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| Test: LUMINO CITY |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Lumino city
Comme d'habitude, Lumi est venue rendre visite à son
grand-père autour d'une tasse de thé. Alors qu'elle descend chercher le
thé, l'improbable se produit : Grandad
est enlevé chez lui, n'a que le
temps de l'avertir et de laisser son handy
manuel derrière lui. Cette
scène sert de générique et l'on est directement plongé dans l'histoire.
Lumi va devoir se rendre à Lumino city
afin de chercher la trace de son Grandad bien-aimé...
Une
direction artistique aux petits oignons
Lumi évolue dans un monde imaginaire, intemporel
et naïf. Un univers composé d'un patchwork
de pastel, de kraft, de lumières et de diverses matières. La
composition est très riche et attire l'oeil par son style et son originalité. Les graphismes allient
2D, 3D et 3D isométrique en fonction des types de scènes. De nombreux
déplacements interscènes sont en 3D réelle.
En effet, le monde de Lumino city a été réellement construit par
ses concepteurs. Ce travail apporte un très bon rendu artistique
et les personnages, ensuite intégrés dans cet environnement y
déambulent naturellement. Certaines animations sont superbes et les
effets de lumière très réussis.
Enigmes, puzzles et
casses-tête à gogo
L'histoire
démarre sur les chapeaux de roues à l'image de certains jeux d'aventure
"point and click" mais rapidement l'intrigue laisse la place à tout un
panel d'énigmes, de puzzles et de
casses-tête. Lumino city ne
tourne plus rond, les différentes
énergies n'alimentent plus les mécanismes, les mécanismes sont
démontés, bref rien ne va plus et Grandad n'est plus là pour tout
dépanner.
Lumi
va donc devoir faire appel à toutes sa réflexion
et sa logique car il y en a
pour tous les goûts : circuits électroniques, engrenages à roues
crantées, puzzles à reconstituer, messages codés... Heureusement, elle
peut se référer au handy manuel qui lui sera d'une grande aide pour
relever le challenge !
Mais... Tout n'est pas rose
Le
jeu est intégralement en anglais,
ce qui rend la compréhension d'autant plus difficile. C'est sans
compter sur différents bugs qui viennent entraver le bon déroulement de
l'aventure. Quoi de plus frustrant que de devoir recommencer plusieurs
étapes après avoir chargé une sauvegarde qui ne concerve pas la
progression exacte ?
Pour
complexifier la situation, des bugs
apparaissent à divers moments tel le morse qui a bloqué nombre de
joueurs d'après les forums. Certaines
actions sont redondantes et alourdissent le jeu.
La
programmation n'étant probablement pas complétement optimisée, les
phases de jeu filmées en 3D ralentissent sensiblement les déplacements
de Lumi.
Un monde atypique
Alors que les décors sont en 3D, les personnages se trouvent quant
à eux désarticulés tel Rayman avec le style de Chapi Chapo, sans aucun
relief ni aspérité. L' absence de voix,
même en anglais, contribue à cette atmosphère particulière, mais
réhaussée par des musiques plutôt de
bonne facture.
Il aurait néanmoins été appréciable de bénéficier d'un catalogue sonore
plus étoffé qui aurait donné plus de corps à l'aventure.
L'histoire s'avère assez humaine et sort des sentiers battus avec le
leitmotiv pour une petite fille de retrouver son grand-père. Dans le
même temps, grâce à la résolution des énigmes, Lumi rétablit la bonne
marche de Lumino city.
Au final, ce "puzzle adventure game"
est loin d'être toujours simple, surtout dans la langue de Shakespeare,
comptez entre dix et quinze heures pour le finir. Malgré ses bugs le
plaisir de progresser aux côtés de Lumi reste très présent tout au long
de cette magnifique aventure.
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La direction artistique
L'originalité
Les graphismes
Les puzzles
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Uniquement en anglais
Ralentissement à certains moments
Les bugs
|
Par Mononoké
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| Test: FLOBO PUYO |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Flobo Puyo
Ce
titre est le remake d'un jeu intitulé Puyo Puyo sorti en 1991 sur de
multiples plateformes. C'est le digne héritier de Columns,
lui-même dérivé de Tetris, deux grands
titres des années 80-90.
L'objectif est relativement simple : il s'agit d'assembler au moins 4
"Puyos" de même couleur à l'horizontal,
à la
vertical ou dans les deux sens simultanés. Les
pièces
sont composées de 2 puyos aux couleurs définies
de
façon aléatoire. Il est possible de les
déplacer
latéralement ou de les faire pivoter sur
elles-mêmes. Les
binômes se défont automatiquement au
gré des
alignements de 4 couleurs similaires et permettent alors de se greffer
à d'autres puyos pour constituer d'autres assemblages etc...
Mais qu'est-ce qu'un puyo ? C'est une espèce de "bulle"
souriante
mais terriblement envahissante et qui s'exprime, elle hurle comme les Lemmings
lorsqu'elle disparait ! D'où le nom du titre, Flobo pour le nom de
son créateur et Puyo
pour les bulles.
La particularité de ce titre est qu'il est possible de jouer
en multijoueur à 2. Plus précisément,
lorsque vous éliminez des puyos chez vous, vous les refilez
à l'autre sous forme de " bulles
fantômes" de couleur noire. C'est là
qu'est tout le piment du jeu, de plus si l'adversaire réagit
rapidement, il peut annuler cet envoi en éliminant ces puyos
avant le coup suivant... Vous me suivez ? Non, alors essayez et vous
comprendrez mieux tout l'intérêt du jeu...
La stratégie peut être aiguisée
grâce à la prévisualisation du
binôme de bulles suivant qui permet d'anticiper son prochain
coup. Il
est aussi possible d'accélérer la descente des
bulles afin de gagner du temps et de jouer plusieurs coups
là où l'adversaire n'en joue qu'un. Dans le jeu
contre l'ordinateur, à chaque niveau l'adversaire change de
nom (Fanzy, Garou...) pour donner le sentiment d'affronter une vrai
personne. Le joueur possède 3 vies au
départ.
