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| Test: HARVEST MOON : Le village de l'arbre céleste |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Harvest Moon : Le village de l'arbre céleste
Autant
le dire d'emblée, je ne connaissais pas du tout l'univers Harvest
Moon,
série de gestion agricole très populaire depuis l'épisode
fondateur paru sur SNES en 1996. Cet épisode apporte-t-il du sang
neuf à la franchise ou se contente-t-il de poursuivre la série en
prenant un minimum de risques ?
Les prémisses
L'histoire
est posée dès les premiers instants : les pouvoirs de la Déesse des
récoltes se sont amenuisés suite au manque d'offrandes des locaux,
provoquant l'apparition de terres arides et désséchées. Heureusement,
vous êtes intrépide et prêt(e) à chausser vos plus
belles bottes en caoutchouc pour y remédier et redonner un coup de
lustre à la région naguère verdoyante!
Multiclassé
agriculteur - sauveur de monde
Très
vite, le jeu vous prend en main grâce à un petit tuto permanent,
vous envoyant de tâche en tâche : bêcher la terre à la houe, semer
des graines, arroser vos plantations, récolter le fruit de votre
labeur, puis enfin vendre vos récoltes à l'un des marchands du jeu
(au départ, seul le marchand généraliste est disponible mais vous
en trouverez qui vendent aussi de la nourriture, des fruits et
légumes, des fleurs...).
Bien
sûr, la journée de temps de travail est de 24 heures et effectuer
toutes ses tâches dans le temps imparti paraîtra assez laborieux,
pour ne pas dire franchement longuet. L'année se divise en quatre
saisons, mais curieusement cela n'influe pas sur les récoltes à
cultiver.
Un
peu plus tard dans le jeu des nouvelles tâches s'offriront à vous,
si vous persévérez et vous pourrez débloquez la cuisine, la
pêche, la mine et la domestication d'animaux (chien, poulets et
l'âne du Poitou) à condition de posséder les bons objets.
Quelquefois,
pour rompre un peu la monotonie du titre, il y a des changements
climatiques par saison. Sinon, les habitants du village pourront vous
proposer des quêtes du genre ''pêche-moi trois gardons et je te
cuisinerai une nouvelle recette''. Idem, si vous souhaitez
approfondir votre connaissance des villageois, il vous faudra retenir
leur date de naissance et leurs goûts, heureusement consultables à
n'importe quel moment dans le jeu par le biais de petits menus.
Bâiller
aux corneilles
Tout
le petit monde d'Harvest Moon est fort mignon, même si le graphisme
simple (mais correct), ne risque pas de vous décoller la rétine.
Idem pour la partie sonore composée de petits thèmes et de
bruitages. On notera aussi de forts pénibles chargements entre deux
zones (entre la zone agricole et le reste du village), ce qui
arrivera très fréquemment et inopportunément, cassant un peu plus
un rythme de jeu, déjà assez lent et répétitif.
La
jouabilité nécessite un bon placement du personnage devant la zone
à cultiver et, la plupart du temps, c'est plutôt pénible car le
perso n'est pas très maniable (la course est le mode de déplacement
par défaut).
Disons,
qu'à terme, seuls les plus motivés pour découvrir toutes les
possibilités du jeu, qui ne sont pas rebutés par une certaine
lenteur et le côté répétitif de ce simulateur de vie, sauront
résister à l'apathie voire à l'ennui. Les autres joueurs (les
moins patients) risquent fort de passer leur chemin.
'Le
village de l'arbre céleste'
poursuit la formule gagnante Harvest Moon mais en ne prenant pas de
risques :
c'est plus une évolution qu'une révolution.
Sachez
que si vous aimez le genre (et souhaitez approfondir le thème), vous
pouvez poursuivre avec Story
of Seasons
(3DS) et Stardew
Valley
(PC et consoles).
