement dit Secret Of Mana 2 !!
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L'histoire de ce jeu est très complexe
car il y a plusieurs déroulements de celle-ci étant donné que le choix
des personnages de départ influe sur le scénario. Vous ne combattrez
pas les mêmes monstres qu'avec d'autres, le fond de l'histoire se base
sur les guerres qui vont arriver pour récupérer l'épée mana
source du pouvoir ultime. Vos ennemis veulent l'offrir au Maître
des Enfers pour qu'il gouverne le monde mis à feu et à sang
par les dieux destructeurs.... Vous devez prendre en main votre destin
et sauver le monde de Mana et le vôtre !!
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Les graphismes sont... SOMPTUEUX
!! C'est du grand art, certainement l'un des plus beaux jeux de la
Super Nintendo voire même le plus beau ! Très détaillés, les graphismes
sont fins et très beaux, les paysages sont magnifiques et le temps
s'écoule... Les textures sont très bien adaptées pour
le changement du ciel, les couleurs sont bien
utilisées. Que dire de plus si ce n'est qu'il est magnifique sans
oublier le fait que la vue isométrique 3D (ou mode 7)
est présente pour les vols à dos de dragon ou pour
une croisière "tortueuse" (houhou quel jeu de mot) à dos de tortue
géante avec un masque de plongée sur la tête on dirait un toxico
tellement c'est bien fait... Plus sérieusement c'est vraiment
magnifique vous verrez pendant un combat, la tête de votre dragon est
magnifiquement réalisée !!
Les musiques sont pas mal et certaines sont très entraînantes,
pas trop lassantes de bons petits airs !! Ce n'est tout de même pas ce
que l'on retiendra de meilleur sur ce soft...
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La difficulté du jeu varie vraiment énormément car
cela dépendra des niveaux de vos personnages, la difficulté du jeu
s'accroit elle aussi au fur et à mesure que vous avancez mais
rassurez-vous il n'est pas impossible à finir (heureusement
d'ailleurs). La durée de vie (mon dieu) pour le finir
complètement c'est à dire : avoir joué avec toutes les classes de tous
les personnages il vous faudra finir le jeu 4 fois avec 2 équipes de 3
personnages différents en tout 8 fois déjà qu'il faut au moins 20
bonnes heures pour finir le jeu si on prend son temps (et on le prend
forcément même si c'est pas voulu...). Alors multipliez ça par 8 et
retirez 5 heures (quand on l'a fini une fois c'est plus facile les 7
autres fois !!) ça fait 155 heures de jeu !! C'est énorme pour un jeu
de cette époque !!
Ce jeu est certainement l'un des meilleurs RPG qui puissent exister
de toute l'histoire du jeu vidéo, il est long et prenant il mérite un
bon 18.5/20 et je le sous-note je crois bien...
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Scénario
Graphismes
Durée de vie
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Que dire ?
|
Par Shinji
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| Test: FRONT MISSION |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Front Mission
Front Mission
est un des meilleurs Tactical-RPG de la
Super Famicom : réalisation soignée
et durée de vie à toute
épreuve, on prend un plaisir fou à
combattre les ennemis avec ses robots customisés au maximum,
le jeu est tactique, stratégique,
bref un petit bijou. Squaresoft signe ici
le 1er épisode d'une grande série qui sera, plus
tard, grâce à son succès, à
dimension mondiale puisque Front Mission 3
fut distribué au Japon, aux Etats Unis et en Europe.
Les graphismes
de Front Mission sont très
détaillés, il s'agit là
d'un des plus beaux Tactical-RPG de la Super Famicom ! Les robots sont
très bien dessinés, on voit les douilles de
balles tomber sur le sol... Bref un grand soin a
été apporté dans ce domaine.
Peu d'animations sont
nécessaires pour ce genre de jeu puisque les robots se
déplacent sur une carte en vue
éloignée. Par contre en combat
rapproché, les robots bougent bien et sont
crédibles. Tantôt dramatique, tantôt
vengeresse, la musique correspond
parfaitement au jeu. Elle est, en plus, de bonne
qualité. Les bruitages
sont très variés
selon le type d'arme utilisé et sont réussis.