Ce changement de niveau s'accompagne aussi d'un changement de musiques,
bien réussies d'ailleurs. Les sons correspondent aussi avec
des cris de loup-garou dans le niveau contre Garou... Il est
juste dommage que le décor ne change pas lui aussi.
Sans sortir complètement du lot des Tetris-like, Flobo Puyo
posséde néanmoins sa personnalité et
ses particularités qui en font un bon jeu qui aurait pu
être meilleur avec un travail plus important sur les
graphismes accentuant le côté
répétitif de ce genre de titre.
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Jouabilité
Stratégie
Mode multijoueur
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Répétitif
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Par Lancelot
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| Test: THE 7TH GUEST |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
The 7th Guest
La
maison d'Henry Stauf a
été abandonnée aussi longtemps que
l'on puisse s'en souvenir. Stauf était un maître
dans la fabrication de jouets, il créait des puzzles
stupéfiants - et son étrange manoir fut sa plus
grande création. La demeure est désormais vide,
pourrissant presque, depuis que les enfants ont commencé
à mourir, depuis que les six
invités sont venus. Il ne reste plus que les
lumières d'épouvante et les terribles complaintes
des enfants... Vous vous retrouvez subitement dans la maison. Pas
à pas, pièce après pièce,
les apparitions des fantômes des invités
dévoileront l'horreur du massacre qui a eu lieu. Le jeu de
Stauf n'est pas fini... Vous devrez résoudre les 22
puzzles créés par le
maître des lieux afin de vous en sortir.
En matière de
référence, The 7th Guest
s'impose comme peut-être l'un des premiers jeux
conçu pour tirer avantage du nouveau support
qu'était le CD-Rom en 1993. Le
boîtier du jeu plutôt quelconque renferme 2
CD-Rom, l'un contient le jeu lui-même, l'autre
contrairement à ce que l'on peux croire n'est juste qu'une
compilation de 27 minutes des musiques du jeu,
offrant un caractère à la fois nouveau (support
musical intégré) et luxueux. Ce qui le distingue
également et qui marque son côté grosse
production, c'est une quantité appréciable de séquences
vidéos et d'animations 3D,
une troisième dimension un peu poussiéreuse mais
ses qualités visuelles restent très bonnes. On
remarque également que le jeu dans le marché de
l'occasion est assez présent et démontre une
longévité intéressante, en comparaison
d'autres jeux sortis cette année-là.
Ecran de titre
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Introduction
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L'histoire tourne autours d'un personnage diabolique, Henry Stauf,
maître d'un manoir non loin d'un village de Harley.
Celui-ci est un fameux concepteur de jouets et d'automates. L'esprit
résolument démoniaque, il monte le projet de
faire de sa demeure, une véritable souricière
où chaque pièce renferme une énigme,
et dit-on, leur résolution apportera au vainqueur, des
pouvoirs extraordinaires. Stauf organise une soirée ou six
personnalités sont invitées. Des
procès verbaux de la police de Harley rapportent que des
voisins ont entendu des bruits étranges et des cris dans le
manoir, un jeune garçon, Tad Stone,
qui jouait avec ses amis dans les environs a disparu le
même soir. Aprés ces étranges
évènements, aucun des invités n'est
réapparut. La police a lancé une
enquête, mais rien n'a pu être établi,
si ce n'est qu'une soirée a pu être
organisée dans les lieux. Depuis ces
événements, le manoir de Stauf est
réputé hanté et les villageois n'osent
s'y approcher à la nuit tombante, pas peur des bruits et
hurlements que l'on peut des fois y entendre.... Vous incarnez donc un
personnage qui osera défier les mystères du
manoir pour y découvrir la terrible
vérité...
Bienvenue au manoir
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Un premier spectre
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Le jeu démarre dans le hall d'entrée, des apparitions
fantomatiques des invités
présagent de mauvaises choses, on se doute bien à
présent qu'ils ont trépassés, mais de
quelle façon ? Durant la progression des énigmes,
on suivra en parallèle les évènements
qui ont fait basculer cette soirée dans l'horreur. Les
apparitions tirent leur inspiration du cinéma muet, les
acteurs jouent en forçant un peu leur jeu tout en restant
crédibles et inquiétants. Chacun des
invités étant prêt à aller
jusqu'au bout pour concrétiser ses désirs,
n'hésitant pas à comploter et assassiner. Les séquences
dramatiques n'ont aucune influence sur le
déroulement du jeu lui-même, mais
témoignent et promènent une atmosphère
lourde de crimes, que l'on peut
rapprocher des romans policiers britanniques ( Les
Dix Petits Nègres d' Agatha
Christie entre autres) où la mort est
omniprésente et symbolisée parfois par de
macabres métamorphoses des visages en crânes.
En parlant du cinéma muet, l'introduction est
révélatrice, une longue vidéo
introduit Henri Stauf ("Cane"), sa demeure et ses projets
démentiels avec des teintes et un jeu
scénaristique évident. Coulé dans une musique
sobre d'un orgue synthétique, à
mi-chemin de la nouvelle génération de musique
digitale, mais gardant des accents "trop synthé", pensez
à The Secret of Monkey Island.
Stauf nous joue le sosie parfait du Nosferatu de Murnau,
un expressionnisme que l'on ne retrouve malheureusement que
très peu par la suite dans le jeu.
La
bibilothèque
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Stauf vous guide
|
Les lieux en eux-mêmes (le manoir), des fantômes
sans scrupules, il ne manque plus que les énigmes !!! Chaque
pièce du manoir en contient une qu'il faudra
résoudre si l'on souhaite accéder par la suite
à des endroits inaccessibles. Un crâne avec une
cervelle en mouvement à la place du curseur indique leurs
emplacements, on y trouvera aussi des indices
et la voix de Stauf pour vous expliquer à sa
façon, le but à atteindre. Comme pour le reste du
genre, les difficultés sont variables,
mais pas progressives. Une énigme se
révélera facile, la suivante
compliquée, demandant (parfois) une très bonne
connaissance de l'anglais. A la fois
amusant et agaçant. The 7th guest est mal
équilibré et des problèmes techniques
entachent la compréhension des énigmes, la
musique de fond rend inaudible la voix de stauf lors des explications
et il n'y a aucun moyen de diminuer le son de la musique puisque cette
option n'existe pas, on est souvent obligé de coller
l'oreille pour tenter de déchiffrer quelques paroles...