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Reposant
Dating sim
Très complet
Très grande durée de vie
Version française
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Répétitif
Graphismes moyens
Les temps de chargement
L'ennui guette au bout d'un moment
|
Par Surdy
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| Test: COLONY WARS : Vengeance |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Dans un futur lointain,
une organisation nommée la Ligue
décide de sceller le passage spatio-temporel reliant le
système Sol à ses
colonies. Du coup, les milliards d’êtres humains
vivant dans le système solaire se voient privés
des ressources importées. Les manifestations qui
s’ensuivent ont tôt fait de tourner à la
guerre civile généralisée.
C’est l’anarchie. Des factions connues sous le nom
de Tribus se mettent à piller
le peu de ressources restantes, au nez et à la barbe de la Navy
impuissante. Jusqu’à ce qu’un jour, un
leader du nom de Kron reprenne en main la Navy
et parvienne à unir la plupart des Tribus contre la Ligue. Le
temps de la
vengeance est arrivé. Vous incarnez
le jeune Mertens, ancien voleur et
meurtrier engagé dans la Navy. Fini,
le temps des héros politiquement corrects…
Vos objectifs semblent clairs et nets : repousser dans un premier temps
la
Ligue pour reconquérir le passage
spatio-temporel. Puis vous introduire dans le système
ennemi, repérer la capitale, et en finir une bonne fois pour
toute avec cette engeance. Mais bien sûr, ce n’est
pas si simple. On se rend compte progressivement que non seulement les
missions se complexifient, mais qu’en plus, les motivations
au départ si nobles deviennent plus troubles. La guerre
devient vendetta personnelle de votre leader, Kron, et les moyens
qu’il emploie le rendent pire que vos ennemis.
Des séquences comme au cinéma
Colony Wars : Vengeance se dote donc
d’un scénario solide et complexe, même
s’il ressemble au départ à ceux de
beaucoup d’épopées spatiales du
même genre. Ce n’est que progressivement
qu’on découvre ses implications. Les 26
séquences cinématiques dans
lesquelles Mertens raconte son histoire font beaucoup pour susciter
l’intérêt, tout en rythmant
l’action. Et en Dolby Surround s’il vous
plaît !
On a tout d’abord l’impression de se confronter
à un scénario totalement
linéaire : les missions se suivent sans que
l’on puisse choisir l’une plutôt que
l’autre. Jusqu’à ce que l’on
se rende compte que nos défaites ou nos victoires modifient
notre cheminement. En cela, on a affaire à une campagne
dynamique. Elle l’est d’autant plus
qu’après avoir assisté à
l’une des 6 scènes de fin – pas
forcément positive - on a accès à un
arbre représentant notre parcours, et permettant de revenir
à plusieurs embranchements du jeu. Chaque embranchement
correspond à un acte précis. Pour parvenir
à l’acte suivant, il faut effectuer 2 ou 3
missions, qu’elles soient réussies ou non. On
constate avec soulagement que l’on peut sauvegarder ou entrer
un mot de passe, mais avec dépit qu’on ne peut le
faire qu’au début de chaque acte. Cela signifie
que si l’on réussit une mission
particulièrement ardue, mais échoue lors de la
suivante, il faut la plupart du temps recommencer les deux missions.
Rageant !
Quant à la liberté de pouvoir continuer
à jouer après un échec, elle est
certes appréciable, mais il ne faut pas en abuser : seules
les missions réussies se voient
récompensées par l’attribution
d’un point de technologie. Celui-ci permet
d’améliorer les boucliers, les moteurs, les
gyroscopes (maniabilité) ou les propulseurs. Se priver de
ces points constitue donc un handicap certain. Au fil des missions, et
selon leur degré de réussite, on a
accès à de nouveaux vaisseaux, certains
adaptés à l’espace, d’autres
aux missions au sol : 5 au total. Quant à la
diversité des ennemis, elle est bien présente.
Pas moins de 80 vaisseaux amiral et chasseurs
vous attendent, tous plus réussis les uns que les autres.