On ne dirige pas vraiment en temps
réel son robot puisqu'il s'agit d'un jeu
d'échec grandeur nature (on place sur des
cases ses alliés). Néanmoins les menus
sont très clairs et sont en
anglais !
Trente missions de plus en plus longues et
difficiles vous attendent. Vous n'avez pas la possibilité de
sauvegarder votre parcours pendant une mission ce qui rallonge en plus
la durée de vie déjà
très importante. Un des points forts du jeu.
L'avis de
Destructor
Front Mission, que de souvenirs ! Avril 1995, je me souviens qu'avec
mon frère, on avait dépensé 750 francs
pour l'acheter en import dès sa sortie ! Je me souviens
aussi du choc quand j'y ai joué pour la première
fois ! J'ai été déstabilisé
au départ par le fait qu'on décidait d'une action
mais que cette dernière s'effectuait automatiquement, mais
ensuite, quand j'ai découvert la dimension
stratégique de la chose, j'ai vite été
accro, tellement d'ailleurs que je me souviens en avoir
rêvé le soir même !!!
J'ai aussi adoré la customisation de ses Wanzers dans les
magasins, c'est vraiment un réel plaisir de choisir quel
type de bras, de jambes, d'arme de poings et d'épaule on va
attribuer à chacun de ses robots. Rares sont les jeux
à m'avoir apporté autant d'émotions et
de passion, j'ai rarement été accro à
un jeu avec autant d'impatience d'y rejouer que celui-ci ! Un des
grands moments de mon expérience vidéoludique !
L'avis de Dangerous Man
Squaresoft nous prouve une fois de
plus avec ce titre qu'il est un dévelopeur de
génie. En effet, très néophyte dans le
domaine des wargames avant de m'essayer à Front Mission, je
dois avouer que ce jeu m'a littéralement bluffé.
Très proche d'un RPG finalement dans son concept
à l'exception qu'il n'y a là que deux principales
phases de jeux différentes: villages et batailles, ce Front
Mission se révèle à mes yeux tout
aussi passionnant qu'un Final
Fantasy.
L'atout majeur de ce titre réside dans le fait que toutes
les fenêtres sont en Anglais malgré le fait que le
jeu soit uniquement dispo en JAP, du coup aucun problème de
langue pour la jouabilité du soft. Ajouté
à celà, des graphismes magnifiques, des cartes
grandes et variées, des missions aussi passionnantes que
longues (les dernières vous demanderont 2h au bas mot), des
possibilités de réglages de robots immenses, une
durée de vie excellente (au minimum 40h de jeu garanties)
ainsi que des choix tactiques très larges. Bref, Front
Mission est une bombe indispensable pour tout amateur de wargames tour
par tour.
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Durée de vie
Réalisation générale
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Jouabilité parfois
déstabilisante au début
|
Par Loïc Cena
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| Test: FINAL FANTASY V |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Vous, Butz, avez un oiseau
qui vous transporte partout. Votre compagnon se nomme Boco. Pendant que
vous vous reposez à votre campement devant un bon feu, une
météorite s'écrase à toute
vitesse tout près de vous. Vous allez voir sur les lieux de
l'accident et vous trouvez une jeune fille aux cheveux rose
nommé Lenna.
Vous rencontrez aussi un vieil homme nommé Galuf qui a perdu la
mémoire en tombant car la météorite
est tombé très près de lui. Vos
nouveaux compagnons ont tous deux besoin d'aller à Wind Shrine, Lenna y
va pour retrouver son père qui est le Roi Tycoon. Galuf,
lui, a le présentiment qu'il doit y aller aussi donc vous
n'avez pas le choix. Vous devez les accompagner à Wind
Shrine.
|
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Dans ce RPG, vous pouvez faire des combats contre des ennemis
qui se mettent en travers de votre chemin. Il y a des magasins pour
pouvoir y acheter toutes les choses dont vous avez besoin : armes,
potions, antidotes, etc... Il y a aussi 2 sortes de magies. La magie noire qui vous
permet de tuer des ennemis, et la blanche
qui peut vous redonner de la vie.