La navigation est assez
simple, par le système du clique/image, on se
dirige facilement. Chaque action est accompagnée d'une animation
pour rendre le mouvement. Il faut toutefois être
précis, mais c'est une question d'habitude. L'interface se
limite juste à la fenêtre de vue du jeu. Une carte
du manoir peut-être déployée et
indiquera par une couleur chaque pièce ou
l'énigme à été
résolue. L'interaction des énigmes est efficace
et des raccourcis de parcours apparaîtront au fur et
à mesure de la progression, d'ailleurs ceux-ci sont souvent
originaux (une plante qui grimpera au premier étage, un
livre dépliant une porte...) et participent bien
à l'ambiance générale.
Une
énigme...
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simple à
résoudre
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Graphiquement, The 7th guest a
reçu des soins particuliers, la 3D
bien qu'elle ait quelques fois des textures
de styles BD sont assez fines et colorées
pour tenir le poids des avancées technologiques. On
retiendra un jeu de lumières
très réussi, mêlant des zones d'ombres
et des effets lumineux doux et crédibles. Les
pièces sont richement détaillées, ce
qui frappe par le souci réaliste des
développeurs. En tout cas, The 7th guest hisse haut le
niveau de production et de qualité et mérite par
bien des côtés son titre de
référence en la matière. Il demeure en
effet avec Myst un des jeux
d'énigmes les plus corsés et agréable
à jouer, l'ambiance est très prenante et
effrayante notamment grâce aux belles musiques
qui vous accompagnent tout au long de l'exploration... Certains
passages sont anthologiques, notamment celui dans le labyrinth
où Stauff vous invective sans arrêt histoire de
rendre votre progression encore plus stressante !!!
En conclusion the 7th Guest tout comme sa suite The 11th Hour sont
d'excellents jeux mêlant horreur
et logique que tout amateur se doit de
posséder d'autant plus qu'ils ont tous les deux
très bien vieillis. Ce qui est regrettable avec la
version PC du jeu c'est qu'elle est
entièrement en anglais, vous allez me dire, la version Mac
aussi, oui mais personnellement je pense à la version CD-I
!!! En effet, le jeu était également sorti sur la
"console" de Philips dans une version
magnifique !!! Des graphismes améliorés, une
animation à couper le souffle, un son remanié, et
surtout les voix des personnages intégralement en
français !!! Je peux vous assurer qu'en ayant eu la chance
de jouer à cette version à l'époque,
la version PC à côté fait
pâle figure et je regrette qu'il ne soit encore à
l'heure actuelle pas possible d'émuler un CD-I sur PC car
sinon je vous aurais proposé cette version sur le site
tellement elle est supérieure, le comble c'est qu'elle est
même plus belle que la suite The 11th hour toujours sur PC
car jamais sortie elle sur CD-I malheureusement... enfin on s'en
contentera mais je vous préviens encore une fois, il faut
maîtriser pas mal l'anglais sinon les énigmes
resteront pour certaines un mystère...
Eclairage
à la torche
|
Le menu
|
Je vous souhaite en tout cas bien du plaisir avec ce titre, je vous
invite à découvrir le jeu par lequel tout a
commencé, j'avais hésité à
le faire à cause de l'anglais mais après
réflexion il était stupide de proposer sa suite
et pas le premier, d'autant plus qu'on ne trouve nulle part sur
Internet... alors sur ce bon jeu et n'ayez pas trop peur surtout ;-)
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Graphismes et animations
Musiques
Ambiance
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Tout en anglais
Difficulté
Scénario un peu alambiqué
|
Par Gameslover
Merci à pour
les captures d'origine
Informations
complémentaires :
Ce jeu comme vous l'avez
peut-être noté date de 1993, aussi faut-il ruser
pour s'en servir sur une configuration actuelle mais je vais vous
expliquer la marche à suivre et tout ira très
bien. Après avoir
téléchargé les deux CD du jeu, vous
les décompressez avec Winrar et vous vous retrouvez avec
deux fichiers .iso. A partir de ce moment-là vous avez le
choix traditionnel à faire, soit graver ces images sur des
CD, soit utiliser un lecteur virtuel. Notez cependant que pour utiliser
un lecteur virtuel vous devez impérativement vous assurer
que ce lecteur occupe la première place sur votre machine
dans l'ordre alphabétique, si vous avez d'autres lecteurs
CD-ROM qui ont des lettres antérieures à celle de
votre lecteur virtuel l'installation échouera à
chaque fois !!! Attention donc à ce petit
détail...
Ensuite pour lancer l'installation du jeu, insérer le CD2,
je dis bien le CD2 !!!! C'est lui qui contient les fichiers
nécessaires. Pour lancer l'installation recherchez
install.exe tout simplement et lancez l'installation du jeu,
ça se fera tout seul sans soucis même sous XP,
pensez juste à installer sur une lettre de lecteur pas trop
éloignée de C c'est tout. Une fois l'installation
terminée vous devez faire une dernière chose,
télécharger le patch ci-dessous pour que le jeu
fonctionne
sous windows car sinon bonjour la galère...
Le patch est à
décompresser à l'endroit exact où vous
avez installé le jeu. Une fois cela fait, lancez le jeu
grâce au fichier v32tng.exe qui se trouvera
désormais dans le répertoire d'installation du
jeu. A ce moment-là le jeu vous demandera
d'insérer le CD1, faites-le et vous pourrez commencer votre
partie !!!