Coucher de soleil sur le système
Gallonigher
Car il faut bien le reconnaître, Vengeance est beau. Que ce
soient les nébuleuses, la Terre
vue du ciel ou les divers vaisseaux et installations orbitales que
l’on côtoie, c’est un
véritable plaisir pour les yeux. Et lors des engagements
à la surface des planètes, on n’est pas
déçu non plus : le paysage en haute
résolution s’affiche sans
à coup, et d’une manière
remarquablement précise. On voit même les arbres
(ou ce qui en tient lieu) ! Des musiques symphoniques
du plus bel effet accompagnent les combats. Ceux-ci se parent de
magnifiques effets de lumière : bleus lorsque les tirs des
lasers heurtent les boucliers, rouges lorsqu’ils
s’en prennent à la coque des vaisseaux. Dans la
version anglaise, de lugubres « heeeeeelp ! »
venaient ponctuer la destruction de certains chasseurs. Histoire de
rappeler qu’il y a des humains derrière les
cockpits.
Mais la plupart des missions ne se composent pas uniquement de
dogfights. Parfois, on doit escorter des vaisseaux de la Navy,
lorsqu’il ne s’agit pas de jouer les nettoyeurs de
l’espace en transportant à l’aide
d’un grappin des réacteurs instables vers un
passage spatio-temporel. Ou bien, il faut détruire des
installations au sol, ou encore pratiquer le forage
d’astéroïde afin d’en extraire
des cristaux. Bien sûr, des ennemis peuvent à tout
moment venir nous défier. Dans l’ensemble, la
diversité des actions à accomplir surprend donc
agréablement. On n’en attendait pas autant
d’un simple shoot dans l’espace.
Sans compter qu’il faut souvent faire preuve d’un
minimum d’astuce : gérer son timing lorsque le
temps vous est compté, ou profiter du relief pour surprendre
des tours de défense. Autre bon point : contrairement au
précédent épisode, Colony
Wars, il ne faut pas réussir de missions
d’entraînement pour entrer au cœur du
sujet. On progresse même facilement dans les trois ou quatre
premières missions. Par la suite, cela devient beaucoup plus
ardu, et des défauts se font jour.
Envoyé au casse-pipe !
Tout d’abord, il n’existe qu’un
seul niveau de difficulté. Ce n’est
pas un défaut majeur, à condition que le jeu soit
vraiment accessible au plus grand nombre. Ce qui n’est pas
vraiment le cas. On se rend compte que chaque mission
nécessite une stratégie différente,
mais il faut la découvrir soi-même. En effet, les briefings
ne sont pas en 3D. Ils définissent les objectifs, mais pas
les méthodes qui permettent d’en venir
à bout. De plus, il faut se reporter sur la notice pour
comprendre à quoi servent certaines armes que l’on
vous fournit. Certaines se révèlent
plutôt originales, comme ce robot offensif chargé
de distraire des tours de défense pour que vous puissiez les
prendre à revers. On ne connaît pas non plus les
objectifs prioritaires par rapport aux autres : c’est en
échouant que l’on se rend compte que quelque chose
a mal tourné.
Mais le plus gênant concerne à mon sens la jouabilité
de Vengeance. Dans un shoot, c’est le mouvement qui vous
sauve le plus souvent la vie. Or, ici, il faut appuyer constamment sur
le bouton des gaz pour avancer. Très contraignant.
D’autant plus qu’on ne peut pas régler
d’une manière précise la vitesse. Pour
les combats spatiaux, cela ne s’avère pas trop
gênant, mais c’est une autre histoire lors des
conflits à la surface de planètes. Manier le
vaisseau devient alors indispensable, et comme il faut constamment
penser au régime moteur, le pilotage s’en ressent.
Le seul point véritablement positif au niveau ergonomique se
rapporte au radar en 3D. S’il faut un certain temps pour
s’y habituer, on ne peut rapidement plus s’en
passer : il permet de reconnaître instantanément
la position des adversaires. On sait à tout moment
s’ils se trouvent devant nous ou derrière, et cela
permet d’éviter des face-à-face
destructeurs. On doit d’ailleurs très souvent se
reposer sur ce radar, car les chasseurs adverses possèdent
la capacité de se rendre quasiment invisibles.