Il y a pour commencer différentes options
dans le menu : Item, Magic, Equip, Stats Config et Save.
Tout d'abord, l'option Item.
Cette option est l'endroit où tous les objets que vous
ramassez se retrouvent. ex: Si vous ramassez une potion elle ira dans
l'option Item.
L'option Magic
est l'endroit où vous pouvez voir vos magies, Noir et
Blanche. Tous les sorts que vous pouvez utiliser y sont.
L'option Equip
est l'option où se trouve votre équipement
(armes, boucliers, casques, bottes, etc...) .Vous pouvez donc vous
équiper dans cette option.
L'option Stats
est l'endroit où vous trouvez vos HP, vos MP,
l'expérience qu'il vous manque pour monter de niveau et vos
habilités : force, agilité,
vitalité, force magique, magie défensive, attaque
et défense. L'option Config
vous permet de configurer votre jeu, le son, la vitesse du texte, les
couleurs du jeu etc...
L'option Save
vous permet bien sûr de sauvegarder lors de la
partie.
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Les graphismes de Final Fantasy 5 sont des
graphismes typiquement Final Fantasy. Ce sont à peu
près les même graphismes que dans les autres Final
Fantasy. L'animation est très bonne lors des combats. Les
sons du jeu sont très bien, les bruits sont bien
retranscrits et les sons des attaques lors des combats sont
très réalistes. Les musiques du jeu sont assez
bonnes et ne se ressemblent pas toutes comme dans certains RPG. C'est
bien le changement de musique parfois...
Ce jeu est un très bon RPG de la
série des Final Fantasy. Je n'ai qu'une chose à
dire, le jeu est parfois trop difficile, mais on peu facilement passer
le début. Il ne faut pas se décourager, sachez
que tout jeu est finissable.
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Musiques et sons
Bon gameplay
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Difficulté
|
Par Tonio4
Merci à pour
les captures d'origine
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| Test: SUPER MARIO RPG |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Pour le scénario il n’y a pas de problème, il est tout à fait correct et il change des autres Mario où il faut sauver Peach en battant Bowser. Cette fois Peach est retenue dans le châteaux de Bowser par une épée géante qui veut conquérir le monde. Mario va devoir récupérée 7 étoile dispersées dans le monde mais il sera aider par de nouveaux personnages inédits.
Pour la maniabilité aucun problème à part pour les combats car vous ne pouvez utiliser les flèches si vous vouler prendre un objet mais ce n’est un gros handicap. Sinon pour se déplacer dans le monde, pas de problème, de plus Mario peu courir car ce n’est pas le cas de tout les jeux c’est bien dommage.
Dans se jeu il y a l’occasion de découvrir des chose exceptionnelles, vous pouvez voir comment Bowser s’alliera avec Mario pour la première fois, vous verrez de nouveaux personnages. Le jeu est préparé en plus avec une pointe d’humour très drôle, c’est pour ça qu’il vaut mieux l’avoir en français. Vous trouverez aussi un système de combat au tour par tour très réussi, vous jugerez par vous même.
Les graphismes sont très réussis pour la Snes.
Des musiques qui sont variées, elles changent des autres Mario mais y ressemble un peu mais sinon on ne s’en lasse pas trop. Malheureusement suivant les lieux certaines bandes se ressemble
Jeu très simple à part des boss corsés mais cela ne doit pas décourager les débutants sinon pas de problème. Mis à part que pour montée de niveaux plus loin dans le jeu c’est long surtout quand il faut s’entraîner pour un boss mais ce n’est pas terrible au point d’abandonner.