Test :
Lire le test
scanné du magazine
Abandonware :
Télécharger
le jeu sur
Version : PC
Pour
utiliser ce téléchargement vous pouvez avoir
besoin des utilitaires suivants :
Langue : Anglais |
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| Test: THE 11TH HOUR |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
The 11th Hour
Harley
sur Hudson, dans le nord
de l'Etat de New-York, est une petite ville où, selon les
rumeurs, se produisent des phénomènes
surnaturels. Un endroit d'un calme étrange où, en
plein milieu de la douloureuse période de la Grande Crise, Henry
Stauf, un homme instable et énigmatique,
construisit son empire grâce à la fabrication de
jouets...
Tout ce que l'on sait sur ce mystérieux génie
c'est qu'il fabriquait des jouets incroyables inspirés de
ses rêves. Les gens disaient : "Un jouet Stauf est un jouet
pour la vie" et très vite, ils devinrent les jouets les plus
enviés et recherchés du monde entier.
Henry Stauf s'enrichit et se fit construire un manoir, une étrange
demeure sortie tout droit d'un de ses rêves.
C'est alors qu'un virus mortel frappa la
ville, un virus qui ne tuait que les enfants, qui s'emparait de leur
vie lorsqu'ils étaient au lit grelottant de
fièvre, agrippés à leurs jouets Stauf.
Alors soudainement, et sans donner aucune explication, Henry Stauf
ferma les portes de Stauf's Wonderworld Toys...
pour toujours.
Renfermé et solitaire, Henry Stauf se cloîtra dans
son manoir, caché derrière un voile d'ombres,
enveloppé de mystères. Pendant des
années, le manoir resta plongé dans un silence
troublant et l'on n'entendit plus parler de Henry Stauf. Plus du tout.
Jusqu'à ce qu'un soir six personnes
soient invitées à passer la nuit chez lui,
appâtées par ses belles promesses : la
réalisation de leur désir le plus profond... Nul
ne sait ce qu'il advint des invités et Henry Stauf semblait
s'être évaporé dans les airs, son
esprit hantant les couloirs et les pièces de sa
création la plus sinistre...
Ecran de titre
|
Film d'introduction
|
Nous sommes en 1995, et vous, Carl
Denning, êtes un reporter travaillant pour
l'émission de télévision " Enigmes".
Robin Morales, votre productrice et
ex-maîtresse, a mystérieusement disparu alors
qu'elle enquêtait sur une série de meurtres
horribles et de disparitions dans la petite ville par ailleurs
tranquille de Harley sur Hudson.
Votre seule piste est un ordinateur portable appelé le Gamebook
que vous avez reçu et qui a été
posté à Harley. Peut-être vous a-t-il
été expédié par Robin ?
Peut-être est-ce le produit de la main maléfique
de Stauf lui-même, se servant de la technologie des
années 90 pour fabriquer ses jouets et répondre
à la demande actuelle ?
Vous décidez de partir pour Harley le soir même,
et de vous rendre directement au manoir de Stauf pour chercher Robin.
Vous ne découvrez tout d'abord rien d'autre qu'un
intérieur abandonné et
délabré, regorgeant d'objets appartenant au
passé. Sur votre chemin, vous ne tomberez pas seulement sur
des indices très déplaisants et horrifiants, mais
vous découvrirez peut-être aussi bien plus que ce
que vous vous imaginiez trouver !!!
Une fois que vous aurez réuni tous les indices
nécessaires et résolu les nombreux
mystères et énigmes qui hantent le manoir
délabré de Henry Stauf, il vous restera alors
à prendre une décision encore plus difficile. Ce
choix vous accompagnera pour le reste de votre vie, quelle qu'en soit
sa durée...
L'escalier du manoir
|
Eclairage
à la torche !
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Vous présenter The 11th Hour
sans vous parler de son prédécesseur, The 7th Guest,
serait une injure à mon avis alors je vais tout d'abord vous
dire quelques mots sur le premier titre. Sorti en 1993
sur PC puis en 1996
sur CD-I si mes souvenirs sont bons, the
7th Guest vous mettait justement dans la peau du 7ème
invité, celui qu'on n'attendait pas dans la demeure de
Stauf... Sur PC, le jeu est sorti au moment où les films
interactifs étaient à la mode mais ne
bénéficiaient pas de graphismes très
intéressants et gros défaut à mon
avis, était intégralement en anglais... la
version CD-I sortie quelques années plus tard corrigeait
absolument TOUS les défauts de la version PC,
déjà graphiquement c'était absolument
superbe, et ensuite, les textes et voix avaient
été entièrement
retravaillés en français !!! Je vous assure que
ça en valait drôlement la peine...
Personnellement j'ai donc principalement joué
à la version CD-I je dois dire... alors qu'avions-nous ? Un
jeu d'aventure-horreur ponctué
d'énigmes très
tordues et de scènes filmées interactives... cela
donnait un cocktail détonnant, imaginez un peu, des
énigmes bien salées à la Myst
dans le cadre d'une maison hantée avec toute l'ambiance qui
va avec et des phases de recherche, dialogues, etc... vraiment
prenantes !! Cela donnait donc un jeu passionant, très
difficile avec un scénario très
intéressant qui ne
révèle toutes ses subtilités
qu'à la fin et qu'on ne lâche plus une fois qu'on
l'a commencé tellement on a envie de connaître la
suite et de savoir ce qui a bien pu arriver aux 6 invités
!!! En clair je vous invite vivement à y jouer si vous en
avez l'occasion...
The 7th
Guest
Ecran de titre
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The 7th
Guest
Scène filmée
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Voilà un peu pour une brêve
présentation de The 7th Guest... passons maintenant
à ce qui nous intéresse vraiment... sa suite...
The 11th Hour !!!
Alors le décor est planté dans la
description introductive je ne vais donc pas le
répéter mais sachez en gros que les
événements de The 11th Hour se situent 70
ans après ceux de The 7th Guest... Le manoir
a donc eu le temps de bien vieillir... mais il en a gardé un
charme certain et l'horreur que recellent ses murs n'en est que plus
palpable à mon avis...