Globalement, Vengeance devrait plaire aux hard-core gamers. Mais il ne
franchit pas la barre qui permet à un bon jeu de devenir
excellent. La durée de vie profite de la
non-linéarité du scénario. Au total,
41 missions vous attendent, mais il faudra rejouer à de
nombreuses reprises pour les connaître toutes. Heureusement,
le système de sauvegarde permet de revenir aux principaux
embranchements.
De très
bonnes idées ressortent de ce Colony Wars : Vengeance.
Dommage que les programmeurs n’aient pu assurer un meilleur
confort de jeu.
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Graphisme : quelles
jolies nébuleuses
Durée de vie garantie par la campagne dynamique |
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Jouabilité
limitée car les contraintes sont trop nombreuses
|
Par Emmanuel Guillot
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| Test: I-WAR |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Choix des missions,
vaisseaux de taille imposante, mais néanmoins maniables,
graphismes et effets de lumière splendides, mais
fluidité de l’ensemble... Cette simulation
spatiale épique n’a pas fini de vous surprendre !
Depuis quelques minutes, la tension avait augmenté chez tous
les hommes. La mission n’avait pourtant rien de
compliqué, juste tenir un point de Lagrange
le temps que des défenses automatiques soient mises en
place. Mais à deux reprises, les « Indies
» avaient surgi, semant la terreur… Quand soudain,
six nouveaux ennemis jaillirent de nouveau de l’hyperespace !
Après un bref échange de missiles et quelques
collisions, il fallait se rendre à
l’évidence : mission échouée.
Nous sommes au 24ème siècle,
et un groupe de colons indépendants, les « Indies
», mène la vie dure au Commonwealth,
le gouvernement des nations terriennes. A tel point qu’il
faudra une bonne dose d’opiniâtreté pour
réussir certaines missions.
Heureusement, I-War comporte plusieurs
exercices qui vous permettront de maîtriser votre corvette de
type Dreadnaught. Trois d’entre
eux vous inculqueront des notions de navigation, et trois autres les
techniques de combat. Et ce n’est pas de trop, car un
bâtiment de cette taille (150 mètres) ne se pilote
pas comme un X-Wing ! Vous devrez jongler avec quatre postes : le
commandement, la navigation (cockpit), l’armement et la salle
des machines. Le poste de commandement sert à
définir le parcours, assister aux briefings…
ainsi qu’à prendre le contrôle de
vaisseaux (non ennemis) à distance. Plutôt
original !
Autre attrait d’I-War, les choix de missions qui
s’offrent au joueur au fur et à mesure
qu’il progresse dans le jeu. Selon leur degré de
réussite, le scénario évolue de
différentes manières. De quoi jouer et rejouer
encore et encore, d’autant que les graphismes, pourtant non
optimisés 3DFX, valent vraiment le
détour… Et ne nuisent pas à la
fluidité, à condition de disposer de 32 Mo de
Ram. Tout cela s’accompagne d’un aspect simulation
très gratifiant : autant dire qu’I-War
paraît d’ores et déjà en
mesure de s’imposer dans sa catégorie en 1998.
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Excellent graphisme
Bon son
Excellente jouabilité
Excellente animation
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Difficulté
élevée dès le début
|
Par Emmanuel Guillot
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| Test: 3D ULTRA PINBALL : Creep Night |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
3D Ultra Pinball : Creep Night
Des
gremlins, gargouilles et autres fantômes ont pris possession
d'un
ancien château vous appertenant !! Seul une furieuse partie
de flipper
pourra en venir à bout et les obliger à quitter
les lieux !! Plusieurs
lieux sont à explorer : le château,
le cimetière,
le laboratoire et le dongeon
!! Si vous êtes assez bons vous aurez l'honneur d'affronter
le roi
des gnomes dans un combat titanesque... Mais
faîtes
attention... les gnomes sont traitres, c'est bien connu !!