Jeu d’une beauté extrême je préviens pour ceux qui l’essaieraient de ne pas se décourager au boss qui ressemble à un gâteau. Sinon je n’ai que du positif à dire (je pourrais faire un roman). Un petit reproche tout de même, les courses sur l’île de yoshi sont très difficiles.
Un jeu magnifique qui mérite un 17/20 sans problèmes.
Par Micka
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| Test: BAHAMUT LAGOON |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Il y a longtemps, le
général Sauzer,
chef des armés de Granbelos
eut envie de conquérir les lagons. Vous êtes un chevalier
croix, chef de l’escadrille de Kana,
chargé de protéger votre pays de Granbelos.
L’histoire commence quand
vous vous préparez à une bataille
décisive pour l’avenir de Kana. Vous
partez donc avec vos amis Taurus, Rush
et Bikkebakke bien
décidés à remporter cette bataille.
Enfin, s’il y en a une…
L’histoire est
très bien conçue, il y a pas
mal de rebondissements et l’on rencontre beaucoup de nouveaux
personnages au cours du jeu (normal, c’est du Square
Soft). Le seul défaut est une traduction
médiocre à certains moments du jeu.
Les graphismes sont supers avec des décors
très soignés et des personnages
et des dragons bien
étudiés. Il y a des effets
d’ombres et de lumières très
recherchés. Les graphismes sont donc entre la snes et la
playstation.
Pour les combats,
ça se passe au tour par tour,
donc vous avez tout votre temps pour décider ce que vous
allez faire.
Vous pouvez faire soit une attaque frontale, soit une attaque
à
distance. Comme chaque personnage a un dragon et plusieurs attaques,
vous avez un très large choix de possibilités.
Pour le reste, c’est
facile, vous avez un bouton pour parler, prendre les objets et
c’est
tout.
La
prise en main rapide
et les combats relativement simples rendent le jeu facile pour les
débutants. Les capacités des dragons peuvent
êtres améliorées par des
objets et, comme plus votre dragon est puissant, plus vous
êtes
puissants, vous pouvez augmenter rapidement vos propres
capacités, ce
qui rend le jeu très facile. Même si les combats
deviennent difficiles
vers la fin, vous pouvez rendre invincibles vos dragons si vous avez
assez d’argent pour acheter des champignons.
La musique est
géniale et ne rassasit toujours
pas au bout de dizaines d’heures de jeux. Les bruitages sont
sublimes
pour la snes. Le fait que le dragon pousse un cri au moment de
l’attaque ou même quand vous allez le consulter
rend le jeu doublement
accrochant.
Ce jeu fait partie des
meilleurs que l’on peut
trouver. Tout collectionneur ou grand joueur se doit d’avoir
ce
merveilleux jeu et de le finir. Attention ! Le jeu perd tout son
intérêt s’il n’est pas en
français (pour ceux qui ne comprennent que la
langue de Molière bien évidemment).
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Scénario
Graphismes
Jouabilité
Musique et bruitages
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Traduction
|
Par Max
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| Test: ILLUSION OF TIME |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
C’est en 1994
que le studio Enix créa
l’un des meilleurs RPG (jeu de rôle) de
l'époque : Illusion of Time !!
En effet l’histoire du jeune Paul
et de la princesse Flora est une des
meilleures sur super nintendo. Ce genre de jeu a connu son
apogée avec la snes et Illuson of Time est un de ses
meilleurs titres. Bien que le genre possède
déjà des références telles
que la célèbre série de Square
soft : Final Fantasy et Secret
of Mana ; Illusion of Time est à part
grâce à son scénario
et son gameplay.