Vous êtes donc un journaliste bien
téméraire qui entre dans la demeure de Stauf en
quête de son ex-petite-amie perdue... Jusque-là
rien de bien transcendant mais dès que vous vous retrouverez
entre les murs de la bâtisse les choses vont changer... En
effet, contrairement à son prédecesseur, The 11th
Hour est beaucoup plus sombre, comme je
disais, 70 ans se sont écoulés entre les deux
événements et le manoir tient
désormais plus de la ruine qu'autre chose, il est sombre,
très lugubre et vraiment effrayant, d'autant plus que vous
vous déplacez uniquement au moyen d'une torche
éclairant discrètement la pénombre des
lieux... Ambiance garantie !!!
Pour continuer au niveau ambiance graphiquement
rien à redire, c'est beau,
aussi beau que la version de The 7th Guest sur CD-I. Les décors
sont précalculés
évidemment et on évolue dans la maison avec une
grande facilité... les éléments du
décors sont clairs et précis, de la 3D
en somme merveilleusement bien maîtrisée !! La
musique quant à elle n'est pas en reste, même si
beaucoup de thèmes sont empruntés à
The 7th Guest on ne peut pas s'en plaindre tant ceux-ci
étaient magnifiques !! Ils rajoutent à l'ambiance
d'horreur et de mort
qui infeste les lieux, la musique peut être douce, calme,
puis stressante à souhait, bref elle vous plonge
littéralement dans le jeu tant et si bien qu'une fois dedans
on a du mal à en sortir...
1ère
énigme
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Autour de la table...
|
Les bruitages et voix
sont également très
réussis, la voix de Stauf est toujours aussi
stressante et effrayante, moqueuse, railleuse, le personnage ne
manquera d'ailleurs pas de vous invectiver à de nombreuses
reprises notamment lors de la résolution des
énigmes... Et nous arrivons là au point central
du jeu, les énigmes car oui, The 11th Hour n'est de loin pas
un jeu facile tout comme son
prédécesseur. Stauf était un
génie des mécanismes et autres jouets, on
retrouve donc ces aspects dans les différentes
énigmes du jeu qui mettront vos neurones à rude
épreuve !! Il ne s'agit pas ici d'énigmes
à la Resident Evil pour ceux
qui connaissent mais de vrais challenges, des énigmes qui
demandent une réelle réflexion pour
être résolues et qui sont basées sur de
grands classiques que les logiciens ne manquent pas de
connaître... Certaines se retrouvent même dans des
bouquins de mathématique ou autres problèmes
qu'on peut rencontrer dans sa scolarité... Bref ce n'est pas
un jeu facile !!!
Cet aspect, je le conçois bien, pourra en rebuter plus d'un,
pourtant même moi qui ne suis pas une lumière j'ai
apprécié de résoudre ces
énigmes et j'y suis parvenu, suffit d'avoir un peu de
logique et quand on trouve la solution cela n'apporte que plus de
plaisir !!! Pour certaines énigmes vous trouverez une
solution sur Internet ou ailleurs... Mais le souci c'est que certaines
énigmes ne peuvent pas avoir une solution écrite
car elles sont différentes à chaque partie !!!
C'est là une des forces du jeu à mon avis... Il y
a un moment donné le célèbre hexagone
à résoudre et là évidemment
pas de solution, faut gagner c'est tout et des énigmes dans
ce style il y en a plein... tout ça pour dire que
même avec une solution sous la main le jeu ne sera pas aussi
facile que ça... Mais heureusement vous pouvez vous faire
aider...
Les
casse-tête se corsent !
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Le Gamebook
|
Car oui, le jeu propose une aide
sous une forme originale que je vous laisserais découvrir...
Mais attention, déjà dans The 7th Guest on
pouvait avoir de l'aide pour ceux qui connaissent, mais tout aide
à son prix... En clair et pour ne pas gâcher le
plaisir de la découverte aux nouveaux joueurs, n'abusez pas
trop de l'aide où vous risqueriez peut-être de le
regretter Stauf n'aime pas du tout les lâches !
Voilà un peu pour l'axe central du jeu, chaque
résolution d'énigmes fait avancer l'histoire,
vous ouvre de nouvelles pièces et vous permet de mieux
comprendre ce qui s'est passé dans la demeure... A
plusieurs reprises Stauf lui-même vous défiera,
à vous de le battre !! Vraiment il y a de quoi faire, un jeu
qui ne se termine de loin pas en un après-midi,
même avec une solution sous les yeux et en abusant de l'aide
interactive mais même si la progression est
difficile, ce jeu a du moins à mes yeux cette
fantastique faculté de nous immerger, de nous faire vraiment
sentir le manoir de Stauf, etc... En clair on est dedans et on a du mal
à en sortir !
Quel
délire encore
de la part de Stauf ?!
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Jeu en noir
& blanc
le "spooky mode"
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La version française
comporte les voix des personnages en français ainsi que
l'interface du jeu ce qui garantit une immersion encore plus intense
!!! Je crois donc avoir fait le tour de ce grand jeu que je vous invite
vivement à découvrir et je vous souhaite bien du
plaisir et de l'effroi surtout face à Stauf et son manoir
hanté.
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Graphismes et animations
Musiques
Ambiance
Tout en français
|
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Difficulté
Moins novateur que son prédécesseur
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Par Gameslover
Merci à pour
les captures d'origine
Informations
complémentaires :
Techniquement vous devez
suivre
certaines étapes pour pouvoir jouer au jeu sans
problèmes sous un PC récent
équipé de Windows, peu importe lequel
d'ailleurs... il faut savoir que le jeu a été
développé pour être joué
sous DOS à la base mais que les développeurs de
Trilobyte, bien leur en a pris, ont créé un patch
pour le jeu permettant de le lancer sous Windows !!! Comme je disais
peu importe lequel, sous XP ça fonctionne parfaitement par
exemple mais il est tout de même recommandé
d'activer la compatibilité Win98 pour éviter tout
soucis...