Alors voilà !! Il est
l'heure de vous
donner mon avis sur ce jeu afin que vous puissiez vous en faire une
idée plus précise, je vais donc m'atteler
à la tâche non sans un
certain plaisir comme à l'accoutumée !! Tout
d'abord j'entends déjà
certains me dire : "mais Games qu'est-ce que tu nous proposes un jeu de
flipper ??". Ben oui c'est un jeu de flipper, mais vous devez commencer
à me connaître, si je le propose, c'est qu'il doit
y avoir au moins une
bonne raison si ce n'est plusieurs et je vais vous les
énumérer ici !!
En premier lieu sachez, ainsi cela ne sera plus un secret, ce jeu est
mon jeu de flipper préféré !!! Eh oui
!! Je l'ai découvert il y a
plusieurs années déjà et je dois dire
que je ne m'en suis jamais lassé
tellement il est prenant et pourtant tout le monde sait quelle tendance
j'ai à vite me lasser des choses... ben là non !!
Et il y a de quoi !!
Je dirais que ce qui frappe au
premier abord avec ce jeu c'est qu'un jeu de flipper ait un scénario
!! Mais oui vous avez bien lu : un scénario !!! Il est
simple, mais il
y en a un !! Ce qui est rare pour un jeu de flipper... en quelques
mots, vous possédez un château qui se fait envahir
par toute la cohorte
du roi des gnomes... vous rencontrez donc fantômes, esprits,
gnomes
(ben tiens), monstres en tout genre et autres goules et gargouilles qui
trainent par là aussi !! Votre mission si vous l'acceptez,
débarasser
le château de toute cette vermine !! Mission simple de prime
abord mais
pas si évidente qu'il n'y paraît au demeurant...
En effet, vous devez jouer au flipper !! Et selon vos performances vous
accéderez aux niveaux supérieurs, etc... et aurez
finalement l'insigne
honneur d'affronter le roi des gnomes dans un combat singulier afin de
la chasser de votre demeure !! Simple non ?? Ben non !!! Ce flipper
n'est pas simple du tout tant il ne ressemble en rien aux flippers
traditionnels !! Déjà les décors
sont réalistes,
vous commencez dans la cour du château, pour ensuite passer
par un
laboratoire de dingue et finir au dongeon tout en faisant parfois
escale au cimetière...
Tout ces différents lieux regorgent de pièges
en tout genre qui s'activent selon vos actions, en clair selon
où vous
envoyez la bille !!! Certains sont bénéfiques et
vous rapportent un
paquet de points et vous permettent
d'avancer dans le jeu, mais d'autres sont maléfiques et
feront tout
pour vous nuire... je citerais par exemple le spectre qui tente de vous
voler votre bille, les gnomes malicieux qu'il faut écraser
sans pitié
ou les monstres à éviter, des parties en multibilles
acharnées, des mini-jeux d'arcade
qui
apparaissent quand on s'y attend le moins, etc... bref une vraie partie
de plaisir !!
Et c'est sans compter le vortex qu'il
vous faudra activer et qui vous permettra d'accéder aux
différents
lieux précités, les monstres qu'il faudra
réveiller notamment au
laboratoire, les prisonniers à libérer du
dongeon, etc... les actions
sont très nombreuses et je dois dire que même
après plusieurs années à
jouer à ce jeu j'en découvre encore des nouvelles
!!! Autant vous dire
que le chemin jusqu'à l'affrontement contre le roi des
gnomes est TRES
long !! Mais heureusement vous pourrez sauvegarder votre partie
à
n'importe quel moment !!
Voilà un peu ce qui concerne le scénario et le
déroulement du jeu...
maintenant concernant des détails plus techniques comme les graphismes
personnellement je les adore !!! C'est de la 2D
parfaitement maîtrisée, les monstres sont vraiment
bien faits et les
décors très beaux !! La musique colle vraiment
bien à l' ambiance
médiévale du titre sans compter
les voix des personnages
qui sont à mourir de rire !!! Imaginer les voix de
Naheulbeuk pour ceux
qui connaissent ben là vous aurez du même style !!