Vous
incarnez le jeune Paul, fils du célèbre
explorateur Octave disparu depuis
longtemps, et vous menez une vie paisible dans la petite ville de Cap
sud. Un jour, en rentrant de
l’école, Paul découvre la princesse
Flora avec son petit cochon Hamlet dans
son salon. La petite fille est malheureuse chez elle car elle ne
supporte pas que son père veuille s’accaparer
toutes les richesses du monde. Flora restera à
peine une journée auprès de Paul que les soldats
viennent la chercher et la ramène au palais. Le lendemain,
Paul reçoit une lettre du Roi
l’invitant au palais et lui
demandant d'apporter une bague
précieuse. Mais le héros, qui ne
possède pas cet objet, se rend quand même au
palais, impatient de revoir Flora. Les retrouvailles sont de courte
durée car le Roi veut la bague. Lorsqu’il se rend
compte que Paul n’a pas la bague, il s’emporte et
le jette en prison. Une fois sorti, Paul rencontre son ego Chrysaor,
un grand chevalier. Pour la suite à vous de jouer !!
Dans les villes, vous vous déplacez et discutez
avec les gens. Vous devez trouvez des gens qui vont vous aider dans
votre quête ainsi que des rubis de feu
(50 rubis donnent l’accès à un niveau
bonus). Dans les lieux d’action, vous incarnez Paul ou
Chrysaor. Paul se bat avec son bâton
et Chrysaor avec son épée.
Si vous éliminez tous les ennemis de la salle, les
compétences de Paul augmenteront. Certains lieux
d’action se terminent par un boss.
Le perso est facilement pris en main pour les débutants, il
existe aussi des petites subtilités pour les joueurs
confirmés. Un jeu donc qui s’adresse à
tout le monde.
Les graphismes sont super bien réussis.
Ce jeu utilise entre autre le mode G7 qui
permet de faire tourner l’image de 360°.
Les personnages sont en harmonie avec les décors et les
actions sont superbes. Les
séquences intermédiaires sont
magnifiques. Ce jeu pousse presque la super nintendo au top de ses
capacités. Un très bon point !
Tout comme les graphismes, les musiques
sont superbes. Le rythme est calme dans
les villes et s’accélère dans les lieux
d’action. Chaque ville a son propre thème avec des
instruments différents. Le plus impressionnant reste
l’ambiance qui règne
dans ce jeu. L’alliance son et graphisme est très
bien réussie.
Dans ce jeu, la difficulté
est croissante. Les premiers niveaux sont
très faciles mais vers la fin ça se corse
énormément. Pour ce qui est de la durée
de vie de ce jeu, elle est malheureusement faible.
Il n’y a que 6 statues hexade
à collecter, ce qui est assez peu.
Un très
bon RPG qui se démarque des autres RPG de
l’époque grâce à son
ambiance superbe, son histoire, etc… Toutefois on regrette
que ce jeu soit si court et que la quête ne soit pas plus
longue. Mais celà ne gâche pas le charme du jeu.
Illusion of Time est un des meilleurs RPG sortis en France !!!
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Scénario
Jouabilité
Graphismes
Musiques
|
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Durée
de vie |
Par Oversides
Note : Ce jeu s'appelle "Illusion of Gaia" sur le territoire américain.
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| Test: FINAL FANTASY VI |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Final Fantasy VI
Final Fantasy 6
est le dernier sorti sur Super nes et le dernier en 2D. Un
adieu grandiose à notre bonne vieille console. Encore
aujourd’hui, Final Fantasy 6 est
considéré par beaucoup comme le meilleur de toute
le série.
Il y a bien longtemps la guerre des Reines Magi avait
dévasté le Monde. Mais aujourd’hui, le
monde s’est reconstruit et la haute technologie
règne. Mais des forces maléfiques n’ont
pas oublié que la Magie, la puissance la plus destructrice,
n’a pas totalement disparue. Un Esper a
été découvert dans les mines de Narshe
et marque ainsi le début de la nouvelle guerre…
Terra est le
premier personnage que vous incarnez. On comprend
très rapidement qu’elle est un peu «
spéciale ». Puis elle rencontre Locke, qui la
sauve, et le jeu commence réellement.
Le scénario
de ce FF6 est, comme ses
prédécesseurs, très
travaillé et palpitant. Mais ce qui le
différencie des autres FF c’est qu’il
n’y a pas de héros. C’est vous qui
choisissez librement les membres de votre équipe.