Une fois le patch
téléchargé ci-dessous, il vous suffit
de suivre
les instructions notées dans le fichier readme inclu dans
l'archive du patch. En gros il s'agit de copier/coller 2 fichiers dans
le répertoire d'installation du jeu, rien de bien sorcier et
ensuite vous pourrez jouer sous windows sans problème ou
presque !! Pourquoi presque ? Simplement car si vous avez un PC
puissant vous risquez de voir le jeu défiler à
une vitesse folle... si ce n'est en rien génant dans le jeu
lui-même, cela est frustrant lors des scènes
cinématiques car elles passent en quelques secondes... pour
remédier à cela une seule alternative sous
windows : CPUkiller !!!
Télécharger
CPUkiller 2.0 pour windows
Télécharger
le crack de CPUkiller
Voilà donc deux petits fichiers à
télécharger afin de ralentir votre PC sous Windows
!!! Si vous jouez sous DOS pur et que vous rencontrez le même
problème de vitesse trop élevée dans
le jeu c'est Moslo
2.1 qu'il faut utiliser !! Comme vous avez pu le constater il
faut utiliser un petit crack pour CPUkiller mais rien de bien
méchant, suivez simplement les instructions contenues dans
l'archive et tout devrait bien se passer !!
Abandonware :
Télécharger
le jeu sur
Version : PC
Pour
utiliser ce téléchargement vous pouvez avoir
besoin des utilitaires suivants :
Langue : Français |
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| Test: LEMMINGS |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Lemmings
Vouz
avez le commandement d'une troupe de petits Lemmings, un petit
mammifère nordique. Par une journée
ensoleillée, vous retournez au terrier mais soudain vous
arrivez devant un pont-levis : il est coincé. Quand vous
réussissez à le baisser, il se brise
aussitôt et vous tombez dans un énorme
fossé...
Vous devez amener le plus possible de lemmings qui font partie
de la troupe au terrier. Vous devez creuser, construire des escaliers,
escalader, etc... Vous prendrez plusieurs compagnons qui tomberont dans
un trou, qui s'écraseront sur des surfaces dures. Parfois
vous devez même faire exploser vos Lemmings qui sont
coincés.
Dans le
jeu, il y a un curseur en forme de carré qui vous permet de
faire faire des choses à vos Lemmings. Il y a un bouton dans
le coin bas-gauche marqué + -. Il vous permet de faire
descendre vos lemmings plus vite au début du
tableau.
Dans
le coin bas-droite, il y a un autre bouton en forme de totem qui vous
permet de... faire exploser tous vos Lemmings en un coup (je vous
recommande fortement d'appuyer dessus lorsque vous êtes
tannés de jouer au jeu. Cela fait un magnifique feu
d'artifice de la
couleur de vos lemmings, c'est à dire bleu et vert !!).
Les graphismes du jeu sont quand même bons car nous
parlons
d'un jeu sorti en 1991.
Le petit film d'introduction au tout
début du jeu qui nous raconte l'histoire est magnifique,
surtout la manière dont la chute coule.
Dans ce jeu, tous les sons que vous pourriez imaginer y sont.
Des
bruits de Lemmings qui creusent au cri qu'ils font juste avant
d'exploser. C'est à dire : OH NO !! Ce jeu est garni de
plusieurs musiques plus entraînantes les unes que les autres.
En conclusion, ce jeu est savoureux. Je n'ai pas assez de mots
dans mon
vocabulaire pour vous exprimer comment j'aime ce petit jeu. Lemmings a
tellement eu de succès que Nintendo a sorti le
jeu Lemmings
2.
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Graphismes
Jouabilité
Musiques et sons
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Parfois
un peu monotone |
Par Tonio4
Merci à pour
les captures d'origine
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| Test: PUZZLE COLLECTION |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Puzzle Collection
Puzzle collection est en fait un
ensemble de 10 petits casses-tête sympathiques.
Mais l'ensemble les reliant est assez flou. En effet le menu principal
est une simple barre (sur pc) où l'on apercoit les icônes des
différents « casse méninges ». Cela donne peu de personnalité au jeu en
lui même. Mais peut-être que les dévéloppeurs ont choisi de réunir 10
petits casses-tête et donc pas besoin de faire un jeu avec un
environnement digne de ce nom.
Car le rendu est vraiment 10 petits jeux séparés, et
au final on a l'impression d'avoir installé 10 petits jeux
supplémentaires dans la barre « accessoires/jeux » du menu Windows au
coté du solitaire.
Mais les jeux choisis se révèlent être des petits
jeux sans réel intérét. Prenez le « charmer », le but de ce jeu est de
déplacer une flûte sous le pot d'un serpent qui montera sous l'effet de
la musique. Le tout afin d'éviter que des assiettes ne lui tombent
dessus. Cela ne ressemble pas à de la reflexion mais plutôt à de la «
Réflexe! » ...ion ???
Et sur 10 jeux 5 sont plus du domaine des réflexes
et de l'action que de la reflexion. Cependant certains sont
intérressants tel le Spring week-end
où il faut reproduire le modèle en moins de vingt coups. A chaque fois
que vous cliquez sur une fleur, les fleurs environnantes tourneront
dans le sens des aiguilles d'une montre et vous aurez un coup de moins.
Mais ces quelques amusements ne valent pas plus que
le petit shareware sympa que l'on télécharge en deux secondes et
supprime après 10 minutes de jeu.
Bref puzzle collection ne vole pas très haut. Les
qualités individuelles des jeux ne permettent pas de rattraper un
ensemble désuni et qui donne l'impression d'avoir acheté un solitaire
bas de gamme. Si on vous donne ce jeu, gardez-le. Sinon ruez-vous chez
votre marchand de journaux, il existe des ensembles de 300 jeux de ce
genre pour 10 euros et bien mieux que « Puzzle collection »
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10 petits jeux
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Quasiment aucun intérêt
Jeux beaucoup trop limités
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Par zelgolhal
Note : La version Game boy de "Puzzle collection" est sortie en 2000
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| Test: LE MONDE PLAT |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Le monde plat
Suite à de
malencontreuses expériences atomiques, vous avez
été projeté dans la 20ème
dimension. Arriverez-vous à en sortir rapidement ? Ne vous
attardez pas trop dans ce monde, la folie vous guette...