Les petites voix
nasillardes des gnomes, les cris des fantômes et autres
spêctres,
etc... vraiment très fun !! D'autant plus que cette
version
est intégralement en français,
voix
et textes !!! Alors vous ne raterez rien
du tout !!!
Concernant la jouabilité,
c'est correct,
je n'ai rien à en dire de particulier, les commandes
répondent bien,
vous pouvez les configurer sur les touches du clavier ou de la souris
voire les deux, etc... comme bon vous semble !! De plus le jeu permet
jusqu'à 4 joueurs de
s'affronter
simultanément !! Bref je vous assure que ça donne
d'excellentes parties
de rigolade !!
Voilà, je crois que tout est dit, je vous laisse maintenant
découvrir
ce titre !! Profitez-en bien et amusez-vous comme des petits
fous !!!
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Scénario
Décors réalistes
Mini-jeux d'arcade
Voix en français |
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C'est tellement bon qu'on en
reveut ! |
Par Gameslover
Merci à pour
les captures d'origine
Ce jeu est considéré comme abandonware.
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| Test: PILOTWINGS |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Pilotwings
Votre rêve a toujours été de voler ?
Hé oh attention, je parle de voler dans les airs... pas piquer une
caisse... :p
Si vous avez répondu oui alors ce jeu est fait pour vous... Mais lisez
encore un peu vous risquez d’aimer...
On y va ? Allez enfiler vos lunettes et vos blousons de cuir mes amis,
le nez en l’air et le doigt sur le bouton.
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Le premier jour..
Au début de la première leçon, vous savez aussi bien
vous déplacer dans les airs qu’un fer à repasser donc il y a du boulot,
bon, comme vous êtes pas super doué on va faire simple, un vieux coucou
de la guerre 14-18 expédié dans les airs, planqué au milieu du désert
les habitants ne craignent pas grand chose et hop ; votre mission est
très difficile on vous demande juste de passer entre quelques anneaux
et d’atterrir... non, ne souriez pas... c’est pas si facile que cela en
a l’air et des images de votre vieux coucou crashé vous allez en voir.
Bon, vous avez réussi ? ok, on va faire un peu plus dur alors, le saut
en parachute de précision, on vous demande d’atterrir sur un
timbre poste (psst essayez pour déconner de ne pas ouvrir votre
parachute...). Des supers points dans toutes les disciplines vous
valent des jeux cachés (style un pingouin qui doit sauter dans une
piscine bien trop petite).
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Alors au niveau manipulations, tous les véhicules
répondent au doigt et à l’oeil, enfin, il font ce que vous leur
demandez de faire pas plus, au menu de votre brevet de pilote
on vous demande de savoir gérer : un avion, un saut
en parachute, un rocketbeld ( pour ceux qui
savent pas à quoi ca ressemble, c’est un réacteur accroché au dos d’une
personne un peu comme les gadgets à la James Bond), un deltaplane,
qui permet pour s’amuser pendant un peu plus longtemps de prendre des
courants ascendants afin de rester dans les airs (mon record perso : 34
minutes en vol) et même, tenez vous bien, un hélicoptère de
combat pour sauver vos instructeurs (capturés pour je ne sais
quelle raison... la faute à Ben Laden ou aux Farc de Colombie j’sais
pas...)
|
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Au niveau graphismes, c’est le zoom
qui est bien utilisé dans tous les matières de saut (parachute et
rocketbeld) c’est super agréable de faire des piqués et des
rétablissements in extremis. Même si le jeu est un peu limite à
certains moments (oh rage oh désespoir quand on rate une épreuve) on
apprend beaucoup à se crasher et à manipuler correctement les persos
pour déconner.
Au niveau musique, les musiques passent sans problème,
pas de coup d’éclat, mais on en a pas besoin puisque on est bien trop "
pris " par le jeu.