On pourrait croire que l’histoire se résume en
cela : tuer le méchant pour sauver le Monde. Mais
c’est autre chose. C’est en effet le premier FF
où les personnages ont une psychologie extrêmement
poussée et surtout c’est l’apparition
des mini-quêtes qui pimentent le jeu et le rendent
très long.
Le scénario vous réserve de très
nombreuses surprises…
|
|
Les personnages, malgré leur
petite taille sont fort jolis, les décors
intéractifs et surtout très beaux eux aussi. Les
ennemis, même s’ils ne sont pas animés
font preuve d’un grand talent et de
créativité de la part de Square. Chaque arme est
représentée différemment pendant les
combats, ce qui accentue la personnalisation des personnages. Et puis,
les effets magiques sont vraiment…magiques !
Dès la première musique au
générique de début, on ressent que
tout le jeu va intégrer de superbes musiques.
Tantôt douces, tantôt plus rapides, on ne se lasse
jamais. Vous aurez même l’occasion de jouer dans un
opéra.
Square savait l’importance des musiques dans un jeu de ce
type et n’a pas raté son coup.
Square a réussi à allier dans les combats
stratégie et aisance d’action ce qui rend les
combats palpitants et pleins d’actions. On a pas le temps de
s’ennuyer. Les menus sont très clairs, et les
systèmes des magies et des Espers faciles à
assimiler. Du coup, dès le début du jeu, on sait
déjà tout faire, reste plus
qu’à
trouver une bonne stratégie. Et malgré toutes les
différentes phases de jeu (Airship, Bateau, Chocobo, train
de la mine…) la jouabilité
ne perd rien.
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Final Fantasy 6 marque la fin
d’une ère de RPG mais est aussi le
précurseur des RPG modernes auxquels nous jouons tous
actuellement. Seuls ses graphismes anciens en 2D permettent de
différencier ce jeu des autres RPG.
Final Fantasy VI était, est, et restera un des meilleurs
RPG.
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Scénario
Musiques
Mini quêtes
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Graphismes vieillissants
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Par Soldat Carbonaro
Merci à pour
les captures d'origine
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| Test: DIABLO |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Diablo
Lorsque le mal décide de
renaître, c'est toute une ville qui tombe sous l'influence
maléfique. Le traitre Lazarus,
prêtre dans une église a
décidé de ramener Diablo sur terre et
des hordes de créatures malfaisantes accompagnent son retour.
Lorsque vous lancez le jeu, le ton est
donné dès la cinématique. Il s'agira
de lutter contre la racine du mal même. Ensuite, on remarque
immédiatement que l'on peut jouer en multijoueur ou solo. Je lance la
partie solo et là, j'ai le choix entre trois personnages.
Un magicien, un guerrier, et une
archère. Les principales caractéristiques des
personnages dépendent directement de la classe du
personnage. Ainsi si vous êtes magicien, la
quantité de points de magie sera plus grande que si vous
êtes un guerrier. En revanche si vous êtes un
guerrier, votre force sera plus
élévée. Et si vous êtes
archère, alors votre agilité sera grande.
Mais rassurez vous, vous aurez la
possibilité de faire évoluer ces
caractéristiques. Plus vous tuerez de monstres visqueux,
plus vous acquérirez de l'expérience. Et quand
vous aurez suffisament de points d'expérience, alors vous
gagnerez un niveau et pourrez distribuer 5 points entre les quatre caractéristiques
de votre personnage (Force, Agilité, Magie et
Vitalité). Plus un de vos caractères sera
développé, plus vous aurez de
possiblités suivant ce caractère.
Donc, si votre force est grande, vous
pourrez utiliser des armes qui demande un fort taux de force et vous
améliorerez les dégats infligés aux
ennemis. Si votre agilité est forte alors votre
précision sera plus grande et vous déplacerez
plus vite. Si votre magie est grande, alors vous pourrez
contrôler de nombreux sorts et avoir beaucoup de mana en
réserve, mana qui est indispensable pour lancer un sort. Et
si votre vitalité est très
élevée alors vous serez très
résistant et supporterez un plus grand nombre de
dégats.