L'avantage de ce genre de jeu, c'est que le ton est
donné dès l'intro : nous sommes en
présence d'un jeu déjanté ! Mais il
n'a de déjanté que l'univers car le principe est
purement logique. Découvrons un peu son fonctionnement : ici
pas de clavier, uniquement la souris et les choix sont basiques.
Après avoir passé l'image du titre, vous tombez
sur l'interface de l'introduction qui restera la même durant
le jeu. Cliquons sur continuer...
Premier niveau : Le plateau
électronique
"Sur ce plateau circulent librement des forces
cosmiques."
A
tous les tableaux vous avez un choix à faire parmi des
propositions. Ici il y en a 3 : Voir, Visiter
le monument ou Toucher le plateau.
- Quand vous cliquez sur Voir,
un message s'affiche dans l'encart rouge prévu à
cet effet afin d'avoir un indice : "Des forces
puissantes s'écoulent ici"
- En cliquant sur Visiter le monument,
vous arrivez directement à un autre tableau : Le
monument historique.
- En cliquant sur Toucher le plateau,
vous faites une erreur fatale (vous aviez été
prévenu !) et vous perdez, avec cette image que vous verrez
probablement plusieurs fois avant de finir le jeu.
Vous aviez cependant d'autres choix. A l'aide des flèches
de direction situées à droite,
vous pouviez vous déplacer dans les tableaux adjacents au
nord, à l'est ou au sud. Vous n'aurez toutefois pas toujours
autant de possibilités. Prêtons-nous au jeu et
tentons de se balader un peu...
Premier niveau nord :
Le cube virtuel
"Le professeur DANTON est à la
point du génie virtuel. Il a créé ce
cube."
3
réponses possibles : Casser le cube,
Appuyer sur le cube et Tourner
le cube. La première vous envoir
directement rejoindre vos ancêtres, la deuxième
vous renvoie à la case départ et la
troisième ne génère que des points
d'interrogation dans l'encart rouge !
Vous n'avez alors qu'une solution, revenir à
l'écran précédent par la seule
destination possible, le sud... Aller ici ne servait à rien,
ils'agira de s'en rappeler !
Premier niveau sud : Le laboratoire
"Dans l'atelier du chimiste"
Vous
êtes en présence d'éprouvettes, que
faire ? Mélanger, Vider
ou Boire le liquide ? Si l'on
mélange, il nous est conseillé de ne pas
continuer... Si l'on vide, ça ne sert à rien ! Et
si l'on boit, devinez ?! Un p'tit tour au cimetière, une
fois de plus un tableau à éviter.
Peut-être est-il intéressant de pousser plus loin
au sud ou d'aller à l'ouest...
Deuxième niveau : La
ville ordinateur
"Un programme s'est
déréglé et l'ordinateur a pris
possession de la ville"
C'est le bordel dans la ville ! L'ordinateur dirige tout !
Cliquer sur Voir nous prévient
: "On vous dit de vous dépêcher",
sur Observer un moniteur de contrôle
vous envoie Ad patres et Chemin vers le désert
vous amène... dans le désert ! Vous pouvez de
plus aller au nord, au sud ou revenir sur vos pas à l'est.
Voilà
pour vous faire une idée un peu plus précise du
jeu. Nous sommes donc bien en présence d'un jeu
spécial mais intelligent et
intéressant. La durée de vie est courte
(comptez entre 15 minutes et 1 heure) mais on peut le finir rapidement,
ce qui est pas mal durant une pause ou pour les personnes qui n'ont pas
beaucoup de temps à allouer aux jeux... L'ambiance
est particulière avec des
tableaux qui changent tout le temps et des domaines
différents.
Les graphismes
sont très simples mais agréables en 256
couleurs dans une résolution
fenêtrée de 640*480
que vous ne pourrez changer... Exit le plein
écran. Les sons
sont marrants et correspondent
très bien à l'idée que l'on se fait de
la scène. Le jeu a été
développé à partir de 2 outils :
Visual Basic 3 et Corel Draw 3. Il date de 1997
et tourne sur différentes versions de Windows 3.1
à XP.
Merci à Christophe Zerkowski.
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Jouabilité
Variété des tableaux
Logique
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Résolution
fenêtré 640x480
Durée
de vie |
Par Lancelot
Note : Ce jeu est distribué avec une licence freeware, il est donc totalement gratuit !
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| Test: FREECELL |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Vous incarnez un responsable
multimédia d'une médiathèque dont je
ne citerai pas le nom. Vous vous ennuyez ferme après avoir
fait planter le serveur et vous ne savez plus quoi faire pour glander
un petit peu moins. Alors vous avez une vision d'un monde rempli de
cartes et de jeux ancestraux. C'est décidé vous
deviendrez joueur de Freecell.
Le but du jeu est de désemplir le plateau de
toutes leurs cartes. Pour cela vous disposez de 4 cases vides,
où vous pourrez momentanément y placer des
cartes. Bien sûr vous pouvez empiler les cartes les unes sur
les autres dans l'ordre suivant en alternant rouge et noire :
-Roi,
-Dame,
-Vallet,
-Dix,
-Neuf,
-Huit,
-Sept,
-Six,
-Cinq,
-Quatre,
-Trois,
-Deux,
-As.
Les graphismes sont aussi bons que le script du jeu. Avec plus
de 4 couleurs dont l'immanquable vert sans oublier le rêve de
tout joueur de cartes : le rouge. On a même
droit à une magnifique animation au centre et haut
de la fenêtre avec le roi qui bouge la tête dans la
direction du pointeur de la souris. Que dire aussi des sons qui sont
dignes de Mozart (dans le ventre de sa mère), dès
que vous tentez un déplacement on a droit à un
bip digne du plus grand des bios.