La durée de jeu est quant à elle très
limitée lorsque l’on manipule bien tous les engins donc c’est
un jeu à une seule utilisation car ensuite on arrive au bout en
quelques heures. Mais pour les petits nouveaux.. mouhahahahaha (rire
diabolique)... Un régal, impossible de se poser correctement, explosion
de la rocketbeld en plein vol, le parachute qui s’ouvre trop tard.. un
vrai régal pour les amateurs de "plein les yeux" :p
L’avis du testeur : Vrooom, virage serré à gauche du zéro de
la flotte japonaise, passe en rase motte tout près du plan d’eau et
boooooom dans le centre de la cible... quoi ? c’est pas le but ? 0
partout ? il fallait pas !? fallait pas me mettre un 2/10 en saut en
parachute.
Hé ben c’est un de mes jeux préférés (normal que je teste d’abord
tout ceux qui m’ont plus non ?) même quand on a la rage d’avoir échoué
on peut pas s’empêcher de recommencer.. une vraie drogue mais il faut
prendre le temps, ce n’est pas un jeu que l’on maîtrise en un ¼ heure.
Sinon, il est vraiment top !! Allez, je vous laisse mon instructeur de
saut en parachute m’attends dans l’hélico.
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De nombreuses "véhicules"
Un jeu addictif
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Parfois trop complexe
Durée de vie relativement courte
|
Par Nyneara
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| Test: PINBALL ARCADE |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Pinball Arcade
Imaginez, une salle éclairée
par une lumière tamisée et 7 flippers
de légende. Pour posséder ces 7 flippers et la salle pour les
loger, vous n'avez plus besoin d'être milliardaire, il vous suffit
d'avoir un PC et un jeu de flipper.
Le principe de Pinball
Arcade est relativement simple : il s'agit de jouer au flipper.
Vous pouvez jouer sur 7 flippers différents du plus vieux au plus
récent. Ces derniers ont réellement existé, et ont fait la fortune de
génération de barman. Il y a le "Baffle
Ball" et le "Haunted House",
sans oublier le célèbre "1976" .
A travers ce jeu, c'est une véritable leçon
d'histoire des flippers. On s'aperçoit qu'à l'origine, il n'y avait pas
de flippers (les barres sur les cotés, qui bougent lorsqu'on appuie sur
les boutons) afin de faire rebondir les balles.
Le seul moyen d'engranger des points c'est de doser plus ou moins le
tir afin que la balle atterrisse dans les cases aux nombreux points.
Plus tard, les flippers apparaissent, mais d'une telle manière que si
la balle arrive au milieu alors c'est tant pis. Et ce n'est que dans
le milieu des années 1970 que les flippers prennent leur forme actuelle.
Les graphismes sont assez honorables, mais bon, pour une simulation
de flippers, cela n'est pas difficile. J'ai dit simulation? Oui je sais, c'est un
jeu d'arcade, mais le jeu est empreint d'un tel réalisme qu'on ne peut
s'empêcher de penser au simulateur. Tout y est sans exception. Les
petits bruits du démarage, les "cling" lorsque la balle cogne les
cibles. Et même, le roulement de la bille est présent. Les graphismes
suivent avec les quelques effets de lumière qu'un flipper offre et la
bille qui a été admirablement bien modélisée.
On est en face d'un véritable flipper qui "vit", si
on peut dire, même si on regrette le peu d'environnement. On aurait
aimé voir une petite salle autour de soi afin de recréer l'atmosphère
des bars enfumés et des joueurs invétérés. A la place, on a le droit à
un sale fond noir du plus mauvais effet.
Bref, le jeu reste sympathique sans grand intérêt, si vous l'avez
avec Windows ou qu'un copain l'a, jouez-y, sinon d'autres jeux du même
style feront votre bonheur.
Les bornes "arcade" de jeu vidéo ont quelque peu tué le flipper,
pourtant il s'agit de leurs racines et il mérite un meilleur hommage
que Pinball Arcade.
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Jeu sympathique
Quelques éléments bien réalisés
7 flippers
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... seulement 7 !
Rien d'exceptionnel
Pas d'immersion dans un environnement
|
Par Zelgolhal
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| Test: PINBALL |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Le pinball est tout simplement un jeu de flipper sur ordi, bien marrant, qui permet de se distraire entre 2 travaux.