Un serviteur du bien ne peut (en
théorie) porter une arme, mais comme les
créatures maléfiques ne sont guère
versées dans la pitié et que les
dévellopeurs de Blizzard
ne sont pas fous, vous aurez à votre disposition tout un
arsenal moyen-âgeux.
Cela va de la masse
étoilée, au marteau de guerre, sans oublier les
si nombreux différents arc : long, court, composite, de
tueur, etc... Mais il y a aussi les classiques
épées courtes et autre dagues, couteaux, et
petites cuillères. Sans oublier les beaucoup moins
classiques bâtons de magie qui, outre leur
capacité assommante pour monstre bélliqueux,
permet de lancer de lourds sorts dévastateurs sans
dépenser de mana.
La plupart de ces armes seront en vente
chez le forgeron du coin mais vous récupérez une
grande partie de ces armes sur le cadavre d'une créature (le
fait que la créature soit dans l'état d'un
cadavre ne signifie pas forcément qu'elle soit incapable de
se défendre).
Outre la floppée d'armes, il
y a aussi quantité d'armures, capes, robes, casques,
heaumes, casquètes et chinions pour se protéger
des griffes ennemis. Evidemment, plus une armure a une
capacité de protection, plus elle est chère.
Un pourfendeur de monstres a toujours
vécu un jour ou l'autre la désagréable
expérience de voir son épée
brisée sur les dents d'un troll, ou contre une pierre. Et
là, il n'y qu'une solution : la faire réparer par
le forgeron. Il en est ainsi pour chaque objet d'attaque ou de
défense. Chacun possède un certain nombre de
points de dureté et, si à force de taper sur des
monstres ou de recevoir des coups cet objet perd tous ses points, alors
il sera inutilisable. Outre ces objets, Diablo regorge de potions de
tous genres afin de remonter votre niveau de mana ou de vie sans
oublier les innombrables rouleaux de sort et livres de magie.
Même si le but ultime de
Diablo est de tuer Diablo, le jeu possède de nombreuses
quètes optionnelles qui vous permettront de gagner des
objets aux caractéristiques impressionantes, objets qui,
s'ils sont revendus, apportent une somme subtantielle. Les graphismes
sont impressionants de précision et de
simplicité. En effet, même si ce n'est pas de la
3D, au moins Diablo est en très
bonne 2D. Les effets de lumières et d'ombres
sont bien faits et les sorts lumineux ou torches sont très
honorables.
Les sons et autres bruitages sont
très reussis. D'ailleurs, le moindre cri de villageoise
torturée est criant de vérité. Les
musiques sont juste assez oppréssantes pour ce type
d'ambiance noire et glauque. Ce mélange de graphismes
sombres et bien faits, accompagné par les sons suffoquants,
rend l'ambiance générale de diablo
très... mortelle.
En plus de cette ambiance à
toute épreuve, s'ajoute la diversité de Diablo.
Elle est due, non seulement à son univers riche et
varié et au nombre impressionants d'items disponibles, mais
aussi par la durée de vie du jeu, qui est
éternelle. En effet, à chaque nouvelle partie,
les niveaux sont créés aléatoirement,
ce qui fait que jamais vous n'aurez les mêmes niveaux d'une
partie sur l'autre.
Par ce système et la
possibilité de recommencer le jeu du début avec
les caractéristiques actuels de votre personnage, Diablo
devient un jeu ou le but ultime n'est plus de tuer Diablo mais de
rendre votre personnage le plus puissant possible.
Bref diablo reste toujours une
référence du RPG même si il commence
à veillir mais bon comme dirait Griswold :
« Le Mal rôde ».