Le jeu est doté de l'ensemble des
possibilités de
placement des cartes. Chaque possibilité est
numérotée et ainsi vous pouvez choisir votre
partie favorite et multiplier les parties sans jamais tourner en rond.
Que dire de ce jeu à la fois simple et complet,
à
la réalisation impeccable.
Un must du genre, à posséder absolument.
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Gameplay efficace
Très prenant
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Strict minimum en sons et animations
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Par Zelgolhal
Note : Un jeu de cartes légendaire. Très efficace quand on s'ennuie au lycée ou au bureau.
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| Test: DÉMINEUR |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
Démineur
Vous
incarnez un responsable multimédia d'une
médiathèque dont je ne citerai pas le nom. Vous
vous ennuyez ferme après avoir fait planter le serveur et
vous ne savez plus quoi faire pour glander un petit peu moins. Alors
vous avez une vision d'un monde sans peur des mines ni des
guerres.
C'est décidé vous deviendrez démineur.
Votre but est de déminer toute la
planète symbolisée par un magnifique
quadrilatère divisé en un tas de petites cases de
même taille. Sous chaque case il y a une mine qui peut
être potentiellement cachée. Si vous cliquez et
que rien n'explose alors on verra apparaître un magnifique
chiffre qui indiquera le nombre de mines aux alentours. Ainsi vous
pourrez supposer où sont les mines. Et si votre intuition
est bonne alors le Monde carré sera sauvé
grâce à vous. Et vous serez le
héros de votre bureau. Bien entendu votre temps est
compté. Le but est de déminer le Monde en un
minimum de temps et si vous êtes très fort
à ce jeu alors vous pourrez frimer devant les
collègues en minijupe et vous deviendrez le boss du travail.
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Le son est très bien. On apprécie
surtout l'agréable bruit de bip qui sonne dès que
vous cliquez sur une case. Et dès que vous perdez
ça devient magnifique.
Les animations graphiques sont dignes de la dernière Radeon
5 MMX avec le personnage de réinitialisation qui sourcille
aussi dès que vous cliquez sur une case et qui a le visage
tout désolé dès que vous perdez. C'est
magnifique. Et les personnages sourient tout le reste du temps, cela
fait chaud au coeur.
Que dire d'autre de ce jeu si ce n'est qu' il est dépourvu
de toute violence, ce qui est magnifique pour un jeu.
A posséder absolument pour tous les fans du genre
ou non.
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Jeu
simple mais prenant
Intégré à Windows |
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Aucune
évolution de la 1ère version à la
version XP |
Par Zelgolhal
Note : Le hit de Microsoft par excellence. A posséder presque absolument pour les fans de la paix dans le monde.
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| Test: THE EVEN MORE INCREDIBLE MACHINE |
| Editeur : 2008
Date de sortie :
Genre : |
The even more incredible machine (T.I.M pour les intimes) repose
sur le principe des dominos en cascade : le premier domino tombe sur le second
qui lui même tombe sur le troisième etc... Formant ainsi une réaction en chaîne
à l'effet simple de mettre tous les dominos par terre.
Ce jeu est divisé en 160 puzzles et un mode "formes libres".
Chaque puzzle a un objectif qui lui est propre comme : "Faire éclater les
ballons" ou "Lancer les fusées vers le haut". Pour atteindre cet objectif nous
disposons de modules comme un ballon de baudruche, une loupe, un trampoline. Il
faut utiliser ces modules de telle sorte qu' ils forment une réaction en chaîne
et ainsi de nous permettre d'atteindre l'objectif du puzzle. Chaque module a sa
propre façon d'être mis en marche ce qui accroît la difficulté. Par exemple, une
boîte contenant une souris dans une roue. La souris ne courrira et n'entraînera
la roue que si elle reçoit un choc violent. Et si la roue ne tourne pas elle ne
fera pas tourner le tapis roulant.
Chaque puzzle possède aussi sa propre gravité et pression de
l'air. Donc si vous faites rebondir une balle sur un trampoline dans ce puzzle,
elle ira moins haut que si vous la faites rebondir dans ce puzzle avec la
gravité de la lune. Le mode formes libres permet de créer ses propres puzzles
ainsi que ses objectifs. Nous pouvons choisir absolument tout du contenu du
puzzle et même la gravité et la pression.
Les bons points :
L'interface est très compréhensible et très intuitive. On prend
tout de suite le contrôle du jeu sans difficulté. L'utilisation totale de la
souris y est pour beaucoup. Les différents tutoriaux permettent aussi de
comprendre facilement l'utilisation des modules présents dans le jeu. Les
objectifs présentés au début de chaque puzzle favorisent aussi une meilleure
orientation dans le jeu. L'utilisation de code à chaque fin de jeu permet de
retrouver le puzzle que l'on a quitté ainsi que son ancien score. Les graphismes
sont très beaux même sans la 3D. Chaque puzzle contient plusieurs possibilités
pour atteindre l'objectif, le joueur n'est pas cantonné à un script. Énorme
durée de vie.
Les mauvais points :
Le son du bip ordinateur est assez désagréable surtout qu'il
répète sans cesse la même mélodie de 10 notes tous les 30 niveaux. Quand il n'y
pas le bip musical un épais silence est produit : aucune musique. Le jeu demande
aussi à chaque exécution les modules du manuel de jeu ce qui rend plus ennuyeux
chaque exécution. Ne fonctionne que sous DOS (ou DOSBOX) et Mac OS.
Conclusion :
T.I.M est un très bon jeu de réflexion à la durée de vie quasi
infinie. A posséder absolument pour les heureux propriétaires d' un système DOS
(ou DOSBOX) ou d'un vieux Mac.
Par
Zelgolgalshonenonizukayoung
Note : Un jeu de domino géant délirant et à la durée de vie ultra longue. Il est considéré comme abandonware.
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