Le but de ce jeu est du plus simple : marquer le plus de points. Pour cela, plein de possibilités : tout d'abord, dans la rampe de lancement, allumer les trois 1ères lumières : déjà 75 000 points. Pas mal pour le 1er coup du jeu. Ensuite, vous pouvez vous débrouiller pour faire rebondir votre bille sur les champignons d’attaque, ce qui vous fera gagner beaucoup de points mais encore plus si vous arrivez à changer la couleur des champignons, allant ainsi du bleu au rouge pour en passant par le vert et le jaune. Chaque couleur vous fait gagner plus de points : 500 pour le bleu, 1000 pour le vert et ainsi de suite.
La bille est en fait un vaisseau : on le charge d’effectuer des missions comme taper 8 fois sur les champignons d’attaque. Mais les missions ne se gagnent pas comme ça : il faut activer les cibles de mission ( il en a 3 ) et chaque cible correspond à une mission mais si les 3 sont activées, une mission spéciale est disponible. Lorsqu’une cible est activée, il faut rentrer dans la rampe d’acceptation de mission. Les finir, ces missions, est assez simple. Des petites flèches apparaissent aux endroits où il faut envoyer la cible. La mission finie, on reçoit une réconpense : 500 000 points ( oui, je sais, c’est bien payé pour ça ) et un avancement pour passer au grade supérieur. Une fois 3 missions réussies, vous êtes promu.
Ensuite, vous n’avez plus qu’à recommencer. Pour finir le jeu, on doit allumer les 9 lumières d’évolution de grade. Si vous battez un record de points, votre pseudo ou votre nom est placé dans la liste des meilleurs scores. Il y a aussi des options à « débloquer » comme le « cabestan » qui lève pour 60 secondes un petit piton entre les 2 flippers et empêche le vaisseau de « se crasher ». On l’obtient par 3 passages dans le gouffre de l’hyper-espace.
Dans ce gouffre de l’hyper-espace, on peut aussi gagner des points : lors de votre 1er passage, vous obtenez 10 000 points alors que pour votre 2nd passage, vous obtenez un jackpot dont le montant peut varier (15 000, 25 000,…)
Au début du jeu, on a 3 balles (ou 3 vaisseaux) à disposition mais on peut augmenter ce nombre par les trophés de niveau de 1 à 4 et par 4 passages dans ce même gouffre de l’hyper-espace. J’ai dit plus haut que la balle était en fait un vaiseau : il faut donc lui fournir le carburant. 3 façons de se le procurer mais je vous rassure, il ne faut pas payer ( ort heureusement) : soit on entre dans la zone de ravitaillement, soit on allume les 3 lumières des cibles du champignon se trouvant en haut à gauche soit on descend la rampe d’acceptation de tir. De toute façon, s’il arrivait que vous soyez presque en panne d’essence, un message vous préviendrai et votre mission en cour serait interrompue. Vous pourrez la reprendre dès que vous aurez fait le plein.
Bien sûr, ce jeu ne se fait pas comme ça. A droite et à gauche, il y a une sorte de « fosse ». La 1ère fois que l’on y entre, on est réexpédié dans le jeu mais une trappe se ferme, barrant ainsi le passage vers le lanceur. Si on y retourne, on vient alors de perdre une balle. Dommage. Avec un peu de chance, la lumière de sauvegarde, rouge, près des flipper, sera allumée et vous aurez le droit de rejouer. Lorsque vous vous crashez, vous avez parfois la chance de pouvoir là aussi rejouer. Malheureusement, c'est plutôt rare.
On peut aussi jouer avec un mode multi-joueur à 2,3 ou 4. Le 1er joueur finit toutes ces balles, le 2nd joue, le 3ème et ainsi de suite. Lorsque tout le monde a joué, l’ordinateur compte les points de chacun et désigne le vainqueur. Si ses points sont supérieurs au 6ème meilleur score, il entre dans cette liste. Les règles sont les mêmes que pour le mode 1 joueur.
En vente chez votre marchand d’ordinateurs.
Par Benji56
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