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Graphismes
Bruitages et sons
Ambiance
Jouabilité
Richesse des possibilités
Jeu réseau |
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En
anglais |
Par Zelgolhal
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| Test: MORROWIND : The elder scrolls III |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Morrowind
Bienvenue dans l'empire Tamriel.
Vous débarquez sur l' île de Morrowind comme
prisonnier libéré par l'empereur pour accomplir une mission : remettre
un paquet à un certain Casius Cosades
dans la ville de Balmora.
Voilà pour le début de l'histoire car pour le reste à
vous de voir. Le mot est jeté. Morrowind est un jeu où vous êtes
totalement libre de faire ce que vous voulez. Vous n'êtes même pas
obligé de remplir votre première mission. Vous choississez d'abord
votre caractère, votre race, votre nom, votre signe du zodiaque, et
voire même la couleur et la forme de vos cheveux. Vous créez
véritablement un avatar de vous-même dans un monde
recréé pour vous. Si vous êtes du genre fourbe et cruel pas de
problème, vous voilà chasseur de sorcières. Si pour vous l'honneur
compte avant tout, vous devenez guerrier.
Mais attention tout ce que vous faites dans Morrowind
a des répercussions. Ce monde a des lois qu'il ne faut pas violer
sous peine d'emprisonnement voire de mort, encore faut-il que les
témoins soient encore en vie. Si vous tuez ou volez trop de monde alors
les villageois fuiront votre arrivée et les marchands vous feront payer
une taxe pour un prix digne d'une armure de garde impériale. Mais par
contre si vous sauvez des enfants de la mort (certaines races ont des
pillards), alors vous verrez les marchands baisser considérablement
leur marge. Il ne faut pas oublier que tout se sait alors si vous ne
voulez pas finir SGF (sans guilde fixe), prenez garde à vos actions.
La façon d'évoluer dans le monde est très simple. On vous confie une mission,
à vous de voir si vous voulez l'accomplir, comment l'accomplir et
pourquoi pas au dernier moment vous retournez contre votre employeur.
La liberté est vraiment la priorité dans ce jeu à l'univers très médiéval.
Pour vous offrir la liberté absolue il n'y a pas de
mystères et pour peu que votre machine soit pas trop faiblarde, vous
serez émerveillé en voyant le levé du soleil à Balmora.
La qualité des graphismes est telle que vous resterez planté pendant
des heures à regarder la perfection des palais, la beauté des femmes
(et oui, il y en a contrairemnt à plein d'autres jeux). Bref, vous êtes
dans la matrice à vous de vous débrouillez pour survivre. Attention
petite config s'abstenir. Par contre, on peut noter une certaine
déception face au manque de reflets de l'eau.
La prise en main est extrêmement simple et digne du
plus simple des FPS, on se déplace avec les flèches on dirige la caméra
avec la souris et on tue les vilaines bestioles avec des grandes dents
(ou des petites) avec le clic gauche de la souris. Les différents menus
d'inventaire et de caractéristiques sont très accessibles avec un
simple clic droit et un rangement des catégories d' informations trés
intuitive. Bref, Morrowind se veut simple mais puissant et complet. Les
petits gars d'Ubisoft ont même pensé à donner au
joueur un journal où sont les mises à jour et ranger toutes les
informations concernant à peu près tout ce qui vous concerne et plus.
Et si vous voulez plus d'infos sur ce sujet, vous cliquez sur un lien
hypertexte et voilà le détail sur ce que vous avez demandé. Jamais une
bibliothèque de jeu n'a été aussi complète ni simple d'accès.
Que dire d'autre sinon que la bande son est aussi
bonne que le reste et que ce jeu innove surtout dans sa liberté
extrême. Attention, drogue dure à posséder à tout prix.
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Graphismes
Liberté
de mouvement et de choix
Bibliothèque de jeu
Interface simple
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Manque quelques effets
graphiques
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Par Zelgolhal
Note : Un trés bon jeu à la liberté extrême. The Elder Scroll troisième du nom est tout simplement le meilleur jeu de rôle de ce millénnaire.